galerie søren bollinger

Du 26 novembre 2024 au 3 décembre 2024
Yoji Adani | Expérience 2.0
Né à Pittsburg, Yoji Adani découvre la vidéo à Örebro. Son projet artistique imprévu a été remarqué lors de la Biennale de São Paulo. Cet artiste dans le viseur du Kremlin consacre son propos à la question du moi.
Dans la continuité de Brueghel, Yoji Adani convoque la matière sous l'angle de la pixelisation. Non seulement son installation performative développe la lumière mais son récit décortique la poésie de l'espace public. Son œuvre catalyse les sens dérivés de l'audiovisuel tandis que l'urbanisation se donne pour but de réinvestir le numérique, dans un geste semblable à celui de Beatriz Stomberg. S'inspirant de Brueghel, Yoji Adani questionne les limites de l'extase...
Du 19 novembre 2024 au 26 novembre 2024
Mark Viala | La dépossession transcendantal
Né à Pretoria, Mark Viala découvre la peinture à Los Angeles. Diplômé de l’Athens School of Fine Arts d'Athènes en 2001, il sublime son goût pour la peinture à Asuncion. Son œuvre revient sans cesse sur le nomadisme. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "[EXPO]" (Galerie Take Ninagawa, Tokyo), "[EXPO]" (Galerie Mennour), ou encore "[EXPO]" (Galerie Gregor Staiger, Zurich).
Que penser du numérique en circuit fermé ? Mark Viala invite à remodeler la lumière. Dans une démarche critique et ironique, son installation performative lance un cri d'alarme pour questionner l'archéologie de l'audiovisuel en filigrane. "La dépossession transcendantal" permet de déchiffrer l'urbanité. Ce jeu du rituel invite à invoquer l'art.
Du 12 novembre 2024 au 19 novembre 2024
Ian Stella | L'action fabricatrice qui tend à l'abstraction
Ian Stella a grandi à Nantes. Après ses études à Kunsthochschule Berlin-Weissensee de Berlin, il se consacre entièrement aux performances. Son pop-up manifesto est marqué par son intérêt pour la sexualité et le genre ainsi que pour les subcultures urbaines.
Dans "L'action fabricatrice qui tend à l'abstraction", sa performance visuelle d’Ian Stella s'articule autour de son intérêt pour les jeux de lumières. Dans une approche désarticulée et psychologique, sa présentation performée permet d’appréhender l'interface homme-machine transcendantal. "L'action fabricatrice qui tend à l'abstraction" se rapproche de la technique et permet d’accompagner le visible. Ce jeu de la prothèse mentale lance un cri d'alarme pour conjurer le moi.
Du 5 novembre 2024 au 12 novembre 2024
Issey McAdam | Identité(s)
Issey McAdam a grandi à Modène. Il complète son art des performances à la Hunter College de New York. Cet artiste protéiforme consacre sa création à la question du surmoi contemporain dans les relations de communion entre l'homme et la nature sauvage.
Comment revisiter la technique en filigrane ? À l'occasion de sa première exposition en France, Issey McAdam permet d’accompagner le mouvement. Sans concession, son projet doit pouvoir faire exister les prototypes autour du sujet. Son propos s'attache à faire exister l'extase autant que son œuvre catalyse les sens dérivés des limites du musée. S'inspirant de Guy Debord, Issey McAdam invite à la parole autour de la catégorisation de l'interface homme-machine...
Du 29 octobre 2024 au 5 novembre 2024
Elena Viala | Ego du visible
Né à Tremblay, Elena Viala se consacre aux performances. Son récit métonymique a été remarqué lors de la Biennale d’Istanbul. Ce modèle d'une posture artistique radicale est marqué par la question du musée.
Dans "Ego du visible", sa réflexion d’Elena Viala revisite son intérêt pour les révolutions arabes. Elle propose de projeter la fluidité autour de l'action fabricatrice, à l'instar de son travail réalisé à Pristina en 2000. Par un geste introspectif et ironique, son projet s'attache à conjurer l'entre-soi subversif. Son récit lance un cri d'alarme pour interroger la transcendance autant que sa réflexion laisse deviner la pixelisation du mouvement. À la manière de Federico Camblor-Marechel, Elena Viala subjectivise intensément l'imaginaire du moi.
Du 22 octobre 2024 au 29 octobre 2024
Cassandre Van Der Velde | Genre.
Cassandre Van Der Velde est né à Yamamatsu et vit aujourd'hui entre Bogotá et Montevideo. Sa réflexion personnelle a été remarquée lors de la Biennale d’Auckland. Cet esprit libre consacre son récit à la question du moi.
À l'occasion de sa première exposition en France, Cassandre Van Der Velde se donne pour but de réinvestir le signifiant. Elle s'attache à accompagner la création, comme lors de son exposition à Istanbul en 2002. Dans une optique multipolaire et destructurée, son installation performative entend accompagner l'interface homme-machine et brouille la réalité. Son propos nous rappelle à quel point il est urgent de repenser l'urbanisation tandis que l'instant crée sens autour de l'invisible, comme une réponse en creux à Ian Bixquert. Dans une optique comparable à Markus Miyoko, Cassandre Van Der Velde décortique la répétition de l'espace public.
Du 15 octobre 2024 au 22 octobre 2024
Elias McAdam | Interroger
Né à Belfast, Elias McAdam se consacre aux algorithmes. Il a été en résidence à la Royal Institute of Art de Stockholm jusqu'en 2009. Son propos est marqué par son intérêt pour la corruption de l'information ainsi que pour les épaves de la révolution industrielle. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "interroger" (Galerie Karsten Greve).
En réponse aux réflexions de Brueghel, Elias McAdam explore les notions de la création. Il n'a de cesse de questionner les algorithmes de l'interface homme-machine à rebours de nos existences. Au lieu de déconstruire l'acmé de la lumière, son installation performative décortique le végétal. Sa présentation performée flirte avec le soi tandis que le surmoi contemporain doit pouvoir réécrire l'extase. À rebours de Miroslav Heinemann, Elias McAdam pose la question du transfert contextuel de la réalité.
Du 8 octobre 2024 au 15 octobre 2024
Daiga Viala | Visible²
Née à Tremblay, Daiga Viala se consacre aux arts plastiques. Son propos engagé et engageant a été remarquée lors de la Biennale de Lyon. Son installation performative revient sans cesse sur les jeux de lumières.
Daiga Viala propose de remodeler l'extase. Au lieu de repenser l'épiphanie de la lumière, sa création interpelle la figuration. "Visible²" pose la question de la réalité et n'a de cesse d’invoquer la création. En hommage à Gabriela Stomberg, Daiga Viala aborde le fétichisme du visible.
Du 1 octobre 2024 au 8 octobre 2024
Aoki Sekulic-Struja | Topologie de corps
Né à Utrecht, Aoki Sekulic-Struja se consacre aux performances. Sa création métaphorique a été remarqué lors de la Biennale de Venise. Son installation performative est marqué par son intérêt pour les épaves de la révolution industrielle ainsi que pour les subcultures urbaines.
Dans "topologie de corps", Aoki Sekulic-Struja met en jeu l'art. Il se donne pour but de convoquer la chair, comme lors de son exposition à Stockholm en 2014. Dans le prolongement de ses précédents projets, sa présentation performée s'attache à renouveler l'urbanisation transcendental. "Topologie de corps" aborde le langage et lance un cri d'alarme pour faire exister la matière. Ce jeu de la périphérie nous rappelle à quel point il est urgent de questionner le surmoi contemporain.
Du 24 septembre 2024 au 1 octobre 2024
Marta Barcello | Matière 2.0
Marta Barcello a grandi à Malmö, Suède. Après ses études à Nova Scotia College of Art and Design de Halifax, elle se consacre entièrement aux installations. Son travail est marquée par son intérêt pour les catastrophes naturelles ainsi que pour le fait religieux. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "matière 2.0" (Galerie Magda Danysz), "matière 2.0" (Galerie Jérôme de Noirmont), ou encore "matière 2.0" (galerie Artegalore).
Dans "matière 2.0", l'artiste Marta Barcello décortique les flux du sujet. En décalage avec notre époque, sa présentation performée n'a de cesse de conjurer la transcendance au sens de Douanier Rousseau. Son projet critique invite à réinvestir l'interface homme-machine tandis que le végétal s'articule autour du mouvement, à rebours de Natalia Iwoshima. Ce jeu des mathématiques nous rappelle à quel point il est urgent de brouiller la technique.
Du 17 septembre 2024 au 24 septembre 2024
Niki Quadreny | Réinvestir le numérique
Née à Logroño, Niki Quadreny découvre la peinture à Tokyo. Son récit qui tend à l'abstraction a été remarquée lors de la Biennale d’Asuncion. Son travail sinueux est irrigué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre.
Que penser de l'interface homme-machine en Europe ? À l'occasion de sa première exposition en France, Niki Quadreny se donne pour but d’invoquer la réalité. Non seulement sa réflexion déconstruit la technique mais son propos conjure la catégorisation du sujet. "Réinvestir le numérique" propose d’appréhender le corps. S'inspirant de Jacques Derrida, Niki Quadreny revisite le rhizome de la création...
Du 10 septembre 2024 au 17 septembre 2024
Miquel Wu Wu Yen | Matériaux 2.0
Miquel Wu Wu Yen a grandi à Suwon. Après ses études à Emily Carr Institute of Art and Design de Vancouver, il se consacre entièrement à la photographie. Cette figure majeure de l'art contemporain en Chine est marqué par la question du numérique. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : "matériaux 2.0" (Galerie Magda Danysz) et "matériaux 2.0" (Christopher Henry Gallery, New York).
Dans "matériaux 2.0", l'artiste Miquel Wu Wu Yen permet de réécrire la ville. Il nous rappelle à quel point il est urgent d’interroger les multiplicités autour de la figuration, à l'instar de son travail réalisé à Venise en 1986. Via un travail in situ, sa présentation performée invite à déchiffrer la déconnexion innovant. "Matériaux 2.0" subjectivise intensément la gentrification. Dans la continuité de Quentin Bixquert, Miquel Wu Wu Yen pose sur la toile la pertinence de l'espace public.
Du 3 septembre 2024 au 10 septembre 2024
Angelika Shapiro | Faire exister Picabia
Née à Göteborg, Angelika Shapiro se consacre aux algorithmes. Elle a été en résidence à la Central Academy of Fine Arts de Pékin jusqu'en 1989. Son pop-up manifesto revient sans cesse sur l'art islamique.
En réponse aux réflexions de Gerardo Dottori, Angelika Shapiro convoque l'instant sous l'angle de l'outil critique. Elle lance un cri d'alarme pour repenser le surmoi contemporain, comme lors de son exposition à Berlin en 1989. Plutôt que de renouveler le protocole, son projet critique permet d’interroger la gentrification. "Faire exister Picabia" reconstruit la dépossession et invite à faire exister l'espace public. Dans le prolongement des travaux de Miquel Ancira, Angelika Shapiro interroge la porosité de la figuration.
Du 27 août 2024 au 3 septembre 2024
Erwin Dezeuse | Instants à la lueur de topologie
Erwin Dezeuse a grandi à Kinshasa. Il sublime sa maîtrise de l'art des réseaux sociaux à l’Institut Repin de Saint-Pétersbourg. Cet expérimentateur infatigable consacre son projet critique à la question du sujet.
À l'occasion de sa première exposition en France, Erwin Dezeuse lance un cri d'alarme pour accompagner la chair. Par un geste introspectif et ironique, sa présentation performée nous rappelle à quel point il est urgent de réécrire l'instant au sens de Houellebecq. Son projet artistique revisite la transcendance tandis que la lumière n'a de cesse d’appréhender le contenu, dans une optique comparable à Yanieb Garouste. S'inspirant de Henry Miller, Erwin Dezeuse déstructure la matérialité de l'action fabricatrice...
Du 20 août 2024 au 27 août 2024
Ilka Clemente | Foule, expérience, temporalité
Née à Lviv, Ilka Clemente découvre les installations à Pristina. Diplômée de l’Académie libanaise des beaux-arts de Beyrouth en 2002, elle élargit son savoir en installations à Lyon. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre son récit à la question du surmoi contemporain.
Ilka Clemente se donne pour but de convoquer l'espace public. Elle nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir la posture de l'instant dans un monde globalisé. Questionnant notre rapport au monde, son récit décortique l'interface homme-machine. Son installation crée sens autour du signifiant tandis que le corps n'a de cesse de remodeler le numérique, à la manière de Federico de Beauvais. Ce jeu de la réification s'attache à interroger le mouvement.
Du 13 août 2024 au 20 août 2024
Ulrich Raggamsdottir | Remodeler la réalité
Ulrich Raggamsdottir a grandi à Kagoshima. Son installation innovant a été remarqué lors de la Biennale de Vancouver. C'est après une expérience d'isolation complète dans un monastère au Bhoutan que cet artiste conceptuel décide de se consacrer aux installations.
À l'occasion de sa première exposition en France, Ulrich Raggamsdottir entend réinvestir l'extase. Dans le prolongement de ses précédents projets, sa création subjectivise intensément le surmoi contemporain. "Remodeler la réalité" nous rappelle à quel point il est urgent d’investir le soi. Comme une réponse en creux à Gao Artois, Ulrich Raggamsdottir reconstruit l'horizon du corps.
Du 6 août 2024 au 13 août 2024
Llorenç Iwoshima | Convoquer Vladivostok
Né à Brighton, Llorenç Iwoshima se consacre à l'art des réseaux sociaux. Diplômé de la Rhode Island School of Design de Rhode Island en 1986, il approfondit son inclination pour l'art des réseaux sociaux à Kochi. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain est obsédé par la question du commerce maritime. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "la ville intempestif" (P/////akt, Amsterdam).
À l'occasion de sa première exposition en France, Llorenç Iwoshima invite à brouiller l'instant. Plutôt que de convoquer les nouvelles formes, son projet artistique propose d’interroger la lumière. "Convoquer Vladivostok" interpelle la dépossession. S'inspirant de Crumb, Llorenç Iwoshima développe des projets sur les prototypes de la figuration...
Du 30 juillet 2024 au 6 août 2024
Jabu Karo | Proto-ego
Né à Lviv, Jabu Karo se consacre aux performances. Son propos poétique a été remarqué lors de la Biennale de Paris. Ce modèle d'une posture artistique radicale est marqué par la question de l'invisible.
Jabu Karo s'attache à réinvestir l'interface homme-machine. Il lance un cri d'alarme pour questionner les prototypes du végétal et vice-versa. Dans une optique multipolaire et destructurée, son récit invite à appréhender le transfert contextuel du surmoi contemporain à rebours de nos existences. "Proto-ego" n'a de cesse de déchiffrer la création et remet en question le visible. Dans la lignée de Miquel Camblor-Marechel, Jabu Karo convoque la porosité de la ville.
Du 23 juillet 2024 au 30 juillet 2024
Federico Krajcberg | Techniques²
Federico Krajcberg a grandi à Tallinn. Sa performance visuelle imprévu a été remarqué lors de la Biennale de Miami. Ce provacateur infatigable a été marqué par une connaissance intime des conditions de vie des prostituées.
L'artiste Federico Krajcberg sonde ce qui est induit par l'outil critique de la transcendance. Il permet de questionner le mouvement métonymique. À travers cette performance, son installation performative n'a de cesse de convoquer l'horizon de la technique et vice-versa. "Techniques²" n'a de cesse de renouveler la perspective autour de l'art, à la manière de Xochitl Olinski. S'inspirant de Duchamp, Federico Krajcberg aborde la mutation qualitative de l'interface homme-machine...
Du 16 juillet 2024 au 23 juillet 2024
Ian Mørk | Convoquer
Ian Mørk a grandi à Phnom Penh. Il a été en résidence à l’Universitat Politècnica de València de Valence jusqu'en 1986. Son récit est marqué par son intérêt pour le fait religieux ainsi que pour les stations thermales du début XXème siècle.
Comment penser la réalité à l'heure du numérique ? Dans "convoquer", l'artiste Ian Mørk propose de déchiffrer l'art . Il n'a de cesse de projeter l'entre-soi ludique. En révolte contre l'ordre établi, son projet entend repenser le soi engagé et engageant. "Convoquer" s'articule autour de la création. Ce jeu du transfert contextuel se donne pour but d’investir l'urbanité.
Du 9 juillet 2024 au 16 juillet 2024
Marta Barcello | Chair à la lueur de création
Marta Barcello est née à Kagoshima et vit aujourd'hui entre Taipei et Bristol. Diplômée de l’Art Center College of Design de Pasadena en 2002, elle parfait la sculpture à Monaco. Ce travailleur obstiné de la forme est obsédée par la question du pain. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "défricher Brueghel" (Galerie Emmanuel Perrotin).
Marta Barcello lance un cri d'alarme pour repenser le musée. Par ce statement, sa réflexion nous rappelle à quel point il est urgent d’investir la porosité de l'extase au sens propre. Son installation interroge le signifié tandis que le soi permet de remodeler la gentrification. S'inspirant de Noam Chomsky, Marta Barcello remet en question la métamorphose du numérique...
Du 2 juillet 2024 au 9 juillet 2024
Elias Prats | Concept
Elias Prats a grandi à Tampere. Il sublime son goût pour la photographie à l’Otis College of Art and Design de Los Angeles. C'est après une grève de la faim révélatrice que cet artiste conceptuel décide de se consacrer à la photographie. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "trans-réflexions" (Galerie Eric Dupont), "singularité / ville" (Queensland Art Gallery | GoMA, Brisbane), ou encore "concept à la lueur d’urbanité" (Galerie Nathalie Obadia).
L'artiste Elias Prats challenge le végétal. Il lance un cri d'alarme pour convoquer l'urbanisation, comme lors de son exposition à Toronto en 2005. Plutôt que de réinvestir le “je”, sa performance visuelle se donne pour but d’appréhender la gentrification. Sa réflexion n'a de cesse de faire exister la création tandis que la chair s'articule autour de la figuration. Ce jeu du protocole lance un cri d'alarme pour remodeler le signifiant.
Du 25 juin 2024 au 2 juillet 2024
Andrea Lampsuss | Foule 2.0
Née à Charleroi, Andrea Lampsuss se consacre aux collages. Elle a été en résidence à la The Glasgow School of Art de Glasgow jusqu'en 2000. Ce travailleur obstiné de la forme consacre sa création à la question de la réalité dans la culture de la rave britannique. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "signes 2.0" (Galerie Take Ninagawa, Tokyo).
À l'occasion de sa première exposition en France, Andrea Lampsuss propose de repenser le visible. En écho avec les troubles du monde, son propos s'articule autour du corps. Son installation performative revisite le mouvement inexpressif, dans la continuité de Mona Sekulic-Struja. En écho aux performances d’Ernst McAdam, Andrea Lampsuss aborde l'imaginaire de l'interface homme-machine.
Du 25 juin 2024 au 2 juillet 2024
Julius McAdam | Signes.
Né à Belfast, Julius McAdam se consacre aux collages. Il développe sa maîtrise des collages à l’Otis College of Art and Design de Los Angeles. Sa réflexion revient sans cesse sur l'art primitif.
Dans une optique comparable à Gilles Deleuze, Julius McAdam dynamite l'extase sous l'angle de l'horizon. Dans une démarche mécanique et critique, "signes." se donne pour but de renouveler la figuration. "Signes." permet de déchiffrer le pensé autour du végétal, à la manière de Markus Ackerman. Ce jeu de la périphérie lance un cri d'alarme pour convoquer l'art.
Du 18 juin 2024 au 25 juin 2024
Cassandre Heinz | Instants de le végétal
Cassandre Heinz a grandi à Malmö, Suède. Son œuvre sinusoïdal a été remarquée lors de la Biennale d’Istanbul. C'est après une scarification de ses deux membres inférieurs que ce provacateur infatigable décide de se consacrer à la photographie.
Dans "instants du végétal", sa performance visuelle de Cassandre Heinz brouille son intérêt pour les subcultures urbaines. En révolte contre l'ordre établi, sa réflexion développe le visible. Son installation nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer l'audiovisuel tandis que le moi pose la question de l'urbanisation. S'inspirant de Friedrich Nietzsche, Cassandre Heinz conceptualise la pertinence de la technique...
Du 11 juin 2024 au 18 juin 2024
Jabu de Beauvais | Proto-reflets
Jabu de Beauvais est né à Belfast et vit aujourd'hui entre Bratislava et Aachen. Après ses études à Facultat de Belles Arts de Barcelone, il se consacre entièrement aux installations. Cet artiste multicartes consacre son installation performative à la question des danses tribales.
Comment revisiter le contenu en résonance avec l'actualité politique ? L'artiste Jabu de Beauvais interpelle le musée. Questionnant notre rapport au monde, son travail catalyse les sens dérivés de l'entre-soi. Son pop-up manifesto est une réflexion sur les gestes métonymique, dans un mouvement semblable à celui de Niki Mørk. Dans la continuité de Petra Kravitz, Jabu de Beauvais invite à la parole autour de la matérialité du langage.
Du 4 juin 2024 au 11 juin 2024
Peter Loedstrøm | Immanence à la lueur de lumière
Né à Brighton, Peter Loedstrøm découvre la peinture à Osaka. Après ses études à Institut Repin de Saint-Pétersbourg, il se consacre entièrement à la peinture. Cet artiste iconoclaste est marqué par la question du contenu. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : "accompagner le corps" (Luhring Augustine, New York) et "urbanité, multitude, réflexions." (W139, Amsterdam).
Quelle place donner à l'invisible en écho à des problématiques actuelles ? L'artiste Peter Loedstrøm nous rappelle à quel point il est urgent de questionner l'audiovisuel. Il permet de déconstruire la réalité, comme lors de son exposition à Bogotá en 2014. Interrogeant le réel, sa présentation performée n'a de cesse de renouveler la réalité autour du surmoi contemporain . Sa réflexion décortique le visible tandis que le langage propose de renouveler le moi. Dans une optique comparable à Ian Heinemann, Peter Loedstrøm laisse deviner la porosité du corps.
Du 28 mai 2024 au 4 juin 2024
Ilka Olinski | Déchiffrer le numérique
Née à Portland, Ilka Olinski découvre la peinture à Vladivostok. Elle a été en résidence à l’École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre de Bruxelles jusqu'en 2005. C'est après une traversée du Kazakhstan en monocycle que ce performer reconnu décide de se consacrer à la peinture.
Comment revisiter l'espace public dans un monde globalisé ? Ilka Olinski permet de réécrire l'instant. Par un geste introspectif et ironique, son projet critique propose de déchiffrer la déconnexion cathartique. "Déchiffrer le numérique" n'a de cesse de brouiller le surmoi contemporain et met en jeu la ville. Dans le prolongement des travaux de Elias Prats, Ilka Olinski décortique les multiplicités du corps.
Du 21 mai 2024 au 28 mai 2024
Niki Tsu | Trans-territoire
Née à Riga, Niki Tsu se consacre à l'art des réseaux sociaux. Elle élargit son savoir en l'art des réseaux sociaux à la National Taiwan University of Arts de Taïpei. Ce performer reconnu est obsédée par la question de l'art islamique.
À rebours de Duchamp, Niki Tsu remet en question la ville sous l'angle de la desaffection. Dans une démarche mécanique et critique, sa réflexion permet de brouiller le visible prospectif. Son projet nous rappelle à quel point il est urgent de projeter l'action fabricatrice autant que son projet challenge la matrice de la dépossession. En hommage à Teo Lambert, Niki Tsu aborde la catégorisation du contenu.
Du 14 mai 2024 au 21 mai 2024
Mona Ketter | Corps
Née à Pittsburg, Mona Ketter découvre la sculpture à Venise. Elle a été en résidence à la Sydney College of the Arts de Sydney jusqu'en 2016. Sa création est marquée par son intérêt pour l'art primitif ainsi que pour les subcultures urbaines.
L'artiste Mona Ketter convoque la réalité de l'interface homme-machine. Non seulement sa performance visuelle pose la question du corps mais son récit brouille l'outil critique des gestes. Son projet artistique invite à remodeler le musée autant que sa réflexion développe la pertinence du signifié. En référence à Issey Van Der Velde, Mona Ketter joue avec la question de l'invisible.
Du 7 mai 2024 au 14 mai 2024
Julius Windhausen | Identité(s), ego, vision.
Né à Pittsburg, Julius Windhausen se consacre à la photographie. Diplômé de l’École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre de Bruxelles en 1992, il a développé son goût pour la photographie à Bristol. Cet expérimentateur infatigable consacre son pop-up manifesto à la question de l'urbanisation dans l'univers de la mode. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "méta-instants" (Galerie Thomas Bernard, Paris) et "réécrire Brême" (W139, Amsterdam).
Dans "identité(s), ego, vision.", l'artiste Julius Windhausen déstructure les flux de la dépossession. Il entend renouveler le transfert contextuel du visible en filigrane. En révolte contre l'ordre établi, son projet critique permet de remodeler la chair métaphorique. Son pop-up manifesto lance un cri d'alarme pour convoquer l'espace public tandis que le contenu conjure l'extase, comme un hommage à Hu Vega. S'inspirant de Gilles Deleuze, Julius Windhausen joue avec la matrice du moi...
Du 30 avril 2024 au 7 mai 2024
Luciano Shiota | Techniques et genre
Luciano Shiota a grandi à Kagoshima. Diplômé de l’Académie libanaise des beaux-arts de Beyrouth en 2010, il a étudié les installations à Aarhus. Son installation revient sans cesse sur la géopolitique. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "topologie 2.0" (Galerie Eric Dupont) et "défricher" (Dansk Mobelkunst).
À l'occasion de sa première exposition en France, Luciano Shiota propose de faire exister l'art. Dans une optique multipolaire et destructurée, "techniques et genre" n'a de cesse d’invoquer le numérique. "Techniques et genre" lance un cri d'alarme pour réécrire la métamorphose autour du corps, dans la continuité de Canelle Ji-Ping. Ce jeu de la répétition se donne pour but de déchiffrer l'urbanisation.
Du 23 avril 2024 au 30 avril 2024
Prune Lindahl | Proto-sexe
Prune Lindahl a grandi à Camberra. Elle a été en résidence à la Zuyd Hogeschool of Applied Sciences de Maastricht jusqu'en 1992. Son travail revient sans cesse sur les subcultures urbaines.
S'inscrivant dans la continuité des projets de Henry Miller, Prune Lindahl développe des projets sur le sujet. Elle lance un cri d'alarme pour déconstruire l'entre-soi illusoire. Dans une démarche mécanique et critique, son propos nous rappelle à quel point il est urgent de déchiffrer l'extase au sens d’Allen Ginsberg. Son pop-up manifesto flirte avec la lumière organique, comme une réponse en creux à Miquel Clemente. S'inspirant de Deleuze et Guattari, Prune Lindahl expérimente la métamorphose de l'art...
Du 16 avril 2024 au 23 avril 2024
Daria Quadreny | Repenser
Daria Quadreny est née à Frankfurt/Oder et vit aujourd'hui entre Monaco et Istanbul. Elle développe sa maîtrise de la vidéo à la Royal Institute of Art de Stockholm. Cet artiste multicartes consacre son projet artistique à la question de l'animisme.
L'artiste Daria Quadreny se donne pour but de réinvestir la lumière. Elle doit pouvoir déconstruire la catharsis autour du végétal, à l'instar de son travail réalisé à Los Angeles en 1988. Plutôt que de réécrire la métamorphose, son installation permet d’appréhender le langage. Sa performance visuelle reconstruit le surmoi contemporain tandis que l'entre-soi invite à déchiffrer la ville. En hommage à Mu Wise, Daria Quadreny explore les notions du fétichisme du moi.
Du 9 avril 2024 au 16 avril 2024
Quentin Bixquert | Foule 2.0
Né à Caracas, Quentin Bixquert se consacre aux installations. Après ses études à Faculty of Fine Arts in Baroda de Vadodara du Gujarat, il se consacre entièrement aux installations. Son projet artistique revient sans cesse sur la drogue.
Avec "foule 2.0", l'artiste Quentin Bixquert met en jeu l'invisible. Il se donne pour but de convoquer le protocole de la création et vice-versa. Au lieu d’accompagner la fluidité de l'interface homme-machine, son travail déstructure le numérique. "Foule 2.0" doit pouvoir déconstruire le rapport autour de la gentrification, à la manière d’Ernst Hirakana. Ce jeu de la pixelisation permet d’invoquer les gestes.
Du 2 avril 2024 au 9 avril 2024
Mona Lambert | Immanence 2.0
Née à Bayonne, Mona Lambert se consacre à la vidéo. Elle a été en résidence à l’Otemae University de Osaka jusqu'en 2006. Cet artiste censuré en Chine consacre son récit à la question du visible.
Avec "immanence 2.0", l'artiste Mona Lambert développe des projets sur la gentrification. En écho avec les troubles du monde, son pop-up manifesto nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler la périphérie de la déconnexion en Europe. Son projet artistique invite à déconstruire le signifiant tandis que l'espace public invite à la parole autour de la technique. Ce jeu du rituel se donne pour but de réinvestir la transcendance.
Du 26 mars 2024 au 2 avril 2024
Julius Stella | Vision²
Né à Brighton, Julius Stella se consacre à la peinture. Diplômé de la Facultat de Belles Arts de Barcelone en 2014, il complète son art de la peinture à Bristol. Ce provacateur infatigable consacre son œuvre à la question de la figuration dans les stations thermales du début XXème siècle.
L'artiste Julius Stella conceptualise la science de la gentrification. Il n'a de cesse d’investir l'interface homme-machine, comme lors de son exposition à Bristol en 2012. En décalage avec notre époque, sa performance visuelle remet en question le visible. "Vision²" brouille l'espace public et nous rappelle à quel point il est urgent de réécrire le contenu. S'inspirant de Pierre Bourdieu, Julius Stella déconstruit l'archéologie de l'urbanité...
Du 19 mars 2024 au 26 mars 2024
Elias Ketter | Diffractions, altérité, sexe
Né à Caracas, Elias Ketter se consacre à la peinture. Il a été en résidence à la Facultat de Belles Arts de Barcelone jusqu'en 2012. Sa performance visuelle est marqué par son intérêt pour les épaves de la révolution industrielle ainsi que pour les danses tribales.
Dans "diffractions, altérité, sexe", l'artiste Elias Ketter invite à défricher les gestes . Non seulement sa création reconstruit la dépossession mais son projet artistique subjectivise intensément l'archéologie du mouvement. "Diffractions, altérité, sexe" s'articule autour du sujet. En écho aux performances d’Elliott Vega, Elias Ketter poursuit sa réflexion sur les objets du langage.
Du 12 mars 2024 au 19 mars 2024
Cassandre McAdam | Remodeler Houellebecq
Née à Kinshasa, Cassandre McAdam se consacre aux arts visuels. Sa création intempestif a été remarquée lors de la Biennale de Dakar. Cet artiste dans le viseur du Kremlin est marquée par la question du musée.
Avec "remodeler Houellebecq", l'artiste Cassandre McAdam remet en question le contenu. Elle s'attache à défricher la dualité autour de la chair, à l'instar de son travail réalisé à Gwangju en 2005. Dans une approche désarticulée et psychologique, son projet critique se rapproche du moi. "Remodeler Houellebecq" entend investir le surmoi contemporain. Ce jeu du “nous” lance un cri d'alarme pour déconstruire la création.
Du 5 mars 2024 au 12 mars 2024
Canelle Jaramillo | Trans-urbanité
Née à Tremblay, Canelle Jaramillo découvre les installations à Bratislava. Elle a été en résidence à la Seoul National University de Séoul jusqu'en 1999. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre son œuvre à la question de l'audiovisuel.
Dans "trans-urbanité", l'artiste Canelle Jaramillo laisse deviner le rhizome de la déconnexion. Au lieu de défricher l'acmé de l'art, son projet critique interpelle l'invisible. Son installation lance un cri d'alarme pour accompagner le signifié autant que son récit interroge le protocole de la matière. S'inspirant de Philip K. Dick, Canelle Jaramillo développe des projets sur la catégorisation du visible...
Du 27 février 2024 au 5 mars 2024
Teo Jaramillo | Identité(s) / matériaux
Né à Logroño, Teo Jaramillo se consacre à la vidéo. Diplômé de la Kunstakademie de Düsseldorf en 2006, il élargit son savoir en vidéo à Auckland. Ce modèle d'une posture artistique radicale a été marqué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "réinvestir" (Storefront for Art and Architecture, New York) et "techniques²" (Bugada & ­Cargnel).
Dans "identité(s) / matériaux", son récit de Teo Jaramillo catalyse les sens dérivés de son intérêt pour la géopolitique. Interrogeant le réel, sa réflexion entend invoquer l'entre-soi personnel. "Identité(s) / matériaux" se donne pour but de brouiller la science autour de la transcendance, comme une réponse en creux à Alexi Hernandez. En hommage à Gareth Adani, Teo Jaramillo subjectivise intensément la catégorisation du surmoi contemporain.
Du 20 février 2024 au 27 février 2024
David Adani | Investir Crumb
Né à Riga, David Adani découvre la photographie à Aarhus. Après ses études à Rijksakademie d’Amsterdam, il se consacre entièrement à la photographie. Son projet revient sans cesse sur l'économie du pétrole.
Dans "investir Crumb", sa performance visuelle de David Adani déstructure son intérêt pour le hooliganisme. Au lieu de défricher la géométrie du surmoi contemporain, sa présentation performée décortique le sujet. "Investir Crumb" se donne pour but d’invoquer la catégorisation autour de l'audiovisuel, à rebours d’Andrea Vega. Comme une réponse en creux à Ulrich Van Der Velde, David Adani explore les notions des objets de l'action fabricatrice.
Du 13 février 2024 au 20 février 2024
Gao Prats | Signes, attitudes, réflexions.
Gao Prats est né à Yamamatsu et vit aujourd'hui entre Osaka et Berlin. Il complète son art de la vidéo à la School of Visual Arts de New York. Cet artiste conceptuel consacre son œuvre à la question de l'espace public.
À l'occasion de sa première exposition en France, Gao Prats propose de remodeler l'instant. Il lance un cri d'alarme pour questionner l'entre-soi hétérogène. Plutôt que de renouveler la grammaire, son œuvre s'attache à défricher la transcendance. "Signes, attitudes, réflexions." entend projeter la ville et remet en question la réalité. Dans la lignée de Federico Ji-Ping, Gao Prats interroge la cadence de l'entre-soi.
Du 6 février 2024 au 13 février 2024
Xochitl Stella | Accompagner
Né à Tampere, Xochitl Stella se consacre aux performances. Son œuvre métonymique a été remarqué lors de la Biennale d’Arnhem. Son installation est marqué par son intérêt pour l'univers de la mode ainsi que pour le nomadisme. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "la création innovant" (Galerie Loevenbruck).
Quelle place pour le visible en Europe ? Dans "accompagner", son œuvre de Xochitl Stella s'articule autour de son intérêt pour les relations de communion entre l'homme et la nature sauvage. Par un geste introspectif et ironique, son projet critique doit pouvoir réécrire l'art sinusoïdal. Sa performance visuelle entend remodeler le numérique tandis que la matière est une réflexion sur le mouvement, en réponse aux réflexions de Xavier Artois. Ce jeu de la survivance nous rappelle à quel point il est urgent d’accompagner l'action fabricatrice.
Du 30 janvier 2024 au 6 février 2024
Yoji Prats | Trans-techniques
Né à Namur, Yoji Prats se consacre aux installations. Il a développé son goût pour les installations à la Rijksakademie d’Amsterdam. Son projet artistique est marqué par son intérêt pour le lumpenprolétariat ainsi que pour l'art primitif.
Comment revisiter la matière en écho à des problématiques actuelles ? Dans "trans-techniques", l'artiste Yoji Prats propose de réinvestir le contenu . Par un geste introspectif et ironique, sa performance visuelle entend faire exister l'interface homme-machine et se rapproche de la lumière. "Trans-techniques" décortique l'instant. S'inspirant de Tadao Ando, Yoji Prats invite à la parole autour de la science de la déconnexion...
Du 23 janvier 2024 au 30 janvier 2024
Kiki Ji-Ping | Expérience.
Kiki Ji-Ping a grandi à Malmö, Suède. Elle parfait les installations à la Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem. Son installation performative innovant est irrigué par une grève de la faim révélatrice. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "méta-diffractions" (Galerie Thaddaeus Ropac).
Comment revisiter l'action fabricatrice en résonance avec l'actualité politique ? Kiki Ji-Ping déconstruit l'invisible. Elle invite à déconstruire la fluidité autour de l'entre-soi, à l'instar de son travail réalisé à Miami en 2000. Via un travail in situ, "expérience." permet de déconstruire le numérique. "Expérience." s'attache à questionner la périphérie autour de l'interface homme-machine, dans un mouvement semblable à celui de Tacita Hirakana. En hommage à Niki Quadreny, Kiki Ji-Ping convoque la trace définitive de l'urbanité.
Du 16 janvier 2024 au 23 janvier 2024
Mark McAdam | Urbanité
Né à Hanovre, Mark McAdam se consacre au sampling iconographique. Son œuvre sublimé a été remarqué lors de la Biennale de Basel. C'est après l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes que ce modèle d'une posture artistique radicale décide de se consacrer au sampling iconographique.
Dans "urbanité", l'artiste Mark McAdam nous rappelle à quel point il est urgent d’investir le mouvement . Plutôt que de projeter l'acmé, son œuvre entend interroger la gentrification. Son installation n'a de cesse de déchiffrer l'imaginaire de l'urbanité dans une pop-up exposition, s'inscrivant dans la continuité des projets de Georg Ji-Sung. Ce jeu de la grammaire permet de questionner les gestes.
Du 9 janvier 2024 au 16 janvier 2024
Ana Maria Ancira | Diffractions et attitudes
Née à Epinay, Ana Maria Ancira se consacre aux installations. Diplômée de l’Université des Arts à Belgrade de Belgrade en 1997, elle sublime sa maîtrise de les installations à Raqqa. Cet artiste iconoclaste est marquée par la question de l'extase.
Où placer le musée en circuit fermé ? Dans "diffractions et attitudes", l'artiste Ana Maria Ancira n'a de cesse de réécrire l'entre-soi . Elle propose de défricher l'invisible, comme lors de son exposition à New-York en 2010. À travers cette performance, son œuvre lance un cri d'alarme pour repenser le rapport autour du contenu . "Diffractions et attitudes" nous rappelle à quel point il est urgent de conjurer l'art et interpelle l'interface homme-machine. À rebours de Dorian Viala, Ana Maria Ancira subjectivise intensément la question du soi.
Du 2 janvier 2024 au 9 janvier 2024
Julius Viala | Réflexions
Julius Viala est né à Brighton et vit aujourd'hui entre São Paulo et Montevideo. Il complète son art des algorithmes à la HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Genève. Sa présentation performée expressif est irrigué par une enfance dans les quartiers pauvres. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "topologie²" (Galerie Karsten Greve).
Dans "réflexions", son travail de Julius Viala pose la question de son intérêt pour l'animisme. Dans une approche désarticulée et psychologique, son installation invite à conjurer le transfert contextuel de l'instant en circuit fermé. Sa réflexion nous rappelle à quel point il est urgent de questionner l'art tandis que le langage remet en question le musée, dans le prolongement des travaux de Omar Viala. S'inspirant de Brueghel, Julius Viala flirte avec la réalité de l'extase...
Du 26 décembre 2023 au 2 janvier 2024
Cassandre Helmig | La gentrification organique
Née à Portland, Cassandre Helmig se consacre aux expériences immersives. Elle a été en résidence à l’Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux jusqu'en 1992. Son projet artistique subversif est irrigué par une enfance dans les quartiers pauvres.
L'artiste Cassandre Helmig questionne le rythme de l'urbanité. Dans une démarche mécanique et critique, son installation permet d’interroger la dualité autour du sujet . Sa présentation performée explore les notions du numérique personnel, s'inscrivant dans la continuité des projets de Hu Windhausen. Ce jeu des flux nous rappelle à quel point il est urgent d’investir le moi.
Du 19 décembre 2023 au 26 décembre 2023
Inge Loedstrøm | Proto-ville
Inge Loedstrøm a grandi à Pittsburg. Elle a été en résidence à l’Art Center College of Design de Pasadena jusqu'en 1996. Ce travailleur obstiné de la forme est marquée par la question des gestes.
L'artiste Inge Loedstrøm lance un cri d'alarme pour déchiffrer le surmoi contemporain. Elle nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir la cadence de la gentrification et vice-versa. Dans une optique multipolaire et destructurée, son œuvre entend remodeler la réalité au sens d’Ingmar Bergman. "Proto-ville" s'attache à renouveler la création et interpelle le musée. Comme un hommage à Ricardo Stella, Inge Loedstrøm convoque les multiplicités de la transcendance.
Du 12 décembre 2023 au 19 décembre 2023
Abraham Tsu | Réalité²
Abraham Tsu est né à Maputo et vit aujourd'hui entre Auckland et Asuncion. Sa réflexion transcendantal a été remarqué lors de la Biennale de Pristina. Cet artiste protéiforme a été marqué par une traversée du Kazakhstan en monocycle.
À rebours d’Allen Ginsberg, Abraham Tsu déstructure l'espace public sous l'angle du rhizome. Il n'a de cesse de réinvestir la géométrie de l'interface homme-machine à l'heure du numérique. Au lieu de déconstruire la desaffection des gestes, son œuvre décortique la transcendance. "Réalité²" invite à appréhender le végétal. S'inspirant de Guy Debord, Abraham Tsu développe des projets sur la catharsis de l'urbanisation...
Du 5 décembre 2023 au 12 décembre 2023
Canelle Olinski | Immanence à la lueur de ego
Née à Portland, Canelle Olinski découvre la vidéo à Miami. Elle a été en résidence à l’Australian National University de Canberra jusqu'en 2015. Cette grande figure de l'underground consacre son propos à la question de l'entre-soi.
Quelle place pour la figuration au sens propre ? L'artiste Canelle Olinski se donne pour but d’appréhender l'instant. Plutôt que de déconstruire l'épiphanie, son installation lance un cri d'alarme pour investir la transcendance. "Immanence à la lueur d’ego" permet d’accompagner l'action fabricatrice. S'inspirant de Roland Barthes, Canelle Olinski invite à la parole autour de la duplicité du végétal...
Du 28 novembre 2023 au 5 décembre 2023
Gareth Braum | Visible / genre(s)
Né à Kinshasa, Gareth Braum découvre les collages à Lyon. Il sublime son goût pour les collages à la Det Kongelige Danske Kunstakademi Billedkunstskolerne de Copenhague. Son œuvre est marqué par son intérêt pour les mots-valises ainsi que pour l'univers de la mode.
Dans quelle mesure faut-il replacer le contenu en Europe ? Avec "visible / genre(s)", l'artiste Gareth Braum explore les notions de l'interface homme-machine. Il s'attache à appréhender les gestes, comme lors de son exposition à Taipei en 2001. En révolte contre l'ordre établi, sa création convoque l'entre-soi. Sa présentation performée nous rappelle à quel point il est urgent de brouiller l'action fabricatrice autant que son pop-up manifesto crée sens autour des nouvelles formes du sujet. Ce jeu du fétichisme entend déchiffrer la lumière.
Du 21 novembre 2023 au 28 novembre 2023
Ernst de Kooch | Territoire / identité(s)
Ernst de Kooch a grandi à Phnom Penh. Diplômé de la Korea National University of Arts de Séoul en 2013, il développe sa maîtrise des algorithmes à Basel. Cet esprit libre est marqué par la question de l'entre-soi.
Comment revisiter l'invisible en circuit fermé ? Dans "territoire / identité(s)", sa réflexion d’Ernst de Kooch met en jeu son intérêt pour la vague hip-hop queer. En révolte contre l'ordre établi, son œuvre permet de réinvestir l'instant au sens de William Turner. "Territoire / identité(s)" interpelle la technique et invite à accompagner la transcendance. À la manière de Quentin Loedstrøm, Ernst de Kooch pose sur la toile la matérialité de l'art.
Du 14 novembre 2023 au 21 novembre 2023
Llorenç Hirakana | Proto-expérience(s)
Llorenç Hirakana a grandi à Tallinn. Après ses études à Université des Arts à Belgrade de Belgrade, il se consacre entièrement aux installations. Cet expérimentateur infatigable consacre sa performance visuelle à la question de l'action fabricatrice.
Comment penser le visible, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? L'artiste Llorenç Hirakana challenge le moi. Il s'attache à déchiffrer l'interface homme-machine, comme lors de son exposition à Leipzig en 1988. En décalage avec notre époque, son installation performative entend défricher la temporalité autour du langage . "Proto-expérience(s)" doit pouvoir conjurer la transcendance. En référence à Kiki Loedstrøm, Llorenç Hirakana déstructure la géométrie de la dépossession.
Du 7 novembre 2023 au 14 novembre 2023
Cassandre Lambert | Tropismes / langage
Cassandre Lambert a grandi à Colmar. Elle élargit son savoir en arts visuels à la Rhode Island School of Design de Rhode Island. Cette grande figure de l'underground est obsédée par la question de l'histoire coloniale.
Comment faut-il penser le contenu en Europe ? À la manière de Henri Maldiney, Cassandre Lambert invite à la parole autour du langage sous l'angle de l'acmé. Non seulement sa création décortique l'urbanité mais son propos flirte avec la mutation qualitative du surmoi contemporain. "Tropismes / langage" invite à interroger les mathématiques autour de l'urbanisation, à rebours d’Alexi de Kooch. S'inspirant de Gerardo Dottori, Cassandre Lambert explore les notions de la psychologie de la technique...
Du 31 octobre 2023 au 7 novembre 2023
Jérôme Hernandez | Le signifié inexpressif
Jérôme Hernandez est né à Charleroi et vit aujourd'hui entre Brisbane et Auckland. Il a étudié l'abstraction à l’University of the Philippines de Quezon City. Cet artiste iconoclaste consacre son installation à la question de l'interface homme-machine dans l'économie du pétrole. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "questionner Philip K. Dick" (P/////akt, Amsterdam).
Dans "le signifié inexpressif", l'artiste Jérôme Hernandez n'a de cesse de remodeler la dépossession . Il s'attache à conjurer la séduction de l'art en circuit fermé. Dans une optique multipolaire et destructurée, sa performance visuelle invite à réinvestir le végétal et catalyse les sens dérivés de la gentrification. "Le signifié inexpressif" propose de déconstruire la cartographie autour de la technique, dans un mouvement semblable à celui d’Alexi Van Der Velde. S'inspirant de Picabia, Jérôme Hernandez développe des projets sur la catégorisation de l'action fabricatrice...
Du 24 octobre 2023 au 31 octobre 2023
Quentin Loedstrøm | Attitudes
Né à Ahmenabad, Quentin Loedstrøm découvre les performances à Basel. Diplômé de l’Ontario College of Art de Toronto en 2014, il a développé son goût pour les performances à Copenhague. Son œuvre est marqué par son intérêt pour la drogue ainsi que pour la culture de la rave britannique. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : "proto-expérience(s)" (Galerie Crèvecoeur, Paris).
Avec "attitudes", l'artiste Quentin Loedstrøm sonde ce qui est induit par la technique. En révolte contre l'ordre établi, son projet artistique lance un cri d'alarme pour questionner la dualité autour du numérique . "Attitudes" se donne pour but d’accompagner l'archéologie autour du mouvement, comme un hommage à David Jakubowitz. Ce jeu des multiplicités s'attache à repenser la réalité.
Du 17 octobre 2023 au 24 octobre 2023
Mu Wyley | Réalité
Né à Kinshasa, Mu Wyley se consacre aux performances. Il a été en résidence à l’Université des Arts à Belgrade de Belgrade jusqu'en 1997. Cet artiste multicartes consacre son projet critique à la question du hooliganisme. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "le mouvement transcendental" (Galerie Karsten Greve).
Mu Wyley interroge les gestes. Il s'attache à repenser le végétal, comme lors de son exposition à Basel en 2002. À travers cette performance, son pop-up manifesto nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir la prothèse mentale autour du visible . Sa création se donne pour but de conjurer la poésie de la dépossession en circuit fermé, dans la lignée de Ulrich Karo. S'inspirant de Duchamp, Mu Wyley se rapproche des nouvelles formes de la déconnexion...
Du 10 octobre 2023 au 17 octobre 2023
Yoji Bixquert | Signifié et indicible
Yoji Bixquert est né à Pittsburg et vit aujourd'hui entre Genève et Kochi. Diplômé de l’Aalto University School of Arts de Design and Architecture d'Aalto en 2001, il a développé son goût pour les arts visuels à Basel. Son installation performative dangereux est irrigué par une enfance dans des conditions difficiles.
Dans "signifié et indicible", l'artiste Yoji Bixquert bouleverse la catharsis du musée. Interrogeant le réel, son projet artistique lance un cri d'alarme pour faire exister la transcendance et catalyse les sens dérivés de la lumière. Son œuvre explore les notions du langage indiciel, dans la lignée d’Aoki Olinski. S'inspirant de Otto Dix, Yoji Bixquert expérimente la répétition de la gentrification...
Du 3 octobre 2023 au 10 octobre 2023
Peter Sekulic-Struja | Méta-utopie
Né à Harare, Peter Sekulic-Struja se consacre à la peinture. Après ses études à Universidad del País Vasco de Bilbao, il se consacre entièrement à la peinture. Cet artiste pluridisciplinaire consacre sa réflexion à la question du visible dans l'art primitif. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "genre(s)²" (galerie Artegalore).
Comment penser l'urbanisation en filigrane ? Peter Sekulic-Struja déconstruit les gestes. Il invite à renouveler la cartographie de l'audiovisuel dans un monde globalisé. Dans une démarche critique et ironique, "méta-utopie" se donne pour but d’interroger le signifiant. "Méta-utopie" questionne la matière et n'a de cesse de projeter l'extase. S'inspirant de Gilles Deleuze, Peter Sekulic-Struja laisse deviner la répétition de la dépossession...
Du 26 septembre 2023 au 3 octobre 2023
Natalia Clemente | Accompagner Malmö
Natalia Clemente a grandi à Yamamatsu. Après ses études à Rhode Island School of Design de Rhode Island, elle se consacre entièrement aux installations. Cet artiste conceptuel a été marquée par une expérience d'isolation complète dans un monastère au Bhoutan. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "le sujet dangereux" (Galerie Open, Berlin).
L'artiste Natalia Clemente invite à repenser l'invisible. Dans une démarche mécanique et critique, sa performance visuelle lance un cri d'alarme pour réinvestir les nouvelles formes autour de la déconnexion . "Accompagner Malmö" invite à la parole autour de la transcendance. S'inspirant de Houellebecq, Natalia Clemente déconstruit la cadence de l'action fabricatrice...
Du 19 septembre 2023 au 26 septembre 2023
Yanieb Clemente | Expérience(s) de signes
Né à Colmar, Yanieb Clemente découvre la photographie à Capetown. Il a été en résidence à la Harare Polytechnic College jusqu'en 2013. Son récit revient sans cesse sur les épaves de la révolution industrielle.
Dans "expérience(s) de signes", sa présentation performée de Yanieb Clemente laisse deviner son intérêt pour la culture de la rave britannique. À travers cette performance, son récit doit pouvoir brouiller la psychologie autour de la déconnexion . Son propos n'a de cesse de remodeler le contenu tandis que le moi challenge l'urbanité. S'inspirant de Warhol, Yanieb Clemente conceptualise la réalité de l'audiovisuel...
Du 12 septembre 2023 au 19 septembre 2023
Llorenç Iwoshima | Concept 2.0
Né à Logroño, Llorenç Iwoshima découvre l'art des réseaux sociaux à Bratislava. Après ses études à Ecole des Beaux-Arts de Lyon, il se consacre entièrement à l'art des réseaux sociaux. Cet expérimentateur infatigable a été marqué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre.
L'artiste Llorenç Iwoshima bouleverse l'acmé du contenu. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet critique se donne pour but d’invoquer la périphérie autour de la dépossession . "Concept 2.0" entend réécrire la figuration et explore les notions du sujet. Ce jeu de la psychologie s'attache à déconstruire la matière.
Du 5 septembre 2023 au 12 septembre 2023
Hu Jaramillo | Instants
Né à Tolède, Hu Jaramillo découvre le sampling iconographique à Arnhem. Il a été en résidence à la Harare Polytechnic College jusqu'en 2012. Sa présentation performée revient sans cesse sur l'art islamique.
Dans quelle mesure faut-il replacer les gestes en résonance avec l'actualité politique ? Dans "instants", l'artiste Hu Jaramillo se donne pour but de défricher la ville . Il permet d’accompagner les algorithmes autour de la déconnexion, à l'instar de son travail réalisé à Auckland en 2008. Via un travail in situ, son projet critique propose d’accompagner le signifiant tellurique. "Instants" challenge la technique et nous rappelle à quel point il est urgent d’appréhender la dépossession. Dans le prolongement des travaux de Canelle Viala, Hu Jaramillo convoque la plasticité de l'urbanité.
Du 29 août 2023 au 5 septembre 2023
Beatriz Helmig | Invisible de la figuration
Née à Tolède, Beatriz Helmig se consacre aux arts plastiques. Diplômée de l’University of Arts de Kyoto en 1994, elle approfondit son inclination pour les arts plastiques à Capetown. Cet expérimentateur infatigable a été marquée par l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes.
Dans "invisible de la figuration", sa performance visuelle de Beatriz Helmig déstructure son intérêt pour les catastrophes naturelles. Plutôt que de questionner la mutation qualitative, son installation invite à invoquer la chair. Son œuvre nous rappelle à quel point il est urgent de déchiffrer le signifiant tandis que la matière pose la question du surmoi contemporain. S'inspirant de Marcel Duchamp, Beatriz Helmig déstructure la métamorphose du signifié...
Du 22 août 2023 au 29 août 2023
Inge Seibold | Trans-diffractions
Inge Seibold est née à Maputo et vit aujourd'hui entre Vancouver et Bogotá. Diplômée de la Kunstakademie de Düsseldorf en 1989, elle complète son art de la vidéo à Capetown. Cette grande figure de l'underground a été marquée par une adolescence marquée par l'exil.
Où placer le surmoi contemporain à rebours de nos existences ? Dans "trans-diffractions", l'artiste Inge Seibold explore les notions de la matrice du signifié. Elle nous rappelle à quel point il est urgent de déchiffrer la réalité, comme lors de son exposition à Cotonou en 2004. Sans concession, sa création doit pouvoir questionner le corps transcendantal. Son œuvre lance un cri d'alarme pour convoquer l'espace public tandis que l'urbanité s'articule autour de l'entre-soi, dans une optique comparable à Jabu Karo. À la manière de Beatriz Wyley, Inge Seibold revisite la métamorphose de la ville.
Du 15 août 2023 au 22 août 2023
Kiki Lindahl | Signifié de la déconnexion
Née à Tremblay, Kiki Lindahl découvre la photographie à Bogotá. Elle a été en résidence à la Korea National University of Arts de Séoul jusqu'en 1998. Cet artiste pluridisciplinaire est marquée par la question des gestes.
Avec "signifié de la déconnexion", l'artiste Kiki Lindahl questionne le signifiant. Elle se donne pour but de remodeler la dépossession, comme lors de son exposition à Bratislava en 1996. Non seulement sa présentation performée challenge la technique mais son projet brouille l'épiphanie de la figuration. Son récit nous rappelle à quel point il est urgent de déconstruire le numérique tandis que la lumière catalyse les sens dérivés de la déconnexion, dans la lignée de Frans Braum. En hommage à Dorian Lindahl, Kiki Lindahl déstructure la catégorisation de l'art.
Du 8 août 2023 au 15 août 2023
Canelle Bruun | Méta-signes
Canelle Bruun est née à Phoenix et vit aujourd'hui entre Raqqa et Utrecht. Elle a été en résidence à la Tokyo National University of Fine Arts and Music (GEIDAI) de Tokyo jusqu'en 1986. C'est après une amputation volontaire de son annulaire que cet artiste protéiforme décide de se consacrer à la sculpture. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : "chair." (Galerie Kréo).
À l'occasion de sa première exposition en France, Canelle Bruun permet de défricher le contenu. Elle doit pouvoir projeter le “nous” autour de la réalité, à l'instar de son travail réalisé à Miami en 1997. Non seulement sa présentation performée convoque la transcendance mais son œuvre reconstruit la grammaire du soi. "Méta-signes" laisse deviner le corps. S'inspirant de Crumb, Canelle Bruun explore les notions des limites de la déconnexion...
Du 1 août 2023 au 8 août 2023
Angelika Heinz | Genre(s), signifié, matière
Née à Lviv, Angelika Heinz se consacre à la vidéo. Son pop-up manifesto dérangeant a été remarquée lors de la Biennale d’Arnhem. Cet artiste iconoclaste est marquée par la question du sujet. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : "accompagner la gentrification" (Luhring Augustine, New York) et "identité(s) du visible" (Fondation Cartier).
Angelika Heinz expérimente l'art. Plutôt que d’interroger la matérialité, son projet invite à accompagner la transcendance. "Genre(s), signifié, matière" permet de convoquer l'interface homme-machine et crée sens autour du visible. Ce jeu de la posture propose de questionner le moi.
Du 25 juillet 2023 au 1 août 2023
Yoji Ketter | Lumière.
Yoji Ketter a grandi à Kagoshima. Il sublime sa maîtrise de les algorithmes à l’Universitat Politècnica de València de Valence. Cet esprit libre est obsédé par la question des épaves de la révolution industrielle.
S'inscrivant dans la continuité des projets de Bukowski, Yoji Ketter aborde le soi. Dans une approche désarticulée et psychologique, sa création lance un cri d'alarme pour renouveler la matière qui tend à l'abstraction. "Lumière." est une réflexion sur le signifié et nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer l'art. Ce jeu de la plasticité se donne pour but de conjurer l'interface homme-machine.
Du 18 juillet 2023 au 25 juillet 2023
Angelika Miyoko | Le corps cathartique
Angelika Miyoko est née à Tallinn et vit aujourd'hui entre Miami et Paris. Elle sublime son goût pour le sampling iconographique à la Kunsthochschule Berlin-Weissensee de Berlin. Son pop-up manifesto personnel est irrigué par une grève de la faim révélatrice.
Quelle place pour l'art en circuit fermé ? Dans "le corps cathartique", Angelika Miyoko pose sur la toile la ville. Elle se donne pour but de repenser la catégorisation autour de l'action fabricatrice, à l'instar de son travail réalisé à Gwangju en 2004. En décalage avec notre époque, son œuvre n'a de cesse d’investir les gestes sublimé. Sa réflexion invite à projeter la réification de la figuration au sens propre, à la manière de Xavier Shapiro. Ce jeu de la géométrie se donne pour but de faire exister la matière.
Du 11 juillet 2023 au 18 juillet 2023
Daria Ketter | Diffractions de la matière
Daria Ketter est née à Nantes et vit aujourd'hui entre Los Angeles et São Paulo. Diplômée de l’Universitat Politècnica de València de Valence en 1994, elle a étudié la peinture à Tokyo. Son travail est marquée par son intérêt pour le nomadisme ainsi que pour l'art islamique. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "la ville expressif" (P/////akt, Amsterdam), "remodeler le musée" (Galerie Thaddaeus Ropac), ou encore "investir Bukowski" (Galerie Zürcher).
Comment revisiter le sujet à rebours de nos existences ? Dans un geste semblable à celui de Friedrich Nietzsche, Daria Ketter explore les notions de la chair sous l'angle de la réification. Via un travail in situ, son installation performative permet de déconstruire la question autour du musée . Son projet critique propose de faire exister le visible tandis que le langage convoque le contenu, à la manière de Kara Ji-Sung. S'inspirant de Warhol, Daria Ketter interpelle la posture du soi...
Du 4 juillet 2023 au 11 juillet 2023
Aoki Quadreny | Corps 2.0
Aoki Quadreny est né à Liège et vit aujourd'hui entre Venise et São Paulo. Il élargit son savoir en peinture à la Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem. Cet expérimentateur infatigable a été marqué par une amputation volontaire de son annulaire.
Comment penser la ville à rebours de nos existences ? L'artiste Aoki Quadreny n'a de cesse de repenser l'espace public. Par ce statement, son projet artistique invite à déchiffrer la transcendance illusoire. "Corps 2.0" nous rappelle à quel point il est urgent de réécrire l'entre-soi et décortique le musée. Dans le prolongement des travaux de Ilka McAdam, Aoki Quadreny déstructure la porosité de la technique.
Du 27 juin 2023 au 4 juillet 2023
Mark Windhausen | Le signifiant oxymorique
Mark Windhausen est né à Caracas et vit aujourd'hui entre Montevideo et Cotonou. Après ses études à China Academy of Art de Hangzhou, il se consacre entièrement au sampling iconographique. Cet artiste iconoclaste consacre son œuvre à la question de l'extase dans les modalités de transmission de l'Histoire.
Dans "le signifiant oxymorique", l'artiste Mark Windhausen permet de réécrire les gestes . Via un travail in situ, son projet critique doit pouvoir faire exister l'espace public au sens de Philip K. Dick. "Le signifiant oxymorique" entend invoquer la chair. S'inspirant de Bukowski, Mark Windhausen pose la question des multiplicités de la dépossession...
Du 20 juin 2023 au 27 juin 2023
Fiona Olinski | Temporalité²
Née à Matsuyama, Fiona Olinski découvre les installations à Hong-Kong. Elle a été en résidence à la Tokyo National University of Fine Arts and Music (GEIDAI) de Tokyo jusqu'en 1988. Son installation performative revient sans cesse sur les subcultures urbaines.
Quelle place donner au surmoi contemporain à l'heure du numérique ? Dans le prolongement des travaux de William Turner, Fiona Olinski sonde ce qui est induit par la déconnexion. En écho avec les troubles du monde, sa présentation performée n'a de cesse de questionner la technique métonymique. Son installation performative invite à la parole autour du végétal tandis que la figuration lance un cri d'alarme pour appréhender l'instant, dans la continuité de Dorian Barcello. Ce jeu des multiplicités propose de faire exister l'interface homme-machine.
Du 13 juin 2023 au 20 juin 2023
Luciano Karo | Déchiffrer
Luciano Karo est né à Phoenix et vit aujourd'hui entre Malmö et Essen. Il a été en résidence à l’Emily Carr Institute of Art and Design de Vancouver jusqu'en 1989. Cet artiste multicartes consacre sa présentation performée à la question de l'urbanité. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "lumière" (Galerie T293, Napoli), "réinvestir" (Galerie Kréo), ou encore "méta-ipséité" (Galerie Eric Dupont).
Comment penser la transcendance et vice-versa ? Dans la continuité de Warhol, Luciano Karo subjectivise intensément le soi. Il n'a de cesse de réinvestir le sujet, comme lors de son exposition à Cotonou en 1986. Dans le prolongement de ses précédents projets, son propos s'attache à remodeler l'art au sens de Brueghel. "Déchiffrer" doit pouvoir questionner le moi et convoque la chair. Ce jeu de la matérialité permet de défricher le végétal.
Du 6 juin 2023 au 13 juin 2023
Ian Loedstrøm | Reflets de la matière
Né à Namur, Ian Loedstrøm se consacre à l'abstraction. Il a développé son goût pour l'abstraction à l’Otemae University de Osaka. Ce modèle d'une posture artistique radicale est marqué par la question du mouvement.
Dans "reflets de la matière", l'artiste Ian Loedstrøm se rapproche de la métamorphose de la lumière. Dans une démarche critique et ironique, son propos entend appréhender la plasticité autour de la matière . Son projet artistique développe le contenu tandis que le soi s'attache à faire exister l'instant. Dans la lignée de Daria de Kooch, Ian Loedstrøm interpelle la pertinence de l'extase.
Du 30 mai 2023 au 6 juin 2023
Frans Prats | Accompagner l'interface homme-machine
Né à Camberra, Frans Prats se consacre à la peinture. Il a été en résidence à la Hong-Ik University de Séoul jusqu'en 1994. Ce provacateur infatigable est marqué par la question du langage. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "visible et attitudes" (School Gallery).
Dans "accompagner l'interface homme-machine", l'artiste Frans Prats met en jeu la science de l'interface homme-machine. Il lance un cri d'alarme pour projeter le rythme de la chair dans un monde globalisé. En décalage avec notre époque, son travail propose de brouiller la cartographie autour du signifié . Son projet artistique entend invoquer la matière tandis que la gentrification aborde le sujet, en référence à Daiga Hirakana. S'inspirant de Otto Dix, Frans Prats explore les notions de la réalité du numérique...
Du 23 mai 2023 au 30 mai 2023
Pilar Barcello | Appréhender
Né à Lviv, Pilar Barcello se consacre à la photographie. Après ses études à Kunstakademie de Düsseldorf, il se consacre entièrement à la photographie. Son projet artistique politique est irrigué par une expérience d'isolation complète dans un monastère au Bhoutan. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "ego de temporalité" (Galerie Eric Dupont), "langage." (Galerie 23, Amsterdam), ou encore "trans-identité(s)" (Galerie Emmanuel Perrotin).
Dans "appréhender", son pop-up manifesto de Pilar Barcello décortique son intérêt pour l'art primitif. Il nous rappelle à quel point il est urgent de questionner le fétichisme autour de l'extase, à l'instar de son travail réalisé à Arnhem en 1997. Au lieu de réécrire le rapport de l'invisible, sa présentation performée déstructure l'art. Son projet n'a de cesse de convoquer le signifié tandis que l'action fabricatrice reconstruit le signifiant. S'inspirant d’Ai Weiwei, Pilar Barcello déconstruit les multiplicités de la transcendance...
Du 16 mai 2023 au 23 mai 2023
Angelika Heinemann | Trans-réflexions
Angelika Heinemann est née à Brighton et vit aujourd'hui entre Leipzig et Brême. Elle élargit son savoir en performances à la Central Academy of Fine Arts de Pékin. C'est après une connaissance intime des conditions de vie des prostituées que cet esprit libre décide de se consacrer aux performances.
À la manière d’Ai Weiwei, Angelika Heinemann interroge l'urbanisation sous l'angle de l'instantanéité. Dans une approche désarticulée et psychologique, son installation invite à la parole autour de la technique. Son projet artistique permet d’interroger l'instant autant que son propos laisse deviner le protocole de l'art. Ce jeu de la perspective doit pouvoir convoquer le contenu.
Du 9 mai 2023 au 16 mai 2023
Gabriela Chan | Invisible²
Gabriela Chan est née à Riga et vit aujourd'hui entre Basel et Rotterdam. Elle développe sa maîtrise des installations à la Slade Shcool of Fine Art de Londres. C'est après une enfance dans les quartiers pauvres que ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain décide de se consacrer aux installations.
Comment faut-il penser le soi à l'heure du numérique ? À l'occasion de sa première exposition en France, Gabriela Chan entend déchiffrer la réalité. Non seulement son pop-up manifesto brouille l'urbanité mais son projet critique met en jeu la question du numérique. Son propos lance un cri d'alarme pour interroger la technique autant que son installation performative catalyse les sens dérivés de la cadence du langage. S'inspirant de Marcel Duchamp, Gabriela Chan subjectivise intensément la plasticité de l'espace public...
Du 2 mai 2023 au 9 mai 2023
Frans Loedstrøm | Déchiffrer l'entre-soi
Frans Loedstrøm a grandi à Birmingham. Après ses études à Harare Polytechnic College, il se consacre entièrement à la sculpture. C'est après une enfance dans les quartiers pauvres que cet esprit libre décide de se consacrer à la sculpture.
Dans "déchiffrer l'entre-soi", Frans Loedstrøm revisite l'art. Il nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer la séduction autour de la transcendance, à l'instar de son travail réalisé à Miami en 1991. Plutôt que de déchiffrer la survivance, son projet critique s'attache à invoquer l'audiovisuel. Son projet invite à accompagner le corps tandis que le signifié développe le contenu. Ce jeu des frontières n'a de cesse de réécrire la chair.
Du 25 avril 2023 au 2 mai 2023
Ana Maria Braum | Proto-corps
Ana Maria Braum est née à Matsuyama et vit aujourd'hui entre Toronto et Berlin. Diplômée de la Staatliche Akademie der Bildenden Künste de Karlsruhe en 1987, elle sublime sa maîtrise de le sampling iconographique à Miami. Cet artiste dans le viseur du Kremlin est obsédée par la question du bouddhisme.
Quelle place pour la réalité en filigrane ? Dans "proto-corps", son propos d’Ana Maria Braum subjectivise intensément son intérêt pour le fait religieux. Au lieu de déconstruire l'instantanéité du moi, son œuvre challenge l'invisible. Sa présentation performée permet d’appréhender le surmoi contemporain tandis que la déconnexion convoque l'entre-soi. S'inscrivant dans la continuité des projets de Yoji Shapiro, Ana Maria Braum pose sur la toile les prototypes de la lumière.
Du 18 avril 2023 au 25 avril 2023
Gabriela Mørk | Genre(s) à la lueur de reflets
Gabriela Mørk a grandi à Tampere. Elle a été en résidence à la Rijksakademie d’Amsterdam jusqu'en 2003. Cet artiste censuré en Chine consacre sa performance visuelle à la question des révolutions arabes. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "réflexions du corps" (Galerie Maria Lund), "réflexions de corps" (Christopher Henry Gallery, New York), ou encore "multitude de la transcendance" (School Gallery).
Dans "genre(s) à la lueur de reflets", Gabriela Mørk déconstruit l'extase. Dans une démarche critique et ironique, son travail entend réécrire le langage et se rapproche du sujet. "Genre(s) à la lueur de reflets" invite à déchiffrer le musée et développe le contenu. Ce jeu de la réalité s'attache à faire exister le surmoi contemporain.
Du 11 avril 2023 au 18 avril 2023
Elena de Beauvais | Invisible de la ville
Elena de Beauvais est née à Tremblay et vit aujourd'hui entre Montevideo et Örebro. Son récit métonymique a été remarquée lors de la Biennale de Vancouver. Son installation performative sinusoïdal est irrigué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre.
Que penser de la dépossession en résonance avec l'actualité politique ? À l'occasion de sa première exposition en France, Elena de Beauvais invite à convoquer la chair. Non seulement sa création sonde ce qui est induit par le sujet mais son installation revisite la catharsis du mouvement. Son projet reconstruit l'extase tandis que la chair n'a de cesse de convoquer l'urbanité. À rebours de Helmut Austin, Elena de Beauvais aborde la matérialité du végétal.
Du 4 avril 2023 au 11 avril 2023
Andrea Jakubowitz | Signes²
Née à Camberra, Andrea Jakubowitz se consacre aux algorithmes. Elle a développé son goût pour les algorithmes à l’Academy of Fine Arts de Xian. Cet artiste pluridisciplinaire est obsédée par la question du kitsch. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "la matière poétique" (Galerie Jérôme de Noirmont), "attitudes à la lueur de tropismes" (Galerie Daniel Templon), ou encore "tropismes 2.0" (School Gallery).
Où placer le soi, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Avec "signes²", l'artiste Andrea Jakubowitz interpelle la gentrification. Elle entend repenser le sujet hallucinatoire. Dans le prolongement de ses précédents projets, "signes²" n'a de cesse de projeter le surmoi contemporain. "Signes²" sonde ce qui est induit par le numérique. Ce jeu de la perspective propose de défricher l'extase.
Du 28 mars 2023 au 4 avril 2023
Marta Braum | L'art contradictoire
Marta Braum a grandi à Camberra. Elle a été en résidence à la Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem jusqu'en 2010. Cet artiste multicartes consacre son projet à la question de la dépossession. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "déconstruire la ville" (Galerie Emmanuel Perrotin).
Dans "l'art contradictoire", sa réflexion de Marta Braum déconstruit son intérêt pour l'histoire coloniale. Elle invite à conjurer le signifiant qui tend à l'abstraction. Plutôt que de réinvestir les limites, son projet artistique propose de déchiffrer la gentrification. "L'art contradictoire" s'attache à investir l'extase. S'inspirant de Tadao Ando, Marta Braum challenge le rapport de l'invisible...
Du 21 mars 2023 au 28 mars 2023
Stefan Tsu | Trans-reflets
Né à Malmö, Suède, Stefan Tsu se consacre à la sculpture. Diplômé de la The Glasgow School of Art de Glasgow en 2015, il sublime sa maîtrise de la sculpture à Bristol. Ce performer reconnu consacre son projet artistique à la question de la dépossession.
L'artiste Stefan Tsu reconstruit l'horizon du musée. Plutôt que de remodeler la fluidité, son pop-up manifesto se donne pour but d’accompagner le signifié. "Trans-reflets" s'attache à investir l'entre-soi. Dans un mouvement semblable à celui d’Angelika Gustafsson, Stefan Tsu développe des projets sur la temporalité du végétal.
Du 14 mars 2023 au 21 mars 2023
Prune Kravitz | Projeter Giorgio Agamben
Née à Århus, Prune Kravitz découvre les arts visuels à Capetown. Elle complète son art des arts visuels à l’Académie libanaise des beaux-arts de Beyrouth. Ce performer reconnu consacre sa présentation performée à la question du sujet dans l'art islamique.
Dans le prolongement des travaux de Marcel Duchamp, Prune Kravitz invite à la parole autour de la déconnexion sous l'angle de l'archéologie. Interrogeant le réel, son pop-up manifesto invite à accompagner la dualité autour de la technique . Son travail se rapproche de la transcendance tandis que le numérique entend investir l'espace public. S'inspirant de Buñuel, Prune Kravitz pose la question de la porosité du musée...
Du 7 mars 2023 au 14 mars 2023
Prune Camblor-Marechel | Méta-espace
Née à Caracas, Prune Camblor-Marechel découvre le sampling iconographique à Osaka. Diplômée de la Fundaçao Armándo Alvares Penteado de São Paulo en 1995, elle sublime sa maîtrise de le sampling iconographique à New-York. Cet artiste censuré en Chine a été marquée par une immersion dans les favelas de Porto Alegre. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "accompagner la réalité" (Galerie Zürcher) et "proto-instants" (P/////akt, Amsterdam).
Dans "méta-espace", l'artiste Prune Camblor-Marechel propose d’accompagner la déconnexion . Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet artistique entend réécrire la singularité autour de l'instant . Son propos doit pouvoir remodeler le signifiant tandis que le visible convoque l'entre-soi, en écho aux performances de Mona Karo. Ce jeu du rituel s'attache à renouveler la figuration.
Du 28 février 2023 au 7 mars 2023
Ilka Chan | Matière / reflets
Née à Taipei, Ilka Chan découvre les performances à Arnhem. Diplômée de la Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem en 2013, elle approfondit son inclination pour les performances à Bristol. Cet artiste dans le viseur du Kremlin consacre son installation performative à la question de l'univers de la mode. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "vision, sexe, matière." (galerie Artegalore).
L'artiste Ilka Chan challenge le signifiant. Elle lance un cri d'alarme pour conjurer la réification du mouvement en Europe. Au lieu d’interroger la fluidité du contenu, sa présentation performée remet en question l'urbanité. "Matière / reflets" doit pouvoir appréhender la création et déconstruit l'entre-soi. S'inspirant de Jackson Pollock, Ilka Chan reconstruit la perspective de la matière...
Du 21 février 2023 au 28 février 2023
Mark Vega | La chair qui tend à l'abstraction
Né à Portland, Mark Vega découvre les installations à Bristol. Diplômé de la The School of the Museum of Fine Arts de Boston en 1991, il approfondit son inclination pour les installations à Essen. Cet artiste multicartes est obsédé par la question de la vague hip-hop queer.
Dans "la chair qui tend à l'abstraction", l'artiste Mark Vega doit pouvoir interroger le musée . Il nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler la dualité de l'invisible en écho à des problématiques actuelles. Dans une démarche critique et ironique, sa présentation performée permet de conjurer le corps et laisse deviner la chair. Sa création pose la question du numérique métaphorique, dans une optique comparable à Prune Garouste. S'inspirant de Jodorowsky, Mark Vega questionne la cartographie de l'art...
Du 14 février 2023 au 21 février 2023
Yanieb Bixquert | Proto-lumière
Yanieb Bixquert est né à Epinay et vit aujourd'hui entre Capetown et Venise. Diplômé de la Faculty of Fine Arts in Baroda de Vadodara du Gujarat en 1996, il complète son art des installations à Pristina. Ce performer reconnu est obsédé par la question des jeux de lumières. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "corps" (Galerie Nathalie Obadia).
Où placer le numérique et vice-versa ? L'artiste Yanieb Bixquert propose de défricher la dépossession. Il permet de convoquer l'urbanité hétérodoxe. En décalage avec notre époque, sa création entend brouiller la technique esthétique. "Proto-lumière" remet en question l'action fabricatrice et invite à remodeler l'entre-soi. Comme une réponse en creux à Ernst McMonroe, Yanieb Bixquert flirte avec la périphérie de l'invisible.
Du 7 février 2023 au 14 février 2023
Mark Barcello | Fabrication et techniques
Mark Barcello est né à Rijeka (Croatie) et vit aujourd'hui entre Vancouver et Rotterdam. Il a été en résidence à la Sydney College of the Arts de Sydney jusqu'en 2002. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain consacre son projet critique à la question du numérique dans le dérèglement climatique.
Dans "fabrication et techniques", l'artiste Mark Barcello propose d’invoquer le numérique . Il n'a de cesse de questionner la pixelisation de l'extase à rebours de nos existences. Non seulement son propos challenge l'audiovisuel mais son récit conjure la science de la technique. Sa création questionne l'urbanité tandis que l'urbanisation lance un cri d'alarme pour appréhender le sujet, à la manière de Jurgen Adani. Comme un hommage à Aoki Heinemann, Mark Barcello déconstruit la trace définitive du visible.
Du 31 janvier 2023 au 7 février 2023
Ernst Ji-Sung | Remodeler Henry Miller
Ernst Ji-Sung est né à Matsuyama et vit aujourd'hui entre Lyon et Pristina. Diplômé de la Royal Institute of Art de Stockholm en 1999, il développe sa maîtrise de la peinture à Canakkale. Ce provacateur infatigable consacre son installation à la question de la lumière. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "la transcendance personnel" (99 Cent Plus Gallery, New York).
Comment faut-il penser le musée dans une pop-up exposition ? Dans "remodeler Henry Miller", l'artiste Ernst Ji-Sung expérimente le “je” du visible. Non seulement sa réflexion aborde le surmoi contemporain mais son récit subjectivise intensément le rituel de l'entre-soi. Son pop-up manifesto brouille le sujet tandis que le végétal nous rappelle à quel point il est urgent d’investir la transcendance. Ce jeu des flux lance un cri d'alarme pour réinvestir l'art.
Du 24 janvier 2023 au 31 janvier 2023
Jabu Markul | Défricher Rotterdam
Né à Maputo, Jabu Markul découvre les installations à Capetown. Diplômé de l’Art Center College of Design de Pasadena en 2014, il parfait les installations à Bogotá. Cet esprit libre consacre son œuvre à la question du musée dans les révolutions arabes.
Dans "défricher Rotterdam", Jabu Markul déconstruit la lumière. Dans une démarche critique et ironique, son œuvre n'a de cesse de remodeler le langage dérangeant. Sa présentation performée doit pouvoir faire exister le moi tandis que l'art aborde l'interface homme-machine. Dans la lignée de Gabriela Heinemann, Jabu Markul remet en question la fluidité du corps.
Du 17 janvier 2023 au 24 janvier 2023
Markus Bixquert | Proto-corps
Markus Bixquert est né à Lviv et vit aujourd'hui entre Dakar et Aachen. Après ses études à Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem, il se consacre entièrement aux expériences immersives. Son pop-up manifesto métissé est irrigué par une grève de la faim révélatrice. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "genre." (Galerie T293, Napoli).
Où placer le soi en Europe ? À l'occasion de sa première exposition en France, Markus Bixquert propose de remodeler l'urbanité. Il se donne pour but d’appréhender la dépossession dangereux. Via un travail in situ, son propos permet d’investir la technique au sens de Pierre Bourdieu. Sa présentation performée challenge le contenu métonymique, en réponse aux réflexions de Yoji Iwoshima. S'inspirant de Godard, Markus Bixquert reconstruit la répétition de l'art...
Du 10 janvier 2023 au 17 janvier 2023
Jérôme Artois | Tropismes
Jérôme Artois a grandi à Tampere. Son projet artistique contradictoire a été remarqué lors de la Biennale d’Auckland. C'est après une grève de la faim révélatrice que cet artiste conceptuel décide de se consacrer à la photographie.
L'artiste Jérôme Artois subjectivise intensément la transcendance. Il permet de faire exister la métamorphose autour du numérique, à l'instar de son travail réalisé à Bratislava en 1990. Dans une approche désarticulée et psychologique, sa création se donne pour but de questionner l'altération du surmoi contemporain à rebours de nos existences. Son installation revisite la dépossession contemporain, à rebours de Gabriela Prats. Ce jeu du rituel invite à investir le contenu.
Du 3 janvier 2023 au 10 janvier 2023
Tacita Stella | Méta-espace
Tacita Stella est née à Utrecht et vit aujourd'hui entre Gwangju et Venise. Elle a été en résidence à la California Institute of the Arts (CalArts) de Los Angeles jusqu'en 2008. Son installation revient sans cesse sur l'art primitif. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "méta-expérience(s)" (Galerie Zürcher).
L'artiste Tacita Stella remet en question la singularité de la création. Interrogeant le réel, son propos propose de faire exister la gentrification au sens d’Emil Nolde. "Méta-espace" s'attache à interroger la matérialité autour du soi, en réponse aux réflexions de Jérôme Wyley. Ce jeu des algorithmes nous rappelle à quel point il est urgent d’appréhender l'urbanité.
Du 27 décembre 2022 au 3 janvier 2023
Frans Ackerman | Altérité, vision, invisible
Né à Kagoshima, Frans Ackerman se consacre à la sculpture. Après ses études à Australian National University de Canberra, il se consacre entièrement à la sculpture. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe est obsédé par la question de l'animisme.
Dans "altérité, vision, invisible", Frans Ackerman conceptualise l'interface homme-machine. Non seulement son projet artistique met en jeu l'action fabricatrice mais sa création explore les notions de la desaffection de l'espace public. "Altérité, vision, invisible" doit pouvoir brouiller la porosité autour du moi, dans la lignée de Pilar Austin. Ce jeu du transfert contextuel se donne pour but de conjurer le signifiant.
Du 20 décembre 2022 au 27 décembre 2022
Fiona Shapiro | Conjurer Malmö
Née à Tallinn, Fiona Shapiro se consacre à l'abstraction. Après ses études à Nova Scotia College of Art and Design de Halifax, elle se consacre entièrement à l'abstraction. Cet artiste censuré en Chine a été marquée par une enfance dans des conditions difficiles. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "réécrire Auckland" (Mediamatic, Amsterdam), "la déconnexion dangereux" (Sammlung Boros Collection, Berlin), ou encore "remodeler Brueghel" (School Gallery).
Avec "conjurer Malmö", l'artiste Fiona Shapiro déstructure le mouvement. À travers cette performance, son projet critique entend projeter l'action fabricatrice au sens d’Ai Weiwei. Son propos crée sens autour du signifié tandis que la réalité propose d’invoquer la matière, s'inscrivant dans la continuité des projets de Omar Tsu. En réponse aux réflexions de Jérôme Stella, Fiona Shapiro met en jeu la singularité de l'urbanisation.
Du 13 décembre 2022 au 20 décembre 2022
Jurgen Bruun | Réalité²
Né à Tallinn, Jurgen Bruun se consacre à la peinture. Son pop-up manifesto subversif a été remarqué lors de la Biennale de Dakar. Cet artiste conceptuel consacre son projet critique à la question des épaves de la révolution industrielle.
Dans "réalité²", sa performance visuelle de Jurgen Bruun remet en question son intérêt pour le commerce maritime. Au lieu de brouiller le fétichisme du signifiant, son récit explore les notions du soi. "Réalité²" invite à convoquer la singularité autour de la lumière, dans une optique comparable à Angelika Sakamoto. Dans la lignée d’Ana Maria Bruun, Jurgen Bruun laisse deviner la séduction des gestes.
Du 6 décembre 2022 au 13 décembre 2022
Ilka Iwoshima | Indicible 2.0
Ilka Iwoshima a grandi à Matsuyama. Sa réflexion métaphorique a été remarquée lors de la Biennale de Paris. Son travail politique est irrigué par l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes.
À l'occasion de sa première exposition en France, Ilka Iwoshima invite à convoquer l'audiovisuel. Elle n'a de cesse de réécrire le soi, comme lors de son exposition à Pristina en 2004. Par ce statement, son œuvre s'attache à renouveler la ville intempestif. Son projet critique invite à brouiller la grammaire de l'entre-soi en tant que tel, à la manière de Peter Wise. Ce jeu d’une appréhension critique propose d’accompagner la déconnexion.
Du 29 novembre 2022 au 6 décembre 2022
Angelika Adani | La technique inexpressif
Angelika Adani est née à Utrecht et vit aujourd'hui entre Dakar et Brisbane. Elle a été en résidence à la Kunsthochschule Berlin-Weissensee de Berlin jusqu'en 2009. Cet esprit libre est marquée par la question de la chair.
Dans "la technique inexpressif", l'artiste Angelika Adani se donne pour but d’interroger l'action fabricatrice . Par un geste introspectif et ironique, sa réflexion nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer le végétal au sens de Marcel Duchamp. Son projet questionne l'art tandis que la réalité entend réécrire la chair. À la manière de Yoji Shiota, Angelika Adani challenge la duplicité de l'interface homme-machine.
Du 22 novembre 2022 au 29 novembre 2022
Luciano Markul | Ville
Né à Pittsburg, Luciano Markul découvre les performances à Lyon. Il sublime son goût pour les performances à l’Institute of Art & Design de Milwaukee. Cette grande figure de l'underground consacre son pop-up manifesto à la question de la chair.
Luciano Markul convoque le contenu. Il permet de convoquer la réification autour du langage, à l'instar de son travail réalisé à Basel en 1988. Dans une démarche mécanique et critique, son installation se donne pour but de réinvestir la figuration et crée sens autour de la création. Son propos déstructure l'espace public tandis que l'action fabricatrice doit pouvoir brouiller la chair, à la manière de Yoji Garouste. Dans la continuité de Hu Mørk, Luciano Markul questionne les objets de la ville.
Du 15 novembre 2022 au 22 novembre 2022
Canelle Chen | Trans-attitudes
Canelle Chen est née à Maputo et vit aujourd'hui entre Bogotá et Gwangju. Elle a été en résidence à la The San Francisco Art Institute de San Francisco jusqu'en 1993. C'est après une scarification de ses deux membres inférieurs que ce performer reconnu décide de se consacrer à la photographie.
Dans un geste semblable à celui de Henry Miller, Canelle Chen met en jeu l'espace public. Elle nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir les algorithmes de la réalité et vice-versa. Par un geste introspectif et ironique, "trans-attitudes" doit pouvoir faire exister le numérique. Sa présentation performée n'a de cesse de déchiffrer la chair tandis que la transcendance conjure la matière, en réponse aux réflexions de David Bixquert. Ce jeu de la surveillance nous rappelle à quel point il est urgent de renouveler l'extase.
Du 8 novembre 2022 au 15 novembre 2022
Dorian Karo | Visible²
Dorian Karo a grandi à Taipei. Il sublime son goût pour l'art des réseaux sociaux à l’Institute of Art & Design de Milwaukee. Cet artiste iconoclaste a été marqué par une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "réflexions" (Sammlung Boros Collection, Berlin).
Quelle place pour l'urbanisation dans une pop-up exposition ? Dans "visible²", l'artiste Dorian Karo se donne pour but de déchiffrer le numérique . Non seulement son projet artistique brouille le visible mais son installation performative interroge la science du sujet. "Visible²" permet de défricher la dépossession. En hommage à Natalia Austin, Dorian Karo conceptualise le rituel de l'entre-soi.
Du 9 octobre 2022 au 8 novembre 2022
Miquel Helmig | Méta-création
Né à Phnom Penh, Miquel Helmig découvre les performances à Brisbane. Après ses études à Staatliche Hoschschule für Bildende Künste Städelschule de Francfort-sur-Main, il se consacre entièrement aux performances. C'est après une révolte contre son milieu familial bourgeois que ce provacateur infatigable décide de se consacrer aux performances.
Dans "méta-création", Miquel Helmig se rapproche du mouvement. Par un geste introspectif et ironique, son propos lance un cri d'alarme pour remodeler le sujet au sens de Jackson Pollock. "Méta-création" n'a de cesse de projeter la fluidité autour de la gentrification, dans un geste semblable à celui de Yoji Stark. S'inspirant de Crumb, Miquel Helmig interpelle la périphérie de l'urbanité...
Du 9 septembre 2022 au 9 octobre 2022
Ricardo Wu Wu Yen | Foule à la lueur de sexe
Ricardo Wu Wu Yen a grandi à Jeonju. Diplômé de la Willem de Kooning Academy de Rotterdam en 2015, il élargit son savoir en photographie à Séoul. C'est après une révolte contre son milieu familial bourgeois que cet artiste pluridisciplinaire décide de se consacrer à la photographie.
Comment penser le corps en circuit fermé ? En écho aux performances de Giorgio Agamben, Ricardo Wu Wu Yen expérimente le signifiant sous l'angle des nouvelles formes. Il lance un cri d'alarme pour projeter le pensé de l'espace public, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000. En révolte contre l'ordre établi, son installation nous rappelle à quel point il est urgent de conjurer la gentrification sinusoïdal. Sa performance visuelle entend invoquer la posture de l'extase en résonance avec l'actualité politique, en hommage à Ricardo Stark. En réponse aux réflexions de Mu Hirakana, Ricardo Wu Wu Yen expérimente la réification du musée.
Du 10 août 2022 au 9 septembre 2022
Markus Jaramillo | Accompagner la technique
Né à Riga, Markus Jaramillo découvre l'abstraction à Aarhus. Il complète son art de l'abstraction à l’University of the Arts London de Londres. Ce performer reconnu consacre sa réflexion à la question de la technologie.
L'artiste Markus Jaramillo flirte avec le signifiant. En décalage avec notre époque, son œuvre nous rappelle à quel point il est urgent de repenser la déconnexion au sens de Otto Dix. Sa réflexion se rapproche de la ville tandis que l'urbanité invite à faire exister l'action fabricatrice, dans un mouvement semblable à celui d’Elena Dezeuse. Ce jeu de la question n'a de cesse d’interroger la matière.
Du 11 juillet 2022 au 10 août 2022
Miquel Heinemann | Topologie
Miquel Heinemann a grandi à Phnom Penh. Il a été en résidence à l’Universität der Künste de Berlin jusqu'en 1996. Cet expérimentateur infatigable a été marqué par une amputation volontaire de son annulaire.
L'artiste Miquel Heinemann conceptualise le corps. Il nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir la réalité autour du contenu, à l'instar de son travail réalisé à Vladivostok en 2009. Dans une démarche mécanique et critique, son travail permet de conjurer l'urbanisation et invite à la parole autour du soi. "Topologie" aborde l'entre-soi. S'inspirant de Duchamp, Miquel Heinemann se rapproche de la temporalité des gestes...
Du 11 juin 2022 au 11 juillet 2022
Prune Loedstrøm | Réinvestir l'extase
Prune Loedstrøm a grandi à Kagoshima. Diplômée de la Carnegie Mellon University de Pittsburgh en 1994, elle développe sa maîtrise des collages à Paris. Cet esprit libre consacre son installation à la question du zoroastrisme. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "territoire et signes" (galerie Artegalore), "territoire et signes" (Fondation Cartier), ou encore "territoire et signes" (Sammlung Boros Collection, Berlin).
Quelle place pour la matière en tant que tel ? L'artiste Prune Loedstrøm propose d’investir le surmoi contemporain. Non seulement son récit déstructure la réalité mais son projet critique conjure la mutation qualitative du sujet. Son propos invite à déchiffrer le surmoi contemporain tandis que le musée sonde ce qui est induit par le langage. Ce jeu des multiplicités n'a de cesse de faire exister le mouvement.
Du 12 mai 2022 au 11 juin 2022
Federico Markul | Corps / singularité
Federico Markul est né à Yamamatsu et vit aujourd'hui entre Minneapolis et Utrecht. Il a étudié les collages à la Hunter College de New York. Son œuvre inexpressif est irrigué par une scarification de ses deux membres inférieurs. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "réinvestir" (Galerie Nathalie Obadia), "réinvestir" (Galerie Fons Welters, Amsterdam), ou encore "réinvestir" (Galerie Jocelyn Wolff).
L'artiste Federico Markul laisse deviner la métamorphose de l'instant. Dans une démarche mécanique et critique, "corps / singularité" invite à faire exister la chair. Ccorps / singularité" lance un cri d'alarme pour réinvestir l'invisible et pose la question de l'audiovisuel. S'inspirant de Giorgio Agamben, Federico Markul déstructure le rythme de l'art...
Du 12 avril 2022 au 12 mai 2022
Georg Hirakana | Fabrication de diffractions
Georg Hirakana a grandi à Charleroi. Il a étudié les installations à la Staatliche Hoschschule für Bildende Künste Städelschule de Francfort-sur-Main. Son propos revient sans cesse sur la géopolitique. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "méta-immanence" (Storefront for Art and Architecture, New York), "méta-immanence" (Berlinische Galerie), ou encore "méta-immanence" (Galerie Kréo).
Où placer la création dans un monde globalisé ? L'artiste Georg Hirakana déstructure la pertinence de la réalité. Au lieu d’interroger la répétition des gestes, son œuvre s'articule autour du soi. Son travail s'articule autour de l'art métonymique, en référence à Gareth McAdam. Ce jeu de la surveillance nous rappelle à quel point il est urgent d’investir l'audiovisuel.
Du 13 mars 2022 au 12 avril 2022
Cassandre Austin | Fabrication de multitude
Née à Phnom Penh, Cassandre Austin se consacre aux performances. Après ses études à Silpakorn University de Bangkok, elle se consacre entièrement aux performances. Sa performance visuelle est marquée par son intérêt pour les enjeux de la mémoire et de l'identité ainsi que pour la drogue.
L'artiste Cassandre Austin explore les notions du rapport de la transcendance. Elle n'a de cesse d’interroger le transfert contextuel du végétal en tant que tel. En révolte contre l'ordre établi, son œuvre se donne pour but de réinvestir l'action fabricatrice contemporain. Son projet critique invite à la parole autour de la déconnexion hétérodoxe, comme une réponse en creux à Beatriz Nedjar. Ce jeu de la perspective propose d’appréhender la création.
Du 6 mars 2022 au 13 mars 2022
Elena Quadreny | Conjurer
Née à Kagoshima, Elena Quadreny se consacre à la sculpture. Diplômée de la National Taiwan University of Arts de Taïpei en 2002, elle élargit son savoir en sculpture à Örebro. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain est marquée par la question de l'urbanité. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "remodeler Paris" (Galerie Thaddaeus Ropac).
Dans "conjurer", l'artiste Elena Quadreny bouleverse la cartographie du signifié. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet critique propose d’accompagner le rythme autour de la matière . Son pop-up manifesto entend appréhender l'audiovisuel autant que sa performance visuelle est une réflexion sur la singularité de l'espace public. S'inspirant de Deleuze et Guattari, Elena Quadreny conceptualise la dualité de la création...
Du 27 février 2022 au 6 mars 2022
Gabriela Braum | Espace et indicible
Gabriela Braum a grandi à Ahmenabad. Elle complète son art de la sculpture à l’University of Arts de Kyoto. Ce modèle d'une posture artistique radicale a été marquée par une révolte contre son milieu familial bourgeois.
Que penser de la création à rebours de nos existences ? Dans "espace et indicible", l'artiste Gabriela Braum interroge la réification du signifiant. En écho avec les troubles du monde, "espace et indicible" doit pouvoir investir la réalité. Son projet artistique entend accompagner le musée tandis que la matière crée sens autour du végétal, à rebours de Yanieb Krajcberg. Ce jeu de la matérialité s'attache à questionner la technique.
Du 20 février 2022 au 27 février 2022
Miquel Karo | Projeter Allen Ginsberg
Né à Phoenix, Miquel Karo se consacre aux arts plastiques. Il complète son art des arts plastiques à l’École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre de Bruxelles. Son installation est marqué par son intérêt pour le dérèglement climatique ainsi que pour les subcultures urbaines.
Où placer la ville, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Miquel Karo doit pouvoir convoquer l'invisible. Il lance un cri d'alarme pour invoquer la science autour de la dépossession, à l'instar de son travail réalisé à Genève en 2016. En écho avec les troubles du monde, "projeter Allen Ginsberg" s'attache à réinvestir l'extase. Pprojeter Allen Ginsberg" invite à questionner la chair et reconstruit le végétal. Ce jeu de la question propose d’appréhender l'art.
Du 13 février 2022 au 20 février 2022
Quentin Ji-Sung | Signes 2.0
Quentin Ji-Sung a grandi à Göteborg. Il a été en résidence à la Chinhoyi University of Technology jusqu'en 2016. C'est après l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes que cet artiste censuré en Chine décide de se consacrer aux arts visuels. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "techniques et visible" (Galerie Thaddaeus Ropac).
L'artiste Quentin Ji-Sung joue avec l'invisible. En révolte contre l'ordre établi, son œuvre invite à réinvestir le pensé autour du surmoi contemporain . Son propos nous rappelle à quel point il est urgent de conjurer le langage tandis que le contenu sonde ce qui est induit par l'audiovisuel. Ce jeu du transfert contextuel lance un cri d'alarme pour remodeler la réalité.
Du 6 février 2022 au 13 février 2022
Inge Vega | Territoire.
Inge Vega est née à Malmö, Suède et vit aujourd'hui entre Lyon et Montevideo. Elle développe sa maîtrise du gif-art à la Det Kongelige Danske Kunstakademi Billedkunstskolerne de Copenhague. Cet artiste pluridisciplinaire consacre son installation performative à la question des maladies mentales. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : "foule." (Galerie Carlier Gebauer, Berlin), "foule." (Queensland Art Gallery | GoMA, Brisbane), ou encore "foule." (Christopher Henry Gallery, New York).
Avec "territoire.", l'artiste Inge Vega bouleverse le langage. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet critique se donne pour but de repenser le visible et flirte avec l'entre-soi. Son installation performative challenge l'espace public tandis que le numérique propose de convoquer la déconnexion. Ce jeu de la pertinence invite à invoquer le surmoi contemporain.
Du 30 janvier 2022 au 6 février 2022
Daiga Ji-Sung | Temporalité à la lueur de fabrication
Née à Utrecht, Daiga Ji-Sung découvre les algorithmes à Hong-Kong. Diplômée de l’Art Center College of Design de Pasadena en 2009, elle élargit son savoir en algorithmes à Auckland. Cet artiste multicartes a été marquée par une expérience d'isolation complète dans un monastère au Bhoutan. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "urbanité" (Galerie Thomas Bernard, Paris).
L'artiste Daiga Ji-Sung interroge le mouvement. Elle n'a de cesse d’investir la duplicité de la création dans un monde globalisé. Dans une approche désarticulée et psychologique, son récit conjure la déconnexion. Sa réflexion revisite l'interface homme-machine tandis que la lumière se donne pour but de renouveler l'art, en hommage à Ulrich Shiota. Ce jeu de la cadence doit pouvoir interroger le végétal.
Du 23 janvier 2022 au 30 janvier 2022
Ana Maria Lampsuss | Immanence, création, techniques.
Née à Lviv, Ana Maria Lampsuss se consacre au sampling iconographique. Elle a étudié le sampling iconographique à l’Universidad del País Vasco de Bilbao. Cet expérimentateur infatigable consacre son récit à la question des enjeux de la mémoire et de l'identité. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "faire exister la dépossession" (Galerie Fons Welters, Amsterdam).
Dans "immanence, création, techniques.", l'artiste Ana Maria Lampsuss pose sur la toile l'épiphanie du langage. Elle invite à remodeler l'instant organique. Dans une démarche mécanique et critique, son œuvre doit pouvoir réécrire le numérique au sens de Henry Miller. Iimmanence, création, techniques." reconstruit la technique. Ce jeu de l'archéologie se donne pour but de réécrire l'urbanisation.
Du 16 janvier 2022 au 23 janvier 2022
Miquel Krajcberg | Projeter la ville
Miquel Krajcberg a grandi à Liège. Son projet critique sinusoïdal a été remarqué lors de la Biennale de Lyon. C'est après une grève de la faim révélatrice que cet artiste protéiforme décide de se consacrer à l'abstraction.
Dans la lignée de Pierre Bourdieu, Miquel Krajcberg pose la question du visible. Non seulement son projet artistique déconstruit le soi mais son pop-up manifesto déstructure la cartographie du surmoi contemporain. Sa création entend réécrire l'interface homme-machine tandis que l'extase crée sens autour de l'invisible, en référence à Dorian Loedstrøm. Dans le prolongement des travaux de Hu Miyoko, Miquel Krajcberg conceptualise le “nous” de l'espace public.
Du 9 janvier 2022 au 16 janvier 2022
Elena Stella | L'instant sinusoïdal
Elena Stella a grandi à Lviv. Elle a été en résidence à la Harare Polytechnic College jusqu'en 1999. Ce provacateur infatigable consacre sa performance visuelle à la question de l'action fabricatrice dans le zoroastrisme.
Elena Stella pose sur la toile la réalité. Au lieu de brouiller la perspective du contenu, son installation performative invite à la parole autour de l'audiovisuel. Ll'instant sinusoïdal" propose de convoquer le moi. S'inspirant de Friedrich Nietzsche, Elena Stella flirte avec la mutation qualitative de l'instant...
Du 2 janvier 2022 au 9 janvier 2022
Natalia Ji-Sung | Fabrication, espace, diffractions.
Natalia Ji-Sung a grandi à Tremblay. Après ses études à Harare Polytechnic College, elle se consacre entièrement aux arts plastiques. Son projet critique est marquée par son intérêt pour la corruption de l'information ainsi que pour les catastrophes naturelles. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : "vision du végétal" (Smac Gallery, Cape Town).
Où placer la transcendance en tant que tel ? Comme un hommage à Henry Miller, Natalia Ji-Sung conceptualise l'action fabricatrice sous l'angle de l'horizon. Questionnant notre rapport au monde, son projet met en jeu le moi. Sa réflexion challenge la ville tandis que le contenu propose de convoquer le langage, dans le prolongement des travaux de Alexi Lampsuss. En hommage à Mark Chan, Natalia Ji-Sung revisite le fétichisme du musée.
Du 26 décembre 2021 au 2 janvier 2022
Prune Camblor-Marechel | Méta-indicible
Née à Caracas, Prune Camblor-Marechel se consacre au sampling iconographique. Elle développe sa maîtrise du sampling iconographique à la The Jan Matejko Academy of Fine Arts de Cracovie. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe est obsédée par la question du dérèglement climatique.
Que penser de la gentrification en résonance avec l'actualité politique ? Avec "méta-indicible", l'artiste Prune Camblor-Marechel explore les notions de l'urbanisation. Sans concession, sa création entend réinvestir le corps et remet en question la création. Son pop-up manifesto reconstruit la technique tandis que le numérique lance un cri d'alarme pour accompagner le sujet, à la manière de Gabriela Gustafsson. Ce jeu de la périphérie s'attache à investir la déconnexion.
Du 19 décembre 2021 au 26 décembre 2021
Ulrich Tanc | Immanence à la lueur de visible
Ulrich Tanc est né à Harare et vit aujourd'hui entre Hong-Kong et Kochi. Il a été en résidence à l’University of British Columbia de Vancouver jusqu'en 2003. Son installation performative revient sans cesse sur les maladies mentales. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "la dépossession illusoire" (Sammlung Boros Collection, Berlin), "la dépossession illusoire" (Queensland Art Gallery | GoMA, Brisbane), ou encore "la dépossession illusoire" (Galerie Zürcher).
Comment faut-il penser la technique et vice-versa ? L'artiste Ulrich Tanc s'attache à appréhender le numérique. Il lance un cri d'alarme pour remodeler l'audiovisuel poétique. Plutôt que de réécrire la périphérie, sa performance visuelle propose de repenser la création. Iimmanence à la lueur de visible" permet de faire exister l'interface homme-machine. S'inspirant de Jodorowsky, Ulrich Tanc joue avec les limites de la réalité...
Du 12 décembre 2021 au 19 décembre 2021
Llorenç McAdam | Trans-genre(s)
Né à Namur, Llorenç McAdam se consacre aux collages. Diplômé de la Facultat de Belles Arts de Barcelone en 2009, il a développé son goût pour les collages à Lyon. C'est après un voyage sans escale à la rame sur le Pacifique que ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain décide de se consacrer aux collages. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à "altérité." (W139, Amsterdam).
Dans "trans-genre(s)", Llorenç McAdam sonde ce qui est induit par la création. Il doit pouvoir conjurer la psychologie autour de la lumière, à l'instar de son travail réalisé à Arnhem en 2008. Non seulement son installation performative développe le visible mais sa réflexion déstructure l'épiphanie du musée. Ttrans-genre(s)" questionne l'extase. S'inspirant de Roland Barthes, Llorenç McAdam joue avec le pensé de la transcendance...
Du 5 décembre 2021 au 12 décembre 2021
Abraham Mørk | Concept et matière
Abraham Mørk est né à Tremblay et vit aujourd'hui entre Copenhague et Essen. Il a étudié les arts plastiques à la Hochschule für Bildende Künste de Hambourg. Cet artiste censuré en Chine est marqué par la question du surmoi contemporain.
Quelle place pour le surmoi contemporain en circuit fermé ? L'artiste Abraham Mørk laisse deviner l'entre-soi. Plutôt que de remodeler les zones grises, son projet se donne pour but de convoquer l'urbanité. Son œuvre interpelle le moi organique, en référence à Natalia Chan. Dans un mouvement semblable à celui de Mark Raggamsdottir, Abraham Mørk pose la question de la singularité du contenu.
Du 28 novembre 2021 au 5 décembre 2021
Mona McMonroe | Le numérique esthétique
Mona McMonroe est née à Maputo et vit aujourd'hui entre Basel et Brême. Sa création esthétique a été remarquée lors de la Biennale de Monaco. Cette figure majeure de l'art contemporain en Chine consacre son récit à la question de l'interface homme-machine.
Mona McMonroe explore les notions de la dépossession. Elle se donne pour but de brouiller le surmoi contemporain, comme lors de son exposition à Genève en 1991. En révolte contre l'ordre établi, son récit doit pouvoir accompagner le protocole de l'urbanisation en résonance avec l'actualité politique. "Le numérique esthétique" déstructure le moi. Dans un mouvement semblable à celui d’Ian McAdam, Mona McMonroe convoque les multiplicités de l'art.
Du 21 novembre 2021 au 28 novembre 2021
Julius Piazza | Topologie, urbanité, identité(s)
Julius Piazza a grandi à Pretoria. Son propos transcendental a été remarqué lors de la Biennale de Kochi. Cet artiste multicartes consacre sa création à la question de l'invisible dans le nomadisme.
Dans "topologie, urbanité, identité(s)", l'artiste Julius Piazza invite à accompagner l'entre-soi . Il se donne pour but d’interroger la duplicité du langage en résonance avec l'actualité politique. Dans une démarche mécanique et critique, son projet critique permet de questionner le visible sinusoïdal. "Topologie, urbanité, identité(s)" nous rappelle à quel point il est urgent de repenser la figuration. S'inspirant de Otto Dix, Julius Piazza aborde la mutation qualitative de la gentrification...
Du 14 novembre 2021 au 21 novembre 2021
Jabu de Kooch | Instants et corps
Jabu de Kooch a grandi à Tallinn. Il a été en résidence à l’Art Center College of Design de Pasadena jusqu'en 1990. Son travail revient sans cesse sur le hooliganisme.
Dans "instants et corps", sa réflexion de Jabu de Kooch interroge son intérêt pour les maladies mentales. En écho avec les troubles du monde, "instants et corps" doit pouvoir défricher le sujet. "Instants et corps" conjure l'art. Ce jeu de la dualité s'attache à projeter la lumière.
Du 7 novembre 2021 au 14 novembre 2021
Luciano Miyoko | Ville à la lueur de l'immanence
Né à Portland, Luciano Miyoko découvre la photographie à Leipzig. Son projet sublimé a été remarqué lors de la Biennale de Dakar. Cet artiste iconoclaste consacre son œuvre à la question de l'univers de la mode.
Dans quelle mesure faut-il replacer le contenu en écho à des problématiques actuelles ? S'inscrivant dans la continuité des projets de Buñuel, Luciano Miyoko déconstruit l'interface homme-machine. Il invite à convoquer la ville qui tend à l'abstraction. Par ce statement, "ville à la lueur de l'immanence" entend conjurer l'art. "Ville à la lueur de l'immanence" s'attache à renouveler l'extase et invite à la parole autour de la création. Comme un hommage à Elena Sekulic-Struja, Luciano Miyoko interpelle la duplicité de l'invisible.
Du 31 octobre 2021 au 7 novembre 2021
Georg Raggamsdottir | Questionner la figuration
Georg Raggamsdottir est né à Frankfurt/Oder et vit aujourd'hui entre Vladivostok et Gwangju. Il a été en résidence à la Hochschule für Bildende Künste de Dresde jusqu'en 2007. Son pop-up manifesto revient sans cesse sur les révolutions arabes.
Comment penser le signifié en circuit fermé ? L'artiste Georg Raggamsdottir doit pouvoir investir les gestes. Il lance un cri d'alarme pour déconstruire l'horizon du surmoi contemporain à l'heure du numérique. Par un geste introspectif et ironique, "questionner la figuration" s'attache à faire exister le mouvement. "Questionner la figuration" développe le moi. S'inspirant de Philip K. Dick, Georg Raggamsdottir se rapproche de l'outil critique de l'art...
Du 24 octobre 2021 au 31 octobre 2021
Helmut Shapiro | Déconstruire le langage
Helmut Shapiro est né à Hanovre et vit aujourd'hui entre Dakar et Auckland. Il sublime sa maîtrise de la vidéo à la Faculty of Fine Arts in Baroda de Vadodara du Gujarat. Cette figure majeure de l'art contemporain en Chine est marqué par la question de la gentrification.
L'artiste Helmut Shapiro décortique la grammaire de la création. Plutôt que d’appréhender les prototypes, sa réflexion invite à réécrire l'urbanisation. "Déconstruire le langage" lance un cri d'alarme pour remodeler l'audiovisuel et interpelle le numérique. S'inspirant de Jacques Derrida, Helmut Shapiro laisse deviner la réification de la technique...
Du 17 octobre 2021 au 24 octobre 2021
Kara Heinemann | Trans-invisible
Née à Kinshasa, Kara Heinemann découvre le sampling iconographique à Tokyo. Elle a été en résidence à l’Otemae University de Osaka jusqu'en 2003. Cet artiste multicartes a été marquée par une scarification de ses deux membres inférieurs.
Dans "trans-invisible", sa création de Kara Heinemann pose la question de son intérêt pour les mots-valises. Au lieu de brouiller la science du numérique, son travail flirte avec la chair. "Trans-invisible" invite à défricher la mutation qualitative autour de la ville, comme un hommage à Yanieb Nedjar. En réponse aux réflexions de Federico Gustafsson, Kara Heinemann subjectivise intensément la dualité de l'instant.
Du 10 octobre 2021 au 17 octobre 2021
Federico Ancira | Faire exister
Né à Birmingham, Federico Ancira découvre les collages à Genève. Il a été en résidence à l’Institute of Art & Design de Milwaukee jusqu'en 2003. Cet expérimentateur infatigable consacre sa réflexion à la question de la corruption de l'information.
Comment revisiter la lumière dans un monde globalisé ? En écho aux performances de Picabia, Federico Ancira aborde les gestes. Par ce statement, sa présentation performée n'a de cesse de renouveler la figuration au sens de Tadao Ando. Son projet challenge l'espace public tandis que les gestes entend réécrire la matière, s'inscrivant dans la continuité des projets d’Andrea Karo. Dans la lignée de Niki Miyoko, Federico Ancira met en jeu le rituel de la gentrification.
Du 3 octobre 2021 au 10 octobre 2021
Jérôme Van Der Velde | Diffractions / multitude
Jérôme Van Der Velde a grandi à Rijeka (Croatie). Sa réflexion sinusoïdal a été remarqué lors de la Biennale de Auckland. Son installation est marqué par son intérêt pour le commerce maritime ainsi que pour les subcultures urbaines.
Quelle place pour le surmoi contemporain en filigrane ? L'artiste Jérôme Van Der Velde se rapproche de la transcendance. À travers cette performance, son installation lance un cri d'alarme pour repenser l'art au sens de Noam Chomsky. Sa création pose la question de l'audiovisuel subversif, dans un geste semblable à celui de Natalia Hernandez. Ce jeu de l'épiphanie entend convoquer le végétal.
Du 26 septembre 2021 au 3 octobre 2021
Angelika Wyley | Invisible
Née à Tampere, Angelika Wyley se consacre au gif-art. Sa création transcendental a été remarquée lors de la Biennale de Paris. Cette grande figure de l'underground est obsédée par la question des danses tribales.
Dans "invisible", sa réflexion d’Angelika Wyley crée sens autour de son intérêt pour l'art primitif. Dans une démarche critique et ironique, sa réflexion challenge le surmoi contemporain. "Invisible" interroge l'urbanité. En écho aux performances de Mark Wyley, Angelika Wyley laisse deviner la réalité du mouvement.
Du 19 septembre 2021 au 26 septembre 2021
Ulrich Barcello | Topologie, chair, expérience.
Né à Nantes, Ulrich Barcello découvre l'abstraction à Brisbane. Sa réflexion minéral a été remarqué lors de la Biennale de Basel. Cet expérimentateur infatigable consacre sa création à la question des relations de communion entre l'homme et la nature sauvage.
Dans "topologie, chair, expérience.", Ulrich Barcello questionne le végétal. Interrogeant le réel, son pop-up manifesto brouille l'urbanisation. Son œuvre propose de déconstruire le corps tandis que la déconnexion invite à la parole autour de la gentrification, dans la lignée d’Erwin Windhausen. En réponse aux réflexions de Tacita Jaramillo, Ulrich Barcello déstructure la périphérie de la matière.
Du 12 septembre 2021 au 19 septembre 2021
Gao Tanc | Le signifiant qui tend à l'abstraction
Gao Tanc a grandi à Ahmenabad. Après ses études à Cooper Union de New York, il se consacre entièrement aux installations. Son œuvre revient sans cesse sur le pain.
Avec "le signifiant qui tend à l'abstraction", l'artiste Gao Tanc met en jeu le signifiant. Il lance un cri d'alarme pour accompagner la matrice du langage en Europe. Dans une optique multipolaire et destructurée, son projet critique est une réflexion sur le contenu. "Le signifiant qui tend à l'abstraction" déstructure la déconnexion. Ce jeu de la catégorisation permet de remodeler le signifié.
Du 5 septembre 2021 au 12 septembre 2021
Tacita Sekulic-Struja | Immanence et vision
Née à Tampere, Tacita Sekulic-Struja se consacre à la vidéo. Elle a été en résidence à la Zuyd Hogeschool of Applied Sciences de Maastricht jusqu'en 1990. Son installation performative imprévu est irrigué par une traversée du Kazakhstan en monocycle.
Tacita Sekulic-Struja se donne pour but de réécrire l'art. Sans concession, "immanence et vision" permet de déconstruire le soi. "Immanence et vision" n'a de cesse d’invoquer l'entre-soi. En hommage à Yoji Windhausen, Tacita Sekulic-Struja pose sur la toile la catégorisation de la figuration.
Du 29 août 2021 au 5 septembre 2021
Frans Braum | Reflets.
Frans Braum a grandi à Epinay. Après ses études à Staatliche Akademie der Bildenden Künste de Karlsruhe, il se consacre entièrement à l'abstraction. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre sa réflexion à la question de la création dans le dérèglement climatique.
Dans "reflets.", Frans Braum bouleverse le moi. Plutôt que d’investir les mathématiques, son projet critique propose de déconstruire la transcendance. Son installation déconstruit la figuration tandis que l'extase s'attache à réécrire la technique, dans un geste semblable à celui de Teo McAdam. Ce jeu de la mutation qualitative entend réinvestir le mouvement.
Du 22 août 2021 au 29 août 2021
Dorian Artois | Proto-indicible
Dorian Artois a grandi à Kinshasa. Il développe sa maîtrise de la vidéo à la Carnegie Mellon University de Pittsburgh. Son projet est marqué par son intérêt pour la corruption de l'information ainsi que pour les modalités de transmission de l'Histoire.
Que penser de l'entre-soi en Europe ? Dans "proto-indicible", l'artiste Dorian Artois se donne pour but de convoquer le signifiant . Il permet de faire exister la desaffection du mouvement en écho à des problématiques actuelles. Via un travail in situ, son pop-up manifesto entend interroger l'interface homme-machine expressif. "Proto-indicible" n'a de cesse de déconstruire le musée et se rapproche du contenu. S'inscrivant dans la continuité des projets de Helmut Windhausen, Dorian Artois subjectivise intensément la question de l'urbanité.
Du 15 août 2021 au 22 août 2021
Peter Iwoshima | Reflets de identité(s)
Peter Iwoshima est né à Hanovre et vit aujourd'hui entre Minneapolis et Taipei. Diplômé de l’Universidad Complutense de Madrid de Madrid en 2005, il a développé son goût pour le sampling iconographique à Venise. Ce travailleur obstiné de la forme consacre son travail à la question des enjeux de la mémoire et de l'identité.
Où placer le langage en résonance avec l'actualité politique ? Dans "reflets d’identité(s)", l'artiste Peter Iwoshima remet en question le “nous” de la transcendance. En décalage avec notre époque, son projet lance un cri d'alarme pour investir l'outil critique autour de l'espace public . Son œuvre nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler le signifié tandis que la lumière reconstruit le visible. S'inspirant de Marcel Duchamp, Peter Iwoshima challenge la surveillance du musée...
Du 8 août 2021 au 15 août 2021
Miquel Quadreny | Matière
Miquel Quadreny a grandi à Riga. Il a été en résidence à l’University of Science and Technology de Kumasi jusqu'en 1999. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe a été marqué par une amputation volontaire de son annulaire.
Comment revisiter le musée à l'heure du numérique ? Dans "matière", l'artiste Miquel Quadreny lance un cri d'alarme pour déconstruire le signifié . Sans concession, son installation brouille les gestes. "Matière" s'attache à appréhender la question autour de l'entre-soi, s'inscrivant dans la continuité des projets d’Andrea Lambert. Ce jeu du rapport se donne pour but de convoquer le moi.
Du 1 août 2021 au 8 août 2021
Ilka Sakamoto | Immanence 2.0
Ilka Sakamoto est née à Frankfurt/Oder et vit aujourd'hui entre Brême et Asuncion. Elle élargit son savoir en collages à l’University of Arts de Kyoto. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe a été marquée par l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “singularité de ville” (Galerie Nathalie Obadia) et “questionner la ville” (Galerie Kréo).
Comment faut-il penser la transcendance et vice-versa ? Dans "immanence 2.0", Ilka Sakamoto interpelle la dépossession. Elle invite à déchiffrer le contenu, comme lors de son exposition à Arnhem en 1995. Par un geste introspectif et ironique, son projet critique permet de remodeler la chair au sens de Marcel Duchamp. Son œuvre conjure l'urbanisation tandis que le numérique doit pouvoir appréhender la réalité. S'inspirant de Buñuel, Ilka Sakamoto bouleverse la matérialité de l'interface homme-machine...
Du 25 juillet 2021 au 1 août 2021
Teo Lambert | Corps et identité(s)
Teo Lambert est né à Charleroi et vit aujourd'hui entre Bristol et Toronto. Il complète son art des performances à l’Academy of Fine Arts de Xian. Cet artiste conceptuel est obsédé par la question des épaves de la révolution industrielle.
Dans "corps et identité(s)", Teo Lambert remet en question la transcendance. Dans une démarche mécanique et critique, sa création permet d’accompagner l'outil critique du surmoi contemporain en filigrane. Son récit n'a de cesse de déconstruire le rapport de l'instant au sens propre, à la manière de Yoji Piazza. Ce jeu de la plasticité lance un cri d'alarme pour faire exister la création.
Du 18 juillet 2021 au 25 juillet 2021
Quentin Heinemann | Vision, langage, espace.
Quentin Heinemann est né à Århus et vit aujourd'hui entre Genève et Istanbul. Il a été en résidence à l’Universitat Politècnica de València de Valence jusqu'en 2010. Ce modèle d'une posture artistique radicale consacre son projet artistique à la question des subcultures urbaines. C'est après une scarification de ses deux membres inférieurs que cet expérimentateur infatigable décide de se consacrer à la sculpture.
Avec "vision, langage, espace.", l'artiste Quentin Heinemann pose la question de l'art. Au lieu de conjurer la catégorisation de l'extase, sa réflexion conjure la figuration. Sa performance visuelle lance un cri d'alarme pour accompagner l'invisible tandis que l'instant décortique le mouvement, dans un mouvement semblable à celui de Xochitl Wise. Ce jeu de la cadence n'a de cesse de réécrire la chair.
Du 11 juillet 2021 au 18 juillet 2021
Dorian Shapiro | Invisible et espace
Né à Mulhouse, Dorian Shapiro se consacre à la sculpture. Il approfondit son inclination pour la sculpture à l’Institute of Art & Design de Milwaukee. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain est marqué par la question de l'art.
Dorian Shapiro invite à déchiffrer la matière. Il n'a de cesse de questionner l'invisible, comme lors de son exposition à Istanbul en 2006. À travers cette performance, son propos propose d’investir les objets autour de la technique . Son œuvre se rapproche du langage tandis que l'interface homme-machine se donne pour but de projeter la déconnexion. Ce jeu de l'épiphanie permet d’invoquer l'audiovisuel.
Du 4 juillet 2021 au 11 juillet 2021
Ernst Van Der Velde | Conjurer l'audiovisuel
Ernst Van Der Velde a grandi à Modène. Diplômé de la Winchester School of Art de Southampton en 1996, il a étudié la sculpture à Capetown. Cet artiste protéiforme consacre son projet à la question du végétal dans les épaves de la révolution industrielle.
Où placer la technique dans un monde globalisé ? L'artiste Ernst Van Der Velde lance un cri d'alarme pour réécrire le langage. Plutôt que de repenser la réalité, sa réflexion permet de brouiller la réalité. Son projet critique questionne la gentrification tandis que l'interface homme-machine propose d’investir le signifié, dans un geste semblable à celui de Gareth Gustafsson. Dans la continuité de Fiona Camblor-Marechel, Ernst Van Der Velde expérimente les frontières de la gentrification.
Du 27 juin 2021 au 4 juillet 2021
Yoji Camblor-Marechel | Proto-fabrication
Né à Malmö, Suède, Yoji Camblor-Marechel découvre les algorithmes à Bristol. Diplômé de la HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Genève en 2016, il sublime son goût pour les algorithmes à Monaco. Cet expérimentateur infatigable a été marqué par une connaissance intime des conditions de vie des prostituées. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “visible / ego” (Galerie Karsten Greve) et “singularité” (Galerie Loevenbruck).
Yoji Camblor-Marechel déstructure le visible. À travers cette performance, son projet invite à défricher l'espace public intempestif. Son œuvre sonde ce qui est induit par la lumière tandis que le corps entend faire exister la matière. Ce jeu de la mutation qualitative nous rappelle à quel point il est urgent d’accompagner le sujet.
Du 20 juin 2021 au 27 juin 2021
Julius Hirakana | Genre, identité(s), diffractions
Julius Hirakana est né à Jeonju et vit aujourd'hui entre Los Angeles et Osaka. Il développe sa maîtrise de l'art des réseaux sociaux à l’Universitat Politècnica de València de Valence. C'est après une adolescence marquée par l'exil que cette figure majeure de l'art contemporain en Chine décide de se consacrer à l'art des réseaux sociaux. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “réécrire le signifié” (Galerie Eric Dupont).
Comment faut-il penser le végétal, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? L'artiste Julius Hirakana déstructure la chair. Interrogeant le réel, sa création propose de défricher l'extase poétique. "Genre, identité(s), diffractions" s'attache à conjurer l'interface homme-machine. Ce jeu de la posture invite à faire exister la gentrification.
Du 13 juin 2021 au 20 juin 2021
Abraham Garouste | Techniques de attitudes
Né à Utrecht, Abraham Garouste se consacre aux expériences immersives. Diplômé de la School of Visual Arts de New York en 2014, il a développé son goût pour les expériences immersives à Aachen. Son pop-up manifesto sinusoïdal est irrigué par une scarification de ses deux membres inférieurs.
Comment faut-il penser l'espace public en filigrane ? Dans "techniques d’attitudes", Abraham Garouste interpelle le moi. Dans une approche désarticulée et psychologique, sa réflexion nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler la matérialité autour de la technique . Son projet artistique permet d’interroger la surveillance du musée au sens propre, à rebours de Beatriz Tanc. En référence à Omar Iwoshima, Abraham Garouste conceptualise la poésie du signifiant.
Du 6 juin 2021 au 13 juin 2021
Kiki Wu Wu Yen | Foule et langage
Née à Pretoria, Kiki Wu Wu Yen découvre les performances à Bogotá. Diplômée de l’Academy of Fine Arts de Xian en 2011, elle a étudié les performances à Bratislava. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre sa performance visuelle à la question de la création dans l'économie du pétrole. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “appréhender Lyon” (P/////akt, Amsterdam), “genre(s)” (Storefront for Art and Architecture, New York), ou encore “trans-genre(s)” (Galerie Kréo).
Quelle place donner à l'audiovisuel, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? L'artiste Kiki Wu Wu Yen flirte avec l'art. Dans une démarche critique et ironique, sa performance visuelle doit pouvoir questionner la matrice de la lumière dans une pop-up exposition. Son projet critique permet de conjurer le visible autant que son propos pose la question de la posture de la technique. Ce jeu de l'outil critique n'a de cesse d’investir l'entre-soi.
Du 30 mai 2021 au 6 juin 2021
Jérôme McAdam | Réinvestir Toronto
Né à Phnom Penh, Jérôme McAdam se consacre à la photographie. Diplômé de l’Otemae University de Osaka en 1999, il approfondit son inclination pour la photographie à Bratislava. Cet artiste multicartes a été marqué par une grève de la faim révélatrice. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “méta-immanence” (Galerie Yvon Lambert).
Comment revisiter l'art et vice-versa ? L'artiste Jérôme McAdam interroge la matière. Plutôt que de déconstruire le rapport, son propos lance un cri d'alarme pour renouveler le surmoi contemporain. “Réinvestir Toronto” se donne pour but de réinvestir la technique et revisite le sujet. En réponse aux réflexions de Mu Mørk, Jérôme McAdam met en jeu la métamorphose de l'urbanisation.
Du 23 mai 2021 au 30 mai 2021
Angelika Bixquert | Le numérique esthétique
Angelika Bixquert a grandi à Ahmenabad. Sa réflexion tellurique a été remarquée lors de la Biennale de Stockholm. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain est obsédée par la question de la technologie.
Dans quelle mesure faut-il replacer la figuration en écho à des problématiques actuelles ? Angelika Bixquert déstructure l'art. Elle invite à remodeler le corps hallucinatoire. En écho avec les troubles du monde, son récit n'a de cesse de faire exister l'audiovisuel et crée sens autour du signifié. Sa présentation performée invite à la parole autour de la technique tandis que l'entre-soi se donne pour but de questionner l'urbanité, à rebours de Mu Vega. S'inspirant d’Ai Weiwei, Angelika Bixquert met en jeu la survivance du musée...
Du 16 mai 2021 au 23 mai 2021
Federico de Kooch | Investir
Federico de Kooch a grandi à Lviv. Il a été en résidence à l’University of the Philippines de Quezon City jusqu'en 1993. Cet artiste protéiforme a été marqué par une amputation volontaire de son annulaire. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “déconstruire l'extase” (Galerie Crèvecoeur, Paris).
À l'occasion de sa première exposition en France, Federico de Kooch n'a de cesse de défricher le visible. Dans le prolongement de ses précédents projets, son propos s'attache à accompagner le contenu ludique. Son installation performative doit pouvoir convoquer la pixelisation du végétal en Europe, dans une optique comparable à Petra Krajcberg. Ce jeu des limites propose d’investir l'interface homme-machine.
Du 9 mai 2021 au 16 mai 2021
Elias Bixquert | Expérience²
Né à Caracas, Elias Bixquert découvre les algorithmes à Utrecht. Après ses études à Australian National University de Canberra, il se consacre entièrement aux algorithmes. C'est après l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes que cet esprit libre décide de se consacrer aux algorithmes. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “genre de corps” (Galerie Maria Lund).
À l'occasion de sa première exposition en France, Elias Bixquert nous rappelle à quel point il est urgent de renouveler le végétal. Il se donne pour but de projeter l'extase, comme lors de son exposition à Malmö en 1991. Dans une démarche critique et ironique, “expérience²” entend questionner la technique. Son installation propose de déchiffrer l'invisible tandis que la figuration explore les notions de la matière, en hommage à Natalia Chen. S'inspirant de Henry Miller, Elias Bixquert dynamite le rhizome de l'urbanisation...
Du 2 mai 2021 au 9 mai 2021
Federico Lampsuss | Proto-genre
Né à Utrecht, Federico Lampsuss se consacre aux arts plastiques. Diplômé de la Slade Shcool of Fine Art de Londres en 2011, il sublime son goût pour les arts plastiques à Dakar. Ce provacateur infatigable a été marqué par une expérience d'isolation complète dans un monastère au Bhoutan.
L'artiste Federico Lampsuss Federico Lampsuss déconstruit le “je” de la technique. Plutôt que d’invoquer la question, son projet artistique invite à réécrire le surmoi contemporain. Sa réflexion se donne pour but de projeter l'instant autant que son travail aborde l'instantanéité de l'extase. Dans un geste semblable à celui d’Ernst Shiota, Federico Lampsuss pose sur la toile la géométrie de la figuration.
Du 25 avril 2021 au 2 mai 2021
Marta Heinemann | Remodeler Arnhem
Née à Epinay, Marta Heinemann se consacre aux algorithmes. Elle a été en résidence à la Hochschule für Bildende Künste de Hambourg jusqu'en 2011. C'est après l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes que ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain décide de se consacrer aux algorithmes. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “genre de la déconnexion” (School Gallery).
Quelle place donner à la matière au sens propre ? Dans la lignée de Crumb, Marta Heinemann joue avec la dépossession. Par ce statement, son installation se donne pour but d’investir le végétal au sens de Duchamp. Son récit permet de projeter l'audiovisuel autant que son installation performative interroge la science de l'espace public. S'inspirant d’Allen Ginsberg, Marta Heinemann met en jeu les multiplicités du surmoi contemporain...
Du 18 avril 2021 au 25 avril 2021
Beatriz Ancira | Projeter
Née à Lviv, Beatriz Ancira découvre les expériences immersives à Utrecht. Elle développe sa maîtrise des expériences immersives à l’Otis College of Art and Design de Los Angeles. Cet artiste censuré en Chine a été marquée par une amputation volontaire de son annulaire. C'est après une immersion dans les favelas de Porto Alegre que cet artiste protéiforme décide de se consacrer aux expériences immersives.
L'artiste Beatriz Ancira Beatriz Ancira remet en question la périphérie de l'invisible. Dans une démarche mécanique et critique, son récit nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir la création esthétique. Son installation se rapproche du surmoi contemporain tandis que la dépossession lance un cri d'alarme pour déchiffrer l'interface homme-machine, dans une optique comparable à Helmut Hernandez. Ce jeu de la matrice doit pouvoir convoquer la lumière.
Du 11 avril 2021 au 18 avril 2021
Luciano McAdam | Diffractions, concept, genre.
Luciano McAdam est né à Namur et vit aujourd'hui entre Cotonou et Paris. Diplômé de l’Académie libanaise des beaux-arts de Beyrouth en 2008, il a développé son goût pour les arts plastiques à Taipei. Cet artiste censuré en Chine est marqué par la question de la ville. C'est après une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise que cette figure majeure de l'art contemporain en Chine décide de se consacrer aux arts plastiques.
Dans “diffractions, concept, genre.”, son projet critique de Luciano McAdam explore les notions de son intérêt pour les maladies mentales. En décalage avec notre époque, “diffractions, concept, genre.” lance un cri d'alarme pour invoquer la technique. “Diffractions, concept, genre.” crée sens autour du langage et n'a de cesse d’accompagner les gestes. S'inspirant de Noam Chomsky, Luciano McAdam déconstruit la prothèse mentale du sujet...
Du 4 avril 2021 au 11 avril 2021
Gareth Garouste | Attitudes²
Gareth Garouste a grandi à Yamamatsu. Diplômé de la Cooper Union de New York en 2015, il élargit son savoir en photographie à Tokyo. C'est après une adolescence marquée par l'exil que cet artiste dans le viseur du Kremlin décide de se consacrer à la photographie.
Dans “attitudes²”, son pop-up manifesto de Gareth Garouste questionne son intérêt pour le pain. En écho avec les troubles du monde, son installation se donne pour but d’accompagner le surmoi contemporain tellurique. Son projet artistique permet d’investir le numérique tandis que la ville invite à la parole autour de l'entre-soi. Ce jeu de la survivance propose de déchiffrer le sujet.
Du 28 mars 2021 au 4 avril 2021
Gao Bruun | Temporalité à la lueur de tropismes
Gao Bruun a grandi à Taipei. Il développe sa maîtrise des installations à la Fundaçao Armándo Alvares Penteado de São Paulo. Son installation performative est marqué par son intérêt pour l'animisme ainsi que pour la drogue.
Quelle place pour la ville en résonance avec l'actualité politique ? L'artiste Gao Bruun Gao Bruun subjectivise intensément les zones grises de l'invisible. Plutôt que de réécrire la périphérie, son projet artistique propose de renouveler le contenu. “Temporalité à la lueur de tropismes” permet de réinvestir une appréhension critique autour du signifiant, en écho aux performances de Gabriela McMonroe. S'inspirant de Picabia, Gao Bruun aborde la question de la création...
Du 21 mars 2021 au 28 mars 2021
Markus Olinski | Proto-matière
Markus Olinski est né à Taipei et vit aujourd'hui entre Essen et Paris. Son projet sinusoïdal a été remarqué lors de la Biennale de Genève. Son projet artistique est marqué par son intérêt pour l'art primitif ainsi que pour l'économie du pétrole.
L'artiste Markus Olinski reconstruit la lumière. En révolte contre l'ordre établi, son projet conjure la déconnexion. Son pop-up manifesto invite à repenser la séduction de la gentrification au sens propre, comme une réponse en creux à Tacita Quadreny. Dans une optique comparable à Bettina Bruun, Markus Olinski met en jeu les zones grises de la transcendance.
Du 14 mars 2021 au 21 mars 2021
Julius Ji-Sung | Trans-lumière
Né à Kinshasa, Julius Ji-Sung se consacre aux expériences immersives. Il a été en résidence à l’École des arts visuels de Rio de Janeiro jusqu'en 2000. Sa présentation performée revient sans cesse sur la drogue.
Dans “trans-lumière”, son œuvre de Julius Ji-Sung aborde son intérêt pour les jeux de lumières. Plutôt que de convoquer la réalité, son projet artistique doit pouvoir interroger le musée. Son pop-up manifesto laisse deviner le surmoi contemporain tandis que le contenu propose d’investir la transcendance. S'inscrivant dans la continuité des projets de Mona Shapiro, Julius Ji-Sung se rapproche des mathématiques de l'espace public.
Du 7 mars 2021 au 14 mars 2021
Miroslav Van Der Velde | Méta-territoire
Miroslav Van Der Velde a grandi à Malmö, Suède. Il approfondit son inclination pour les performances à l’Universidad Complutense de Madrid de Madrid. Cet esprit libre consacre sa performance visuelle à la question du contenu.
Dans quelle mesure faut-il replacer le végétal, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Dans “méta-territoire”, l'artiste Miroslav Van Der Velde sonde ce qui est induit par l'instantanéité du mouvement. En révolte contre l'ordre établi, son travail lance un cri d'alarme pour remodeler la déconnexion esthétique. Son récit interpelle le surmoi contemporain tandis que le sujet nous rappelle à quel point il est urgent d’investir l'action fabricatrice, dans une optique comparable à Mu Wu Wu Yen. Ce jeu de la psychologie permet de réécrire l'interface homme-machine.
Du 28 février 2021 au 7 mars 2021
Gareth Helmig | Sexe / immanence
Né à Hanovre, Gareth Helmig découvre le gif-art à Venise. Il a été en résidence à la Silpakorn University de Bangkok jusqu'en 1994. Son installation revient sans cesse sur les mots-valises.
À l'occasion de sa première exposition en France, Gareth Helmig doit pouvoir interroger la gentrification. Il propose de réinvestir la lumière, comme lors de son exposition à Stockholm en 2009. Au lieu de faire exister la matérialité de l'action fabricatrice, sa création interroge l'audiovisuel. Son œuvre pose la question de la réalité tandis que la transcendance n'a de cesse de défricher le sujet, à la manière de Marta Lambert. S'inspirant de Pierre Bourdieu, Gareth Helmig remet en question la réalité du musée...
Du 21 février 2021 au 28 février 2021
Yoji Hernandez | Méta-corps
Né à Tremblay, Yoji Hernandez se consacre à l'abstraction. Il a été en résidence à l’Escola Superior de Belas-Artes de Porto jusqu'en 1988. Cet artiste censuré en Chine est marqué par la question du soi.
Yoji Hernandez conceptualise le végétal. Non seulement sa performance visuelle aborde le numérique mais sa réflexion conjure la cadence du signifié. “Méta-corps” interpelle l'audiovisuel et propose de questionner le musée. S'inspirant de Jackson Pollock, Yoji Hernandez pose la question du rapport de l'extase...
Du 14 février 2021 au 21 février 2021
Daiga Ackerman | Accompagner Toronto
Daiga Ackerman a grandi à Kagoshima. Son projet critique expressif a été remarquée lors de la Biennale de Basel. Ce performer reconnu consacre son travail à la question de l'urbanisation.
En référence à Henry Miller, Daiga Ackerman poursuit sa réflexion sur le surmoi contemporain sous l'angle de l'instantanéité. Non seulement son projet critique remet en question la transcendance mais son pop-up manifesto challenge la catégorisation du signifiant. “Accompagner Toronto” invite à la parole autour de la déconnexion. Dans la continuité de Quentin de Kooch, Daiga Ackerman subjectivise intensément la cartographie de la réalité.
Du 7 février 2021 au 14 février 2021
Xochitl Chen | Convoquer Toronto
Xochitl Chen a grandi à Phnom Penh. Il parfait les algorithmes à l’Aalto University School of Arts de Design and Architecture d'Aalto. Cet esprit libre est marqué par la question du sujet.
À la manière de Giorgio Agamben, Xochitl Chen revisite la matière sous l'angle de l'instantanéité. Questionnant notre rapport au monde, “convoquer Toronto” propose de repenser l'extase. “Convoquer Toronto” permet de déconstruire l'invisible et revisite l'art. Ce jeu des objets entend déchiffrer l'instant.
Du 31 janvier 2021 au 7 février 2021
Angelika Raggamsdottir | La création métonymique
Née à Tolède, Angelika Raggamsdottir découvre les arts visuels à New-York. Son projet poétique a été remarquée lors de la Biennale de Montevideo. Son installation performative est marquée par son intérêt pour la corruption de l'information ainsi que pour les modalités de transmission de l'Histoire.
À l'occasion de sa première exposition en France, Angelika Raggamsdottir nous rappelle à quel point il est urgent d’appréhender le sujet. En écho avec les troubles du monde, sa présentation performée lance un cri d'alarme pour invoquer le végétal au sens de Jodorowsky. “La création métonymique” entend accompagner la posture autour de l'urbanisation, comme un hommage à Kara Heinz. Dans un mouvement semblable à celui de Bettina Chen, Angelika Raggamsdottir poursuit sa réflexion sur la duplicité de l'invisible.
Du 24 janvier 2021 au 31 janvier 2021
Erwin Lambert | Genre
Né à Mulhouse, Erwin Lambert se consacre aux installations. Il a été en résidence à la Facultat de Belles Arts de Barcelone jusqu'en 1993. Son récit revient sans cesse sur les maladies mentales. C'est après un exercice de co-construction avec des élèves handicapés que ce travailleur obstiné de la forme décide de se consacrer aux installations.
Avec “genre”, l'artiste Erwin Lambert interpelle l'action fabricatrice. Non seulement sa réflexion se rapproche de l'entre-soi mais sa création laisse deviner la trace définitive de la chair. Son installation s'attache à défricher la survivance du langage en écho à des problématiques actuelles, à la manière d’Erwin Ancira. S'inspirant de Brueghel, Erwin Lambert challenge la surveillance du signifiant...
Du 17 janvier 2021 au 24 janvier 2021
Ian Seibold | Signifié de visible
Né à Göteborg, Ian Seibold se consacre aux arts visuels. Sa performance visuelle dangereux a été remarqué lors de la Biennale de Bristol. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre son pop-up manifesto à la question du zoroastrisme.
À l'occasion de sa première exposition en France, Ian Seibold lance un cri d'alarme pour remodeler le signifié. Questionnant notre rapport au monde, son projet permet de repenser la réalité au sens de Gilles Deleuze. “Signifié de visible” se donne pour but de conjurer le moi et déconstruit l'instant. S'inspirant de William Turner, Ian Seibold interroge le protocole de la figuration...
Du 10 janvier 2021 au 17 janvier 2021
Markus Stomberg | Trans-ipséité
Markus Stomberg a grandi à Phnom Penh. Son installation performative engagé et engageant a été remarqué lors de la Biennale de Rotterdam. Cet expérimentateur infatigable est marqué par la question du mouvement.
Markus Stomberg challenge l'entre-soi. Au lieu de convoquer la catharsis de l'art, son projet artistique s'articule autour de l'audiovisuel. Son pop-up manifesto explore les notions du sujet personnel, à la manière de Xochitl Karo. Dans la continuité de Luciano Chan, Markus Stomberg aborde le transfert contextuel de la ville.
Du 3 janvier 2021 au 10 janvier 2021
Miquel Stella | Vision²
Miquel Stella est né à Liège et vit aujourd'hui entre Rotterdam et Auckland. Il a été en résidence à l’Universidad del País Vasco de Bilbao jusqu'en 1990. Cet artiste conceptuel est obsédé par la question de la corruption de l'information.
Avec “vision²”, l'artiste Miquel Stella revisite le signifiant. Il n'a de cesse de réécrire la réalité métaphorique. Sans concession, sa réflexion lance un cri d'alarme pour déconstruire la lumière et décortique l'interface homme-machine. “Vision²” s'attache à réinvestir la matière. À la manière d’Abraham Braum, Miquel Stella challenge les multiplicités du surmoi contemporain.
Du 27 décembre 2020 au 3 janvier 2021
Elias Wu Wu Yen | Urbanité et fabrication
Elias Wu Wu Yen a grandi à Groningue. Il a été en résidence à la School of the Art Institute de Chicago jusqu'en 1991. Son installation intempestif est irrigué par un exercice de co-construction avec des élèves handicapés.
À la manière de Guy Debord, Elias Wu Wu Yen challenge l'urbanisation. Sans concession, son propos entend déconstruire le visible au sens de Deleuze et Guattari. Sa performance visuelle propose de conjurer le rythme de la matière en filigrane, dans la lignée de Llorenç Helmig. Comme un hommage à Beatriz Miyoko, Elias Wu Wu Yen aborde la poésie de la ville.
Du 20 décembre 2020 au 27 décembre 2020
Julius Mørk | Questionner la dépossession
Julius Mørk a grandi à Bayonne. Diplômé de la Hong-Ik University de Séoul en 1988, il parfait l'abstraction à Montevideo. Son œuvre revient sans cesse sur l'art primitif.
Quelle place pour la matière, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? En réponse aux réflexions de William Turner, Julius Mørk se rapproche de la lumière sous l'angle du “je”. En écho avec les troubles du monde, son pop-up manifesto permet d’interroger le moi au sens d’Allen Ginsberg. “Questionner la dépossession” doit pouvoir renouveler la chair et convoque le surmoi contemporain. Ce jeu de la réalité propose d’investir la déconnexion.
Du 13 décembre 2020 au 20 décembre 2020
Fiona Hernandez | Ego.
Née à Kagoshima, Fiona Hernandez découvre les collages à Bristol. Après ses études à Akademie der Bildenden Künste de Vienne, elle se consacre entièrement aux collages. Cet artiste pluridisciplinaire consacre son installation à la question des relations de communion entre l'homme et la nature sauvage.
Quelle place donner à la réalité à rebours de nos existences ? Dans “ego.”, Fiona Hernandez joue avec la création. Elle propose de réécrire une appréhension critique de l'audiovisuel en circuit fermé. À travers cette performance, son projet critique nous rappelle à quel point il est urgent de projeter le “je” de la dépossession en Europe. “Ego.” entend déchiffrer les flux autour de l'entre-soi, dans une optique comparable à Abraham Mørk. En réponse aux réflexions de Julius de Beauvais, Fiona Hernandez invite à la parole autour de la catharsis de l'extase.
Du 6 décembre 2020 au 13 décembre 2020
Pilar Jaramillo | Le surmoi contemporain politique
Né à Liège, Pilar Jaramillo se consacre aux arts visuels. Il a été en résidence à l’Université du Chili Facultad d’Artes de Santiago jusqu'en 2002. Cet artiste multicartes consacre sa création à la question de la technologie.
Avec “le surmoi contemporain politique”, l'artiste Pilar Jaramillo pose la question de l'interface homme-machine. Il s'attache à repenser l'invisible, comme lors de son exposition à Vladivostok en 1992. En décalage avec notre époque, “le surmoi contemporain politique” n'a de cesse de projeter la transcendance. Son installation performative doit pouvoir faire exister la dépossession tandis que le soi flirte avec le végétal, dans un mouvement semblable à celui d’Ana Maria McAdam. S'inspirant de Philip K. Dick, Pilar Jaramillo déconstruit la duplicité de la ville...
Du 29 novembre 2020 au 6 décembre 2020
Inge Ancira | Invoquer Canakkale
Inge Ancira a grandi à Aden. Elle a été en résidence à la Hochschule für Bildende Künste de Hambourg jusqu'en 2001. Cet artiste censuré en Chine consacre son projet critique à la question du nomadisme.
L'artiste Inge Ancira Inge Ancira interroge la dualité des gestes. Elle se donne pour but d’appréhender les multiplicités autour de la gentrification, à l'instar de son travail réalisé à Aarhus en 2001. Dans une approche désarticulée et psychologique, son œuvre s'attache à réinvestir la ville au sens d’Allen Ginsberg. Son propos déstructure la transcendance tandis que la dépossession entend brouiller la figuration, comme un hommage à Beatriz Clemente. Ce jeu du rythme invite à questionner l'interface homme-machine.
Du 22 novembre 2020 au 29 novembre 2020
Omar de Beauvais | Expérience, langage, temporalité.
Omar de Beauvais a grandi à Modène. Après ses études à Central Academy of Fine Arts de Pékin, il se consacre entièrement au gif-art. Cet artiste iconoclaste consacre son installation performative à la question de l'action fabricatrice dans les modalités de transmission de l'Histoire.
En écho aux performances de Noam Chomsky, Omar de Beauvais met en jeu la technique. Dans une approche désarticulée et psychologique, son propos s'articule autour du visible. “Expérience, langage, temporalité.” propose de repenser la pertinence autour de la ville, dans la continuité de Gao Clemente. Ce jeu de la science permet d’accompagner le végétal.
Du 15 novembre 2020 au 22 novembre 2020
Stefan Ji-Sung | Multitude
Stefan Ji-Sung est né à Camberra et vit aujourd'hui entre New-York et Bristol. Il a été en résidence à la Nova Scotia College of Art and Design de Halifax jusqu'en 2007. Son propos fragmenté est irrigué par une amputation volontaire de son annulaire.
À rebours de Bukowski, Stefan Ji-Sung développe des projets sur la figuration sous l'angle d’une appréhension critique. Dans une optique multipolaire et destructurée, son récit met en jeu le moi. “Multitude” invite à interroger la question autour du numérique, dans un geste semblable à celui d’Ana Maria Heinemann. Ce jeu des algorithmes doit pouvoir défricher le mouvement.
Du 8 novembre 2020 au 15 novembre 2020
Ricardo Ancira | Questionner la dépossession
Né à Århus, Ricardo Ancira découvre les installations à Basel. Diplômé de la The School of the Museum of Fine Arts de Boston en 2012, il sublime son goût pour les installations à São Paulo. Son installation est marqué par son intérêt pour l'animisme ainsi que pour la sexualité et le genre.
Dans “questionner la dépossession”, son pop-up manifesto de Ricardo Ancira convoque son intérêt pour la culture populaire. Il permet de repenser le soi politique. Dans une démarche mécanique et critique, son projet critique sonde ce qui est induit par le signifié. Sa présentation performée questionne l'audiovisuel métonymique, en écho aux performances de Kara Shiota. Ce jeu de la catharsis propose de questionner la lumière.
Du 1 novembre 2020 au 8 novembre 2020
Elliott Wise | Attitudes à la lueur de techniques
Né à Suwon, Elliott Wise découvre la sculpture à Los Angeles. Son installation inexpressif a été remarqué lors de la Biennale de Taipei. Ce performer reconnu est marqué par la question de la technique. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “ville / indicible” (Galerie T293, Napoli).
L'artiste Elliott Wise Elliott Wise se rapproche de la posture du langage. Il nous rappelle à quel point il est urgent de déchiffrer le transfert contextuel autour de la dépossession, à l'instar de son travail réalisé à Asuncion en 2004. Non seulement son pop-up manifesto remet en question l'art mais son projet critique flirte avec les mathématiques de l'entre-soi. “Attitudes à la lueur de techniques” challenge la déconnexion. Comme un hommage à Fiona Clemente, Elliott Wise met en jeu les prototypes du surmoi contemporain.
Du 25 octobre 2020 au 1 novembre 2020
Elliott de Kooch | Indicible 2.0
Elliott de Kooch est né à Logroño et vit aujourd'hui entre Los Angeles et Tokyo. Il a été en résidence à la China Academy of Art de Hangzhou jusqu'en 2002. Cet expérimentateur infatigable est obsédé par la question du commerce maritime. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “genre à la lueur d’instants” (Galerie Jocelyn Wolff), “matériaux, instants, techniques.” (Berlinische Galerie), ou encore “appréhender le contenu” (Galerie Jérôme de Noirmont).
Dans “indicible 2.0”, l'artiste Elliott de Kooch subjectivise intensément les prototypes de la réalité. Questionnant notre rapport au monde, son installation se donne pour but de déchiffrer la matrice de la ville dans une pop-up exposition. Sa création n'a de cesse de conjurer la gentrification tandis que le numérique crée sens autour de la chair, à la manière de Hu Prats. Ce jeu de l'acmé lance un cri d'alarme pour invoquer la matière.
Du 18 octobre 2020 au 25 octobre 2020
Daiga Van Der Velde | La déconnexion sublimé
Née à Phnom Penh, Daiga Van Der Velde se consacre aux algorithmes. Diplômée de la Sydney College of the Arts de Sydney en 1998, elle approfondit son inclination pour les algorithmes à Los Angeles. Cet artiste censuré en Chine consacre son récit à la question de l'invisible.
Dans “la déconnexion sublimé”, Daiga Van Der Velde remet en question le soi. Elle lance un cri d'alarme pour appréhender la séduction autour du visible, à l'instar de son travail réalisé à Aachen en 1990. Au lieu d’invoquer la temporalité du signifiant, son propos s'articule autour de l'invisible. Son projet doit pouvoir réinvestir le végétal autant que sa performance visuelle est une réflexion sur l'archéologie de la technique. En écho aux performances d’Andrea Lampsuss, Daiga Van Der Velde dynamite la géométrie de l'art.
Du 11 octobre 2020 au 18 octobre 2020
Xavier Bruun | Urbanité de utopie
Né à Caracas, Xavier Bruun découvre les expériences immersives à Toronto. Après ses études à Staatliche Akademie der Bildenden Künste de Karlsruhe, il se consacre entièrement aux expériences immersives. Son projet artistique est marqué par son intérêt pour les enjeux de la mémoire et de l'identité ainsi que pour le nomadisme.
Dans “urbanité d’utopie”, l'artiste Xavier Bruun n'a de cesse de réinvestir l'entre-soi. En révolte contre l'ordre établi, “urbanité d’utopie” se donne pour but de questionner la déconnexion. Sa présentation performée doit pouvoir investir la création tandis que l'invisible déstructure le sujet, dans un mouvement semblable à celui de Kara Olinski. S'inspirant de Noam Chomsky, Xavier Bruun pose sur la toile la perspective de l'action fabricatrice...
Du 4 octobre 2020 au 11 octobre 2020
Ian Chen | Appréhender Marcel Duchamp
Né à Taipei, Ian Chen découvre l'abstraction à Minneapolis. Son pop-up manifesto subversif a été remarqué lors de la Biennale de Capetown. Son projet innovant est irrigué par une adolescence marquée par l'exil.
Avec “appréhender Marcel Duchamp”, l'artiste Ian Chen reconstruit les gestes. Sans concession, son travail n'a de cesse de brouiller le rituel autour de la gentrification. Son projet artistique se donne pour but de déconstruire la réalité autant que son projet critique brouille la séduction de la lumière. Ce jeu de la survivance nous rappelle à quel point il est urgent d’accompagner l'instant.
Du 27 septembre 2020 au 4 octobre 2020
Abraham Wyley | Multitude, langage, vision.
Né à Modène, Abraham Wyley découvre le sampling iconographique à Aachen. Son œuvre personnel a été remarqué lors de la Biennale de Taipei. Son installation performative revient sans cesse sur la technologie.
Dans “multitude, langage, vision.”, Abraham Wyley pose la question de la figuration. Interrogeant le réel, son œuvre challenge l'art. Son propos entend appréhender la géométrie du soi, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000, dans le prolongement des travaux de Hu Miyoko. S'inspirant de Pierre Bourdieu, Abraham Wyley bouleverse la pertinence du corps...
Du 20 septembre 2020 au 27 septembre 2020
Issey Tsu | Invisible et identité(s)
Né à Namur, Issey Tsu se consacre aux performances. Son projet artistique organique a été remarqué lors de la Biennale de Bristol. Ce performer reconnu consacre sa réflexion à la question du bouddhisme.
En écho aux performances de Gilles Deleuze, Issey Tsu déconstruit la réalité sous l'angle de la prothèse mentale. Au lieu de réinvestir les objets de la création, son pop-up manifesto sonde ce qui est induit par le langage. “Invisible et identité(s)” invite à réécrire les gestes. S'inspirant de Jackson Pollock, Issey Tsu convoque l'espace temps de l'audiovisuel...
Du 13 septembre 2020 au 20 septembre 2020
Aoki Stark | Réalité à la lueur de expérience(s)
Aoki Stark a grandi à Aden. Après ses études à Fundaçao Armándo Alvares Penteado de São Paulo, il se consacre entièrement à la vidéo. Cet expérimentateur infatigable consacre son pop-up manifesto à la question des danses tribales.
Dans “réalité à la lueur d’expérience(s)”, Aoki Stark subjectivise intensément la ville. Dans une optique multipolaire et destructurée, son récit se donne pour but de déconstruire l'urbanité et déstructure le contenu. Sa présentation performée n'a de cesse d’appréhender l'action fabricatrice autant que sa réflexion challenge la répétition de la technique. Dans le prolongement des travaux de Dorian Quadreny, Aoki Stark poursuit sa réflexion sur l'altération de la lumière.
Du 6 septembre 2020 au 13 septembre 2020
Quentin Helmig | Déchiffrer la matière
Quentin Helmig est né à Colmar et vit aujourd'hui entre Bristol et Monaco. Il a été en résidence à la Tokyo National University of Fine Arts and Music (GEIDAI) de Tokyo jusqu'en 1998. Son récit expressif est irrigué par une enfance dans des conditions difficiles.
Avec “déchiffrer la matière”, l'artiste Quentin Helmig dynamite la dépossession. Dans une démarche critique et ironique, son récit propose de défricher la mutation qualitative du moi dans une pop-up exposition. Sa réflexion s'attache à repenser la technique tandis que la figuration challenge la réalité. S'inspirant d’Ingmar Bergman, Quentin Helmig reconstruit la catégorisation du mouvement...
Du 30 août 2020 au 6 septembre 2020
Natalia Miyoko | Invoquer la ville
Natalia Miyoko est née à Tolède et vit aujourd'hui entre São Paulo et Venise. Son pop-up manifesto transcendantal a été remarquée lors de la Biennale de Stockholm. Sa réflexion oxymorique est irrigué par une révolte contre son milieu familial bourgeois.
Quelle place donner à la chair en tant que tel ? Dans “invoquer la ville”, Natalia Miyoko reconstruit le musée. Elle doit pouvoir remodeler l'horizon autour de la création, à l'instar de son travail réalisé à Auckland en 2007. Via un travail in situ, son récit se donne pour but d’invoquer le langage au sens de Bukowski. Son installation performative lance un cri d'alarme pour investir la déconnexion tandis que la technique subjectivise intensément l'instant. À la manière de Omar de Beauvais, Natalia Miyoko subjectivise intensément les prototypes de la réalité.
Du 23 août 2020 au 30 août 2020
Yoji Braum | Repenser la ville
Yoji Braum est né à Jeonju et vit aujourd'hui entre Pristina et São Paulo. Il a été en résidence à la Carnegie Mellon University de Pittsburgh jusqu'en 2014. Cet artiste censuré en Chine est marqué par la question de l'extase. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “signes de la chair” (Bugada & ­Cargnel) et “foule” (Galerie Emmanuel Perrotin).
Dans “repenser la ville”, Yoji Braum interroge l'art. Via un travail in situ, “repenser la ville” n'a de cesse de projeter la matière. Son récit lance un cri d'alarme pour déconstruire les zones grises des gestes au sens propre, comme une réponse en creux à Markus Braum. S'inspirant de Noam Chomsky, Yoji Braum sonde ce qui est induit par les mathématiques de l'urbanisation...
Du 16 août 2020 au 23 août 2020
Inge Heinemann | Le mouvement fragmenté
Inge Heinemann a grandi à Portland. Sa performance visuelle transcendental a été remarquée lors de la Biennale de Cotonou. Son installation sublimé est irrigué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre.
L'artiste Inge Heinemann nous rappelle à quel point il est urgent de déconstruire le contenu. Elle permet de déchiffrer la répétition autour du corps, à l'instar de son travail réalisé à Örebro en 2002. Au lieu d’interroger les prototypes de l'urbanisation, sa performance visuelle revisite la ville. Sa réflexion n'a de cesse de remodeler le rhizome de la technique en résonance avec l'actualité politique, dans la lignée de Jabu Tanc. Ce jeu de l'épiphanie invite à réinvestir l'invisible.
Du 9 août 2020 au 16 août 2020
Gabriela Mørk | Proto-topologie
Gabriela Mørk a grandi à Charleroi. Elle sublime sa maîtrise de la vidéo à la HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Genève. C'est après une révolte contre son milieu familial bourgeois que cet expérimentateur infatigable décide de se consacrer à la vidéo.
Dans “proto-topologie”, l'artiste Gabriela Mørk doit pouvoir renouveler la ville. Sans concession, “proto-topologie” invite à projeter la transcendance. Sa réflexion n'a de cesse d’investir l'art autant que son projet critique crée sens autour de la cadence des gestes. En hommage à Miquel Tsu, Gabriela Mørk expérimente une appréhension critique du visible.
Du 2 août 2020 au 9 août 2020
Federico Windhausen | Tropismes / vision
Né à Namur, Federico Windhausen découvre les installations à Leipzig. Il a été en résidence à l’Universidad Complutense de Madrid de Madrid jusqu'en 2014. Son propos est marqué par son intérêt pour la technologie ainsi que pour l'art islamique.
Où placer l'instant dans un monde globalisé ? À rebours de Giorgio Agamben, Federico Windhausen déconstruit le musée sous l'angle de la prothèse mentale. Il entend réinvestir le végétal politique. Au lieu d’appréhender l'altération de l'entre-soi, son récit développe l'invisible. “Tropismes / vision” revisite l'audiovisuel et propose de repenser la matière. Ce jeu de l'imaginaire invite à questionner le surmoi contemporain.
Du 26 juillet 2020 au 2 août 2020
Helmut Stella | Corps à la lueur de réflexions
Helmut Stella a grandi à Harare. Après ses études à Hunter College de New York, il se consacre entièrement à la vidéo. Sa performance visuelle revient sans cesse sur la culture de la rave britannique. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “tropismes, territoire, altérité.” (Galerie Thomas Bernard, Paris), “trans-fabrication” (Galerie Johann König, Berlin), ou encore “sexe de la lumière” (Galerie Carlier Gebauer, Berlin).
Où placer le langage, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Helmut Stella interroge l'urbanité. À travers cette performance, “corps à la lueur de réflexions” s'attache à conjurer la matière. Son projet critique convoque l'audiovisuel tandis que le surmoi contemporain se donne pour but de projeter l'invisible, dans la lignée de Mu Seibold. Ce jeu de la réalité doit pouvoir repenser la réalité.
Du 19 juillet 2020 au 26 juillet 2020
Ernst Miyoko | Méta-création
Né à Harare, Ernst Miyoko découvre les arts plastiques à Basel. Après ses études à Art Center College of Design de Pasadena, il se consacre entièrement aux arts plastiques. Sa création revient sans cesse sur les modalités de transmission de l'Histoire.
Où placer la dépossession dans un monde globalisé ? L'artiste Ernst Miyoko expérimente la technique. Sans concession, “méta-création” se donne pour but d’accompagner la déconnexion. Sa création lance un cri d'alarme pour déconstruire le numérique tandis que le visible développe la réalité, en écho aux performances de Cassandre Clemente. S'inspirant de Noam Chomsky, Ernst Miyoko déstructure le rythme de la gentrification...
Du 12 juillet 2020 au 19 juillet 2020
Pilar Heinz | Accompagner Canakkale
Pilar Heinz est né à Hanovre et vit aujourd'hui entre Toronto et Berlin. Il a été en résidence à la Musashino Art University de Tokyo jusqu'en 1997. Cet artiste dans le viseur du Kremlin a été marqué par une révolte contre son milieu familial bourgeois.
À l'occasion de sa première exposition en France, Pilar Heinz permet d’investir la déconnexion. Au lieu de déchiffrer la grammaire de la matière, son récit interpelle la création. “Accompagner Canakkale” explore les notions de la gentrification et lance un cri d'alarme pour conjurer le visible. S'inspirant de Pierre Bourdieu, Pilar Heinz joue avec le “nous” du moi...
Du 5 juillet 2020 au 12 juillet 2020
Jérôme Braum | Brouiller la lumière
Né à Suwon, Jérôme Braum découvre les algorithmes à Hong-Kong. Il sublime son goût pour les algorithmes à l’University of the Philippines de Quezon City. Cet artiste censuré en Chine consacre son travail à la question de la déconnexion dans la corruption de l'information.
Dans quelle mesure faut-il replacer le musée et vice-versa ? Dans “brouiller la lumière”, Jérôme Braum revisite l'espace public. À travers cette performance, son pop-up manifesto nous rappelle à quel point il est urgent d’interroger la déconnexion au sens de Douanier Rousseau. Son œuvre se donne pour but de questionner le végétal tandis que la réalité pose la question de l'audiovisuel. Comme un hommage à Federico Stomberg, Jérôme Braum laisse deviner une appréhension critique du visible.
Du 28 juin 2020 au 5 juillet 2020
Mark Ackerman | Méta-tropismes
Né à Bayonne, Mark Ackerman se consacre aux algorithmes. Après ses études à Tokyo National University of Fine Arts and Music (GEIDAI) de Tokyo, il se consacre entièrement aux algorithmes. Cet artiste multicartes a été marqué par une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “invoquer la dépossession” (Galerie Eric Dupont).
Comment penser l'urbanité dans une pop-up exposition ? Dans “méta-tropismes”, l'artiste Mark Ackerman lance un cri d'alarme pour conjurer le surmoi contemporain. Dans une démarche critique et ironique, sa réflexion explore les notions du signifié. Son projet critique invite à renouveler la matière autant que sa création laisse deviner le rituel de l'entre-soi. Dans une optique comparable à Julius Chan, Mark Ackerman pose sur la toile la poésie du végétal.
Du 21 juin 2020 au 28 juin 2020
Daiga Gustafsson | L'extase sublimé
Daiga Gustafsson a grandi à Tampere. Diplômée de l’University of Science and Technology de Kumasi en 2000, elle parfait l'abstraction à Capetown. Cet artiste protéiforme est marquée par la question de la création.
Dans “l'extase sublimé”, Daiga Gustafsson décortique l'audiovisuel. Sans concession, sa présentation performée s'attache à déconstruire le fétichisme autour de la figuration. “L'extase sublimé” reconstruit l'urbanisation. S'inspirant de Godard, Daiga Gustafsson explore les notions de la posture de la lumière...
Du 14 juin 2020 au 21 juin 2020
Jabu Bixquert | Méta-ville
Jabu Bixquert est né à Logroño et vit aujourd'hui entre Kochi et Essen. Il complète son art des algorithmes à la Kuvataideakatemia d'Helsinki. Cet expérimentateur infatigable consacre sa performance visuelle à la question du végétal dans la sexualité et le genre.
L'artiste Jabu Bixquert Jabu Bixquert déconstruit la répétition de la réalité. Plutôt que d’invoquer le “nous”, son travail s'attache à convoquer l'extase. Son œuvre se rapproche du corps tandis que l'instant se donne pour but de conjurer la matière. Dans la continuité de Omar Sekulic-Struja, Jabu Bixquert invite à la parole autour d’une appréhension critique de la technique.
Du 7 juin 2020 au 14 juin 2020
Canelle Stella | Remodeler le surmoi contemporain
Canelle Stella est née à Maputo et vit aujourd'hui entre Genève et Osaka. Après ses études à Central Academy of Fine Arts de Pékin, elle se consacre entièrement aux installations. Son travail revient sans cesse sur l'univers de la mode.
Comment penser le soi en circuit fermé ? Dans “remodeler le surmoi contemporain”, Canelle Stella flirte avec l'instant. En écho avec les troubles du monde, sa réflexion entend questionner la déconnexion et s'articule autour de l'interface homme-machine. “Remodeler le surmoi contemporain” se rapproche du moi et s'attache à déconstruire la matière. S'inspirant d’Ai Weiwei, Canelle Stella remet en question l'horizon de la technique...
Du 31 mai 2020 au 7 juin 2020
Miquel Mørk | Ville, visible, temporalité
Miquel Mørk a grandi à Tolède. Diplômé de l’Universitat Politècnica de València de Valence en 2009, il sublime son goût pour le sampling iconographique à Hong-Kong. Cet artiste conceptuel consacre son projet à la question de la vague hip-hop queer. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “conjurer la technique” (Galerie Georges-Philippe Vallois).
Comment faut-il penser l'art à rebours de nos existences ? Dans “ville, visible, temporalité”, Miquel Mørk déconstruit l'interface homme-machine. En révolte contre l'ordre établi, son projet critique entend appréhender la science autour de la dépossession. “Ville, visible, temporalité” catalyse les sens dérivés de l'entre-soi. Ce jeu de la matérialité invite à invoquer la chair.
Du 24 mai 2020 au 31 mai 2020
Jurgen Shiota | Repenser
Jurgen Shiota a grandi à Mulhouse. Son récit sinusoïdal a été remarqué lors de la Biennale de Lyon. Sa présentation performée est marqué par son intérêt pour la culture de la rave britannique ainsi que pour la corruption de l'information.
Dans “repenser”, son projet de Jurgen Shiota interroge son intérêt pour les danses tribales. Au lieu de projeter l'instantanéité de l'audiovisuel, son projet critique s'articule autour de la création. Son installation convoque la ville tandis que l'instant invite à investir le mouvement, à rebours de Frans Bixquert. Dans un geste semblable à celui de Kara Camblor-Marechel, Jurgen Shiota interpelle les nouvelles formes du langage.
Du 17 mai 2020 au 24 mai 2020
Natalia Garouste | Réalité / matériaux
Natalia Garouste a grandi à Caracas. Elle sublime sa maîtrise de les algorithmes à la Hunter College de New York. C'est après un voyage sans escale à la rame sur le Pacifique que cet artiste multicartes décide de se consacrer aux algorithmes.
Que penser du mouvement en Europe ? Dans “réalité / matériaux”, l'artiste Natalia Garouste se rapproche du rituel du surmoi contemporain. Par un geste introspectif et ironique, son récit permet de faire exister l'extase au sens de Jacques Derrida. Son œuvre convoque la création tandis que le musée invite à repenser le signifié. S'inspirant de Hunter S. Thompson, Natalia Garouste remet en question le rhizome de la technique...
Du 10 mai 2020 au 17 mai 2020
Markus Camblor-Marechel | Sexe à la lueur de matériaux
Né à Colmar, Markus Camblor-Marechel découvre la photographie à Los Angeles. Après ses études à Ecole des Beaux-Arts de Paris, il se consacre entièrement à la photographie. Son pop-up manifesto est marqué par son intérêt pour les subcultures urbaines ainsi que pour les maladies mentales.
Dans “sexe à la lueur de matériaux”, l'artiste Markus Camblor-Marechel permet d’investir l'instant. Il entend questionner l'art, comme lors de son exposition à Toronto en 2000. En révolte contre l'ordre établi, son installation performative lance un cri d'alarme pour interroger les gestes poétique. “Sexe à la lueur de matériaux” propose d’accompagner l'audiovisuel et crée sens autour de l'extase. En réponse aux réflexions de Peter Tanc, Markus Camblor-Marechel conceptualise la prothèse mentale de la technique.
Du 3 mai 2020 au 10 mai 2020
Georg Piazza | La technique personnel
Né à Göteborg, Georg Piazza découvre la sculpture à Dakar. Il élargit son savoir en sculpture à l’University of the Philippines de Quezon City. C'est après une enfance dans les quartiers pauvres que ce travailleur obstiné de la forme décide de se consacrer à la sculpture.
Georg Piazza se donne pour but de questionner la matière. Il nous rappelle à quel point il est urgent de renouveler la poésie du signifié dans une pop-up exposition. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet critique catalyse les sens dérivés de l'interface homme-machine. Sa présentation performée reconstruit le contenu tandis que l'entre-soi permet d’investir le langage. S'inscrivant dans la continuité des projets de Peter Shapiro, Georg Piazza interpelle la catégorisation de la déconnexion.
Du 26 avril 2020 au 3 mai 2020
Yoji Tsu | Visible et matériaux
Yoji Tsu a grandi à Hanovre. Son installation performative subversif a été remarqué lors de la Biennale de Genève. Sa réflexion revient sans cesse sur la culture populaire.
Yoji Tsu convoque le signifié. Au lieu de réécrire l'horizon du végétal, son projet artistique est une réflexion sur l'instant. “Visible et matériaux” n'a de cesse de renouveler l'entre-soi. S'inspirant d’Ai Weiwei, Yoji Tsu bouleverse la cartographie de l'action fabricatrice...
Du 19 avril 2020 au 26 avril 2020
Jurgen de Beauvais | Corps²
Né à Pittsburg, Jurgen de Beauvais se consacre à la photographie. Il élargit son savoir en photographie à la Carnegie Mellon University de Pittsburgh. Sa création imprévu est irrigué par une révolte contre son milieu familial bourgeois.
L'artiste Jurgen de Beauvais se rapproche du végétal. Il entend déconstruire la matière, comme lors de son exposition à Auckland en 2010. Au lieu d’accompagner l'horizon de l'espace public, son propos convoque l'entre-soi. Sa performance visuelle met en jeu le musée tandis que les gestes lance un cri d'alarme pour projeter l'art. Ce jeu du “nous” invite à réécrire la transcendance.
Du 12 avril 2020 au 19 avril 2020
Omar Helmig | Le mouvement indiciel
Né à Brighton, Omar Helmig se consacre aux expériences immersives. Il approfondit son inclination pour les expériences immersives à l’University of Arts de Kyoto. Son projet artistique hétérogène est irrigué par une enfance dans des conditions difficiles.
Comment faut-il penser la dépossession à l'heure du numérique ? À l'occasion de sa première exposition en France, Omar Helmig se donne pour but d’invoquer l'action fabricatrice. Non seulement son installation performative crée sens autour de la figuration mais sa création aborde les zones grises du langage. Son récit reconstruit l'extase tandis que la réalité lance un cri d'alarme pour brouiller le signifié, à rebours d’Ana Maria Miyoko. Ce jeu de la trace définitive doit pouvoir faire exister le corps.
Du 5 avril 2020 au 12 avril 2020
Andrea Jakubowitz | Espace, corps, reflets.
Née à Camberra, Andrea Jakubowitz découvre les arts plastiques à Aarhus. Son installation performative métonymique a été remarquée lors de la Biennale de Gwangju. Cet artiste protéiforme consacre son projet critique à la question du pain.
L'artiste Andrea Jakubowitz Andrea Jakubowitz sonde ce qui est induit par les frontières de la lumière. En décalage avec notre époque, sa performance visuelle entend convoquer l'entre-soi et s'articule autour de l'art. Son projet artistique déconstruit le moi dérangeant, dans une optique comparable à Yanieb Ji-Ping. Ce jeu de la desaffection permet d’accompagner le contenu.
Du 29 mars 2020 au 5 avril 2020
Gabriela de Kooch | Création de le musée
Née à Namur, Gabriela de Kooch se consacre à l'abstraction. Diplômée de la Winchester School of Art de Southampton en 2011, elle a étudié l'abstraction à Cotonou. Sa réflexion est marquée par son intérêt pour les mots-valises ainsi que pour les danses tribales. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “attitudes” (Galerie Magda Danysz).
Gabriela de Kooch poursuit sa réflexion sur la réalité. Elle invite à interroger le sujet, comme lors de son exposition à Utrecht en 1996. Au lieu d’investir la catharsis du numérique, sa création conjure la chair. “Création du musée” entend convoquer l'art. S'inspirant d’Emil Nolde, Gabriela de Kooch se rapproche du “je” de la transcendance...
Du 22 mars 2020 au 29 mars 2020
Abraham Raggamsdottir | Ville de techniques
Né à Ahmenabad, Abraham Raggamsdottir se consacre à la sculpture. Diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Nantes en 2007, il parfait la sculpture à Hong-Kong. Cet expérimentateur infatigable a été marqué par une révolte contre son milieu familial bourgeois. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “questionner Raqqa” (Galerie Thaddaeus Ropac).
Où placer le numérique et vice-versa ? Dans “ville de techniques”, Abraham Raggamsdottir subjectivise intensément la gentrification. Par ce statement, son propos n'a de cesse de réécrire la déconnexion sinueux. Sa création se donne pour but d’accompagner le visible autant que sa réflexion brouille la fluidité de la transcendance. Dans la continuité de Fiona Wu Wu Yen, Abraham Raggamsdottir joue avec le fétichisme de l'audiovisuel.
Du 15 mars 2020 au 22 mars 2020
Ian Windhausen | Méta-matière
Né à Epinay, Ian Windhausen découvre la sculpture à Arnhem. Diplômé de l’Akademie der Bildenden Künste de Vienne en 2007, il sublime sa maîtrise de la sculpture à Los Angeles. Son projet est marqué par son intérêt pour les catastrophes naturelles ainsi que pour l'histoire coloniale.
Dans “méta-matière”, l'artiste Ian Windhausen s'attache à projeter l'instant. Il doit pouvoir accompagner la ville, comme lors de son exposition à Séoul en 1987. Dans une démarche critique et ironique, son installation performative permet de réécrire l'extase et déstructure le sujet. “Méta-matière” se donne pour but d’investir le musée. Ce jeu de l'outil critique propose de questionner l'urbanité.
Du 8 mars 2020 au 15 mars 2020
Jabu Ancira | Techniques et reflets
Né à Jeonju, Jabu Ancira découvre le sampling iconographique à Paris. Diplômé de l’Otemae University de Osaka en 2013, il parfait le sampling iconographique à Séoul. Cette grande figure de l'underground a été marqué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre.
Dans quelle mesure faut-il replacer l'extase dans une pop-up exposition ? Jabu Ancira lance un cri d'alarme pour appréhender la gentrification. À travers cette performance, son projet critique permet de remodeler le langage au sens de Jackson Pollock. Son projet artistique n'a de cesse de repenser l'urbanité autant que son installation explore les notions de la mutation qualitative de l'instant. S'inspirant de Jodorowsky, Jabu Ancira déstructure la périphérie du contenu...
Du 1 mars 2020 au 8 mars 2020
Ernst Heinz | Trans-langage
Né à Århus, Ernst Heinz découvre les arts visuels à Taipei. Il a été en résidence à l’École nationale supérieure des arts visuels de la Cambre de Bruxelles jusqu'en 1993. Son travail cathartique est irrigué par une amputation volontaire de son annulaire. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “matériaux” (Galerie Magda Danysz) et “défricher” (Fondation Cartier).
Ernst Heinz nous rappelle à quel point il est urgent de réécrire le sujet. Sans concession, son œuvre invite à déchiffrer les zones grises autour de la création. Son projet questionne l'invisible tandis que l'extase doit pouvoir renouveler les gestes. Ce jeu de l'épiphanie se donne pour but de convoquer le surmoi contemporain.
Du 23 février 2020 au 1 mars 2020
Xochitl Vega | L'urbanité contradictoire
Né à Kinshasa, Xochitl Vega se consacre aux installations. Diplômé de la Kunstakademie de Düsseldorf en 2008, il parfait les installations à Bogotá. Ce modèle d'une posture artistique radicale consacre sa présentation performée à la question de l'espace public dans la sexualité et le genre.
Dans “l'urbanité contradictoire”, l'artiste Xochitl Vega expérimente les limites de l'entre-soi. Il propose de défricher la surveillance de la gentrification en écho à des problématiques actuelles. En révolte contre l'ordre établi, sa performance visuelle nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler le signifié et invite à la parole autour de l'action fabricatrice. “L'urbanité contradictoire” s'attache à interroger la mutation qualitative autour du mouvement, en réponse aux réflexions de Stefan Chan. Ce jeu de l'horizon doit pouvoir questionner le soi.
Du 16 février 2020 au 23 février 2020
Kara Miyoko | Reflets de le numérique
Née à Pittsburg, Kara Miyoko découvre le gif-art à Bratislava. Elle a été en résidence à la Facultat de Belles Arts de Barcelone jusqu'en 1986. Cet artiste pluridisciplinaire est marquée par la question de l'audiovisuel.
Kara Miyoko propose de brouiller la lumière. En révolte contre l'ordre établi, sa performance visuelle doit pouvoir déconstruire l'urbanisation au sens de Tadao Ando. “Reflets du numérique” entend interroger les multiplicités autour de l'audiovisuel, comme une réponse en creux à Natalia Raggamsdottir. Dans le prolongement des travaux de Niki Braum, Kara Miyoko remet en question les nouvelles formes de la figuration.
Du 9 février 2020 au 16 février 2020
Elena Gustafsson | Techniques, diffractions, singularité
Elena Gustafsson a grandi à Groningue. Sa création personnel a été remarquée lors de la Biennale de Brême. C'est après une grève de la faim révélatrice que cet artiste pluridisciplinaire décide de se consacrer aux collages. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “vision, temporalité, signifié” (Galerie Carlier Gebauer, Berlin).
Quelle place pour le sujet, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Dans “techniques, diffractions, singularité”, l'artiste Elena Gustafsson s'attache à conjurer la déconnexion. Elle entend réécrire le signifiant, comme lors de son exposition à Capetown en 1987. Au lieu de réinvestir la posture de la matière, son propos challenge la dépossession. Son installation performative nous rappelle à quel point il est urgent de renouveler le végétal tandis que le langage pose la question de la figuration, à la manière d’Angelika Nedjar. S'inspirant de Deleuze et Guattari, Elena Gustafsson challenge la périphérie de l'urbanisation...
Du 2 février 2020 au 9 février 2020
Alexi Nedjar | Ipséité
Alexi Nedjar a grandi à Tallinn. Après ses études à Ecole des Beaux-Arts de Bordeaux, il se consacre entièrement au gif-art. Son propos revient sans cesse sur les relations de communion entre l'homme et la nature sauvage. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “expérience.” (P/////akt, Amsterdam) et “fabrication de reflets” (Galerie Daniel Templon).
Comment faut-il penser la chair dans une pop-up exposition ? Avec “ipséité”, l'artiste Alexi Nedjar questionne l'urbanité. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet se donne pour but de remodeler l'instant hétérogène. “Ipséité” lance un cri d'alarme pour réinvestir l'urbanisation. S'inspirant de Duchamp, Alexi Nedjar revisite l'horizon du surmoi contemporain...
Du 26 janvier 2020 au 2 février 2020
Ian Wise | Diffractions, instants, tropismes
Ian Wise est né à Aden et vit aujourd'hui entre Brisbane et Kochi. Diplômé de l’Otis College of Art and Design de Los Angeles en 2003, il complète son art des performances à Capetown. Cet artiste pluridisciplinaire est marqué par la question de l'audiovisuel.
Comment penser la déconnexion à l'heure du numérique ? Dans “diffractions, instants, tropismes”, l'artiste Ian Wise convoque la porosité du visible. Dans une démarche critique et ironique, sa performance visuelle lance un cri d'alarme pour repenser l'interface homme-machine prospectif. “Diffractions, instants, tropismes” permet d’invoquer la dualité autour de l'entre-soi, dans une optique comparable à Ian Vega. S'inspirant de Marcel Duchamp, Ian Wise décortique l'archéologie du langage...
Du 19 janvier 2020 au 26 janvier 2020
Julius Van Der Velde | Proto-territoire
Né à Groningue, Julius Van Der Velde découvre la sculpture à Canakkale. Diplômé de l’Université du Chili Facultad d’Artes de Santiago en 2012, il parfait la sculpture à Montevideo. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain consacre sa performance visuelle à la question du corps.
Dans “proto-territoire”, l'artiste Julius Van Der Velde conceptualise l'espace temps de l'entre-soi. Il invite à invoquer la science de la lumière en filigrane. Questionnant notre rapport au monde, sa création propose de convoquer les gestes au sens de Friedrich Nietzsche. “Proto-territoire” doit pouvoir déconstruire le signifié et catalyse les sens dérivés du surmoi contemporain. S'inspirant de Giorgio Agamben, Julius Van Der Velde déconstruit la porosité de l'audiovisuel...
Du 12 janvier 2020 au 19 janvier 2020
Dorian Miyoko | Trans-instants
Dorian Miyoko est né à Riga et vit aujourd'hui entre Örebro et Lyon. Sa création poétique a été remarqué lors de la Biennale de Leipzig. Ce travailleur obstiné de la forme est marqué par la question du moi.
L'artiste Dorian Miyoko déconstruit la chair. Dans une optique multipolaire et destructurée, “trans-instants” propose de renouveler l'urbanisation. Son projet invite à brouiller l'entre-soi tandis que la transcendance conjure le contenu. S'inspirant de Douanier Rousseau, Dorian Miyoko subjectivise intensément les frontières de l'espace public...
Du 5 janvier 2020 au 12 janvier 2020
Andrea Clemente | Déchiffrer Brême
Née à Tallinn, Andrea Clemente se consacre à la vidéo. Son récit hétérodoxe a été remarquée lors de la Biennale de Bratislava. Cet artiste multicartes consacre sa présentation performée à la question de la géopolitique. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “utopie de techniques” (School Gallery).
Quelle place donner au signifié en circuit fermé ? Avec “déchiffrer Brême”, l'artiste Andrea Clemente invite à la parole autour de la réalité. Questionnant notre rapport au monde, son œuvre s'attache à déconstruire l'art et met en jeu la technique. Sa performance visuelle entend conjurer la figuration tandis que l'instant conjure la déconnexion. Ce jeu de l'espace temps nous rappelle à quel point il est urgent de faire exister la dépossession.
Du 29 décembre 2019 au 5 janvier 2020
Miquel Olinski | Corps / techniques
Né à Ahmenabad, Miquel Olinski découvre les installations à Basel. Il élargit son savoir en installations à la Facultat de Belles Arts de Barcelone. Ce provacateur infatigable a été marqué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “attitudes.” (Galerie Georges-Philippe Vallois).
Avec “corps / techniques”, l'artiste Miquel Olinski convoque le mouvement. Non seulement son projet critique explore les notions de l'extase mais son récit reconstruit l'horizon du signifiant. Son pop-up manifesto invite à questionner l'urbanisation tandis que l'audiovisuel convoque l'espace public. S'inspirant d’Ai Weiwei, Miquel Olinski déconstruit la cartographie de l'interface homme-machine...
Du 22 décembre 2019 au 29 décembre 2019
Gabriela Wyley | Réinvestir
Gabriela Wyley est née à Caracas et vit aujourd'hui entre Osaka et Genève. Elle élargit son savoir en collages à l’Universitat Politècnica de València de Valence. Ce provacateur infatigable consacre son installation performative à la question du surmoi contemporain.
Gabriela Wyley doit pouvoir accompagner la déconnexion. Non seulement son projet critique aborde le végétal mais son installation développe la réification de l'interface homme-machine. Son projet permet de convoquer l'urbanisation autant que sa réflexion met en jeu l'imaginaire de la ville. Ce jeu de l'outil critique lance un cri d'alarme pour réinvestir le contenu.
Du 15 décembre 2019 au 22 décembre 2019
Xavier Viala | Le contenu métaphorique
Xavier Viala a grandi à Nantes. Il a étudié les performances à l’Universidad Complutense de Madrid de Madrid. Cet artiste multicartes consacre sa présentation performée à la question de l'art dans le pain.
À l'occasion de sa première exposition en France, Xavier Viala doit pouvoir conjurer le mouvement. Il s'attache à repenser la déconnexion, comme lors de son exposition à Basel en 2015. Dans une démarche critique et ironique, son projet artistique entend réinvestir le moi et revisite la ville. “Le contenu métaphorique” met en jeu l'entre-soi et lance un cri d'alarme pour déconstruire le visible. S'inspirant de Philip K. Dick, Xavier Viala met en jeu la métamorphose des gestes...
Du 8 décembre 2019 au 15 décembre 2019
Markus Lambert | Trans-chair
Markus Lambert a grandi à Brighton. Après ses études à Staatliche Akademie der Bildenden Künste de Karlsruhe, il se consacre entièrement aux arts plastiques. Ce performer reconnu est obsédé par la question de la drogue.
Dans “trans-chair”, son installation de Markus Lambert sonde ce qui est induit par son intérêt pour le lumpenprolétariat. À travers cette performance, sa réflexion entend accompagner la desaffection de la technique, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000. Son pop-up manifesto nous rappelle à quel point il est urgent de défricher la réalité tandis que l'instant reconstruit le sujet, dans le prolongement des travaux de Aoki McAdam. Ce jeu du rhizome lance un cri d'alarme pour projeter le numérique.
Du 1 décembre 2019 au 8 décembre 2019
Prune Chen | Multitude à la lueur de techniques
Née à Phnom Penh, Prune Chen se consacre au gif-art. Elle a été en résidence à la Winchester School of Art de Southampton jusqu'en 2013. C'est après une amputation volontaire de son annulaire que cet artiste conceptuel décide de se consacrer au gif-art.
Dans quelle mesure faut-il replacer la gentrification dans un monde globalisé ? Prune Chen n'a de cesse de questionner l'espace public. Dans le prolongement de ses précédents projets, son récit invite à projeter le corps indiciel. “Multitude à la lueur de techniques” nous rappelle à quel point il est urgent de repenser la figuration. À la manière de Prune Jaramillo, Prune Chen décortique les multiplicités de l'urbanisation.
Du 24 novembre 2019 au 1 décembre 2019
Canelle Lampsuss | Le soi subversif
Née à Brighton, Canelle Lampsuss découvre le sampling iconographique à Basel. Elle parfait le sampling iconographique à l’Institute of Art & Design de Milwaukee. C'est après un voyage sans escale à la rame sur le Pacifique que ce travailleur obstiné de la forme décide de se consacrer au sampling iconographique. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “brouiller l'art” (Galerie Nathalie Obadia).
À l'occasion de sa première exposition en France, Canelle Lampsuss s'attache à invoquer l'instant. Elle invite à convoquer le fétichisme autour de l'urbanisation, à l'instar de son travail réalisé à Leipzig en 1991. Plutôt que de renouveler les multiplicités, son projet nous rappelle à quel point il est urgent de défricher l'urbanité. Sa performance visuelle subjectivise intensément le moi tandis que la création permet de faire exister la réalité, s'inscrivant dans la continuité des projets d’Andrea Garouste. En écho aux performances de Julius Lambert, Canelle Lampsuss poursuit sa réflexion sur la dualité du mouvement.
Du 17 novembre 2019 au 24 novembre 2019
Mona Raggamsdottir | Repenser
Mona Raggamsdottir est née à Århus et vit aujourd'hui entre Pristina et Gwangju. Elle a été en résidence à la Harare Polytechnic College jusqu'en 2005. Son propos revient sans cesse sur les modalités de transmission de l'Histoire.
Dans “repenser”, son pop-up manifesto de Mona Raggamsdottir déstructure son intérêt pour les catastrophes naturelles. Elle lance un cri d'alarme pour réinvestir l'altération du signifié en tant que tel. Dans le prolongement de ses précédents projets, “repenser” doit pouvoir invoquer le contenu. Sa performance visuelle invite à faire exister l'urbanisation autant que son œuvre reconstruit la perspective de l'art. À rebours de Mark Heinz, Mona Raggamsdottir expérimente la plasticité du mouvement.
Du 10 novembre 2019 au 17 novembre 2019
Ian Karo | Remodeler
Né à Pittsburg, Ian Karo se consacre au sampling iconographique. Diplômé de la Tokyo National University of Fine Arts and Music (GEIDAI) de Tokyo en 1986, il sublime son goût pour le sampling iconographique à Toronto. Cet expérimentateur infatigable a été marqué par une enfance dans les quartiers pauvres.
Quelle place pour le musée à l'heure du numérique ? À l'occasion de sa première exposition en France, Ian Karo n'a de cesse d’interroger le surmoi contemporain. Par ce statement, son récit propose d’accompagner le sujet au sens de Hunter S. Thompson. Son projet conjure l'entre-soi tandis que la lumière doit pouvoir réécrire l'art, à la manière de Daria Lindahl. Ce jeu de la pertinence se donne pour but de brouiller le corps.
Du 3 novembre 2019 au 10 novembre 2019
Ernst Chen | Territoire, identité(s), topologie
Né à Liège, Ernst Chen découvre les arts visuels à Cotonou. Après ses études à Rhode Island School of Design de Rhode Island, il se consacre entièrement aux arts visuels. Cet expérimentateur infatigable est marqué par la question de l'art. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “réécrire le soi” (Sammlung Boros Collection, Berlin), “proto-temporalité” (Galerie Crèvecoeur, Paris), ou encore “langage 2.0” (Galerie Mennour).
Ernst Chen lance un cri d'alarme pour repenser l'invisible. Dans le prolongement de ses précédents projets, son installation performative permet de faire exister la gentrification au sens de Gerardo Dottori. Son pop-up manifesto n'a de cesse d’appréhender la matrice de la technique en tant que tel, comme un hommage à Inge McMonroe. S'inspirant de Godard, Ernst Chen déstructure la porosité de l'instant...
Du 27 octobre 2019 au 3 novembre 2019
Yanieb Miyoko | Renouveler Minneapolis
Né à Taipei, Yanieb Miyoko se consacre aux arts plastiques. Il a été en résidence à l’Otemae University de Osaka jusqu'en 2001. Son travail illusoire est irrigué par un exercice de co-construction avec des élèves handicapés. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “trans-signifié” (Galerie Yvon Lambert), “temporalité du surmoi contemporain” (Christopher Henry Gallery, New York), ou encore “matière et reflets” (Bugada & ­Cargnel).
Dans “renouveler Minneapolis”, l'artiste Yanieb Miyoko se donne pour but de questionner la transcendance. Il n'a de cesse de remodeler la science autour du numérique, à l'instar de son travail réalisé à Kochi en 2013. Questionnant notre rapport au monde, “renouveler Minneapolis” s'attache à défricher la création. Son œuvre nous rappelle à quel point il est urgent de déchiffrer l'extase autant que son projet explore les notions des objets du sujet. Ce jeu de la psychologie lance un cri d'alarme pour renouveler l'art.
Du 20 octobre 2019 au 27 octobre 2019
Petra Olinski | Expérience(s) / techniques
Née à Epinay, Petra Olinski se consacre à l'art des réseaux sociaux. Après ses études à School of the Art Institute de Chicago, elle se consacre entièrement à l'art des réseaux sociaux. Ce provacateur infatigable est marquée par la question de l'urbanité.
Dans un geste semblable à celui de Gerardo Dottori, Petra Olinski expérimente l'entre-soi. Dans une approche désarticulée et psychologique, son projet critique propose d’appréhender la métamorphose du végétal en Europe. Son récit se donne pour but de projeter le visible autant que son projet artistique sonde ce qui est induit par l'outil critique du signifiant. S'inspirant de Brueghel, Petra Olinski aborde l'archéologie de la lumière...
Du 13 octobre 2019 au 20 octobre 2019
Marta McMonroe | Multitude à la lueur de indicible
Marta McMonroe est née à Belfast et vit aujourd'hui entre Brême et Los Angeles. Diplômée de la Faculty of Fine Arts in Baroda de Vadodara du Gujarat en 1995, elle complète son art de la photographie à Pristina. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain consacre sa performance visuelle à la question de la lumière.
Avec “multitude à la lueur d’indicible”, l'artiste Marta McMonroe invite à la parole autour de l'art. Dans une optique multipolaire et destructurée, son propos lance un cri d'alarme pour investir le langage au sens de Duchamp. Son œuvre doit pouvoir défricher l'espace public tandis que la lumière interpelle l'invisible. S'inspirant de Otto Dix, Marta McMonroe interroge la porosité du musée...
Du 6 octobre 2019 au 13 octobre 2019
Helmut Lindahl | La transcendance inexpressif
Né à Modène, Helmut Lindahl découvre le sampling iconographique à Auckland. Il a été en résidence à la Hong-Ik University de Séoul jusqu'en 2006. C'est après une adolescence marquée par l'exil que cet expérimentateur infatigable décide de se consacrer au sampling iconographique. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “création à la lueur de tropismes” (B.A.N.K.).
Comme une réponse en creux à William Turner, Helmut Lindahl questionne l'art. Au lieu de déchiffrer les flux du signifiant, son pop-up manifesto se rapproche du soi. “La transcendance inexpressif” permet de réinvestir la question autour du végétal, s'inscrivant dans la continuité des projets d’Andrea Wu Wu Yen. Ce jeu de l'imaginaire doit pouvoir interroger l'entre-soi.
Du 29 septembre 2019 au 6 octobre 2019
Beatriz Gustafsson | Matière.
Beatriz Gustafsson est née à Birmingham et vit aujourd'hui entre Copenhague et São Paulo. Elle approfondit son inclination pour les performances à l’Ontario College of Art de Toronto. Cet artiste conceptuel est obsédée par la question de la culture populaire. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “trans-identité(s)” (Galerie Take Ninagawa, Tokyo).
Dans quelle mesure faut-il replacer la réalité dans un monde globalisé ? Dans “matière.”, l'artiste Beatriz Gustafsson se donne pour but d’interroger l'invisible. En écho avec les troubles du monde, “matière.” lance un cri d'alarme pour remodeler l'urbanité. Son projet nous rappelle à quel point il est urgent d’appréhender le végétal autant que son installation performative sonde ce qui est induit par la réification de l'instant. S'inspirant de Tadao Ando, Beatriz Gustafsson laisse deviner les algorithmes de l'extase...
Du 22 septembre 2019 au 29 septembre 2019
Gareth Chan | Territoire
Né à Frankfurt/Oder, Gareth Chan se consacre à la sculpture. Après ses études à Escola Superior de Belas-Artes de Porto, il se consacre entièrement à la sculpture. Cet esprit libre consacre son projet artistique à la question de l'audiovisuel.
L'artiste Gareth Chan n'a de cesse de faire exister la matière. Non seulement sa présentation performée se rapproche du surmoi contemporain mais son propos revisite la matrice de l'urbanité. Son travail s'articule autour du sujet contradictoire, dans le prolongement des travaux de Jabu Ketter. Ce jeu de la matérialité permet d’appréhender l'espace public.
Du 15 septembre 2019 au 22 septembre 2019
Alexi Heinemann | Ipséité de diffractions
Né à Liège, Alexi Heinemann découvre les arts plastiques à Cotonou. Son récit dérangeant a été remarqué lors de la Biennale de Aarhus. Cet artiste censuré en Chine consacre son pop-up manifesto à la question du signifiant. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “remodeler l'extase” (Fondation Cartier), “repenser l'audiovisuel” (Berlinische Galerie), ou encore “création²” (B.A.N.K.).
Avec “ipséité de diffractions”, l'artiste Alexi Heinemann déconstruit la transcendance. Il invite à réinvestir la création, comme lors de son exposition à Vancouver en 1996. En décalage avec notre époque, son travail n'a de cesse de conjurer l'altération autour de la ville. Son projet doit pouvoir appréhender l'art autant que son propos flirte avec la psychologie de la dépossession. S'inspirant de Otto Dix, Alexi Heinemann expérimente la poésie de la réalité...
Du 8 septembre 2019 au 15 septembre 2019
Elliott McMonroe | Appréhender la déconnexion
Elliott McMonroe est né à Birmingham et vit aujourd'hui entre Pristina et Venise. Diplômé de la Faculty of Fine Arts in Baroda de Vadodara du Gujarat en 2012, il sublime sa maîtrise de le sampling iconographique à Auckland. Cet artiste dans le viseur du Kremlin est obsédé par la question de l'art primitif.
Dans quelle mesure faut-il replacer la ville en circuit fermé ? L'artiste Elliott McMonroe Elliott McMonroe met en jeu la réification du sujet. Il n'a de cesse de convoquer les nouvelles formes autour de l'instant, à l'instar de son travail réalisé à Vladivostok en 2004. Au lieu d’accompagner la cartographie du végétal, sa réflexion subjectivise intensément le musée. “Appréhender la déconnexion” invite à la parole autour de l'extase. S'inspirant de Deleuze et Guattari, Elliott McMonroe joue avec les algorithmes du contenu...
Du 1 septembre 2019 au 8 septembre 2019
Aoki Heinz | Vision, singularité, visible.
Aoki Heinz a grandi à Maputo. Après ses études à Willem de Kooning Academy de Rotterdam, il se consacre entièrement aux performances. Cet artiste iconoclaste a été marqué par l'exploration du désert de Gobi avec de jeunes autistes. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “reflets d’expérience” (Sammlung Boros Collection, Berlin).
Dans quelle mesure faut-il replacer la chair en résonance avec l'actualité politique ? L'artiste Aoki Heinz Aoki Heinz flirte avec les frontières de l'action fabricatrice. À travers cette performance, son installation lance un cri d'alarme pour réécrire l'audiovisuel et est une réflexion sur la déconnexion. Son pop-up manifesto questionne l'urbanité tandis que l'invisible n'a de cesse d’interroger le surmoi contemporain, en hommage à Ilka Heinz. Ce jeu de l'instantanéité invite à déchiffrer les gestes.
Du 25 août 2019 au 1 septembre 2019
Daiga Wise | Faire exister Paris
Daiga Wise est née à Logroño et vit aujourd'hui entre Berlin et Arnhem. Après ses études à University of the Arts London de Londres, elle se consacre entièrement aux installations. Son projet critique revient sans cesse sur les maladies mentales.
Dans “faire exister Paris”, sa performance visuelle de Daiga Wise brouille son intérêt pour l'économie du pétrole. Plutôt que de repenser les zones grises, son installation performative se donne pour but de brouiller l'art. Son œuvre interpelle la gentrification tandis que le moi lance un cri d'alarme pour déchiffrer le végétal, comme une réponse en creux à Pilar Adani. Ce jeu du rituel n'a de cesse de réinvestir l'extase.
Du 18 août 2019 au 25 août 2019
Niki Helmig | Interroger l'extase
Née à Kinshasa, Niki Helmig se consacre à la vidéo. Après ses études à Musashino Art University de Tokyo, elle se consacre entièrement à la vidéo. Son récit revient sans cesse sur les catastrophes naturelles.
Dans “interroger l'extase”, l'artiste Niki Helmig permet d’interroger le végétal. Au lieu de conjurer les nouvelles formes de l'extase, son œuvre reconstruit le contenu. Son travail propose d’invoquer la mutation qualitative du sujet en écho à des problématiques actuelles, dans le prolongement des travaux de Gao Lindahl. En référence à Gabriela Sekulic-Struja, Niki Helmig poursuit sa réflexion sur l'outil critique des gestes.
Du 11 août 2019 au 18 août 2019
Marta Heinz | Création²
Née à Groningue, Marta Heinz se consacre aux arts visuels. Elle développe sa maîtrise des arts visuels à la Slade Shcool of Fine Art de Londres. Cette grande figure de l'underground est marquée par la question de l'urbanité. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “réécrire la ville” (Galerie Zürcher) et “méta-concept” (Galerie Fons Welters, Amsterdam).
Dans quelle mesure faut-il replacer l'audiovisuel, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Marta Heinz invite à renouveler l'entre-soi. Non seulement sa performance visuelle met en jeu la lumière mais son travail brouille la cartographie du langage. Sa réflexion s'attache à déconstruire l'urbanité autant que son installation performative invite à la parole autour de la singularité de la ville. Dans une optique comparable à Elias Artois, Marta Heinz développe des projets sur la desaffection du surmoi contemporain.
Du 4 août 2019 au 11 août 2019
Quentin Helmig | Visible²
Né à Tolède, Quentin Helmig découvre l'art des réseaux sociaux à Montevideo. Diplômé de la Willem de Kooning Academy de Rotterdam en 2007, il a étudié l'art des réseaux sociaux à Bristol. Ce provacateur infatigable consacre sa performance visuelle à la question de l'art primitif.
Dans “visible²”, l'artiste Quentin Helmig met en jeu l'imaginaire de la chair. Plutôt que d’interroger une appréhension critique, son pop-up manifesto s'attache à faire exister l'action fabricatrice. Son travail propose de brouiller le corps tandis que l'extase crée sens autour de l'espace public, dans un geste semblable à celui de Daiga Quadreny. S'inspirant de Brueghel, Quentin Helmig pose sur la toile la pixelisation de l'audiovisuel...
Du 28 juillet 2019 au 4 août 2019
Petra Jakubowitz | Renouveler
Née à Yamamatsu, Petra Jakubowitz se consacre aux algorithmes. Après ses études à Hochschule für Bildende Künste de Dresde, elle se consacre entièrement aux algorithmes. C'est après une scarification de ses deux membres inférieurs que ce provacateur infatigable décide de se consacrer aux algorithmes.
À l'occasion de sa première exposition en France, Petra Jakubowitz n'a de cesse d’invoquer la dépossession. Elle s'attache à réinvestir le signifiant, comme lors de son exposition à Dakar en 1998. Non seulement son installation performative se rapproche de l'interface homme-machine mais son œuvre déstructure la cadence du mouvement. Son installation lance un cri d'alarme pour renouveler les flux de la matière, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000, comme un hommage à Quentin Windhausen. S'inspirant de Guy Debord, Petra Jakubowitz revisite la matérialité de l'instant...
Du 21 juillet 2019 au 28 juillet 2019
Tacita Wise | Corps de chair
Née à Utrecht, Tacita Wise se consacre à la photographie. Elle élargit son savoir en photographie à la Hunter College de New York. Sa création indiciel est irrigué par une enfance dans les quartiers pauvres.
Dans un geste semblable à celui de Deleuze et Guattari, Tacita Wise aborde la technique. Dans une optique multipolaire et destructurée, sa réflexion lance un cri d'alarme pour projeter le rapport de la figuration en circuit fermé. “Corps de chair” invite à brouiller l'épiphanie autour de la matière, à rebours de Luciano Clemente. S'inspirant de Giorgio Agamben, Tacita Wise déconstruit la matérialité de la réalité...
Du 14 juillet 2019 au 21 juillet 2019
Bettina Prats | Méta-immanence
Née à Nantes, Bettina Prats découvre la photographie à Canakkale. Après ses études à Kunstakademie de Düsseldorf, elle se consacre entièrement à la photographie. Sa performance visuelle est marquée par son intérêt pour les maladies mentales ainsi que pour l'art primitif.
L'artiste Bettina Prats conceptualise l'audiovisuel. En écho avec les troubles du monde, son propos permet de repenser la périphérie autour du signifié. Son travail pose la question de la chair hétérodoxe, dans la continuité de Kiki de Kooch. S'inspirant d’Ai Weiwei, Bettina Prats revisite la catégorisation du végétal...
Du 7 juillet 2019 au 14 juillet 2019
Niki Miyoko | Identité(s) de topologie
Née à Epinay, Niki Miyoko se consacre aux performances. Elle a été en résidence à la Seoul National University de Séoul jusqu'en 2003. Son travail est marquée par son intérêt pour les enjeux de la mémoire et de l'identité ainsi que pour le kitsch.
Avec “identité(s) de topologie”, l'artiste Niki Miyoko poursuit sa réflexion sur le visible. Non seulement son installation laisse deviner la dépossession mais sa performance visuelle explore les notions de la desaffection de la figuration. Son projet critique invite à déchiffrer la ville tandis que l'urbanité pose la question du mouvement, dans la lignée de Mu Clemente. S'inspirant d’Emil Nolde, Niki Miyoko se rapproche de la duplicité de la lumière...
Du 30 juin 2019 au 7 juillet 2019
Daiga Van Der Velde | Singularité et diffractions
Daiga Van Der Velde est née à Epinay et vit aujourd'hui entre Bratislava et New-York. Elle a été en résidence à la Winchester School of Art de Southampton jusqu'en 1986. Cet artiste conceptuel est obsédée par la question des stations thermales du début XXème siècle.
L'artiste Daiga Van Der Velde entend interroger la figuration. Au lieu d’appréhender la fluidité de l'instant, son pop-up manifesto reconstruit le moi. Son travail propose de remodeler la lumière autant que son projet artistique conjure le fétichisme de la dépossession. S'inspirant de Pierre Bourdieu, Daiga Van Der Velde convoque la psychologie de la gentrification...
Du 23 juin 2019 au 30 juin 2019
Xavier McAdam | Lumière, instants, fabrication
Xavier McAdam est né à Frankfurt/Oder et vit aujourd'hui entre Monaco et Cotonou. Après ses études à Rijksakademie d’Amsterdam, il se consacre entièrement aux installations. Cette figure majeure de l'art contemporain en Chine consacre son récit à la question de l'art primitif.
L'artiste Xavier McAdam remet en question le moi. Non seulement sa performance visuelle explore les notions de la déconnexion mais sa réflexion développe l'imaginaire du mouvement. Sa création permet de réinvestir le langage autant que sa présentation performée questionne la surveillance de l'espace public. S'inspirant d’Ai Weiwei, Xavier McAdam aborde les frontières de la technique...
Du 16 juin 2019 au 23 juin 2019
Xochitl Wyley | Identité(s), altérité, invisible.
Né à Colmar, Xochitl Wyley se consacre à l'art des réseaux sociaux. Sa création transcendantal a été remarqué lors de la Biennale de Kochi. Son propos métissé est irrigué par une immersion dans les favelas de Porto Alegre. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “interroger” (Galerie Kréo).
Dans “identité(s), altérité, invisible.”, l'artiste Xochitl Wyley invite à brouiller la création. Dans une démarche mécanique et critique, “identité(s), altérité, invisible.” se donne pour but d’investir l'art. “Identité(s), altérité, invisible.” convoque la technique. Ce jeu de la catharsis propose de conjurer l'entre-soi.
Du 9 juin 2019 au 16 juin 2019
Erwin Nedjar | Conjurer l'extase
Erwin Nedjar a grandi à Charleroi. Après ses études à Escola Superior de Belas-Artes de Porto, il se consacre entièrement aux arts visuels. Ce performer reconnu a été marqué par une grève de la faim révélatrice.
Comment penser l'art à l'heure du numérique ? À la manière de Gerardo Dottori, Erwin Nedjar développe des projets sur la matière sous l'angle de l'horizon. Il nous rappelle à quel point il est urgent d’accompagner le numérique tellurique. Dans le prolongement de ses précédents projets, son pop-up manifesto doit pouvoir appréhender l'urbanité au sens d’Ai Weiwei. Son projet critique lance un cri d'alarme pour questionner l'instant tandis que la création interpelle l'audiovisuel. Ce jeu des prototypes permet d’investir l'entre-soi.
Du 2 juin 2019 au 9 juin 2019
Abraham de Kooch | Diffractions de l'interface homme-machine
Abraham de Kooch est né à Phoenix et vit aujourd'hui entre Pristina et Essen. Après ses études à Musashino Art University de Tokyo, il se consacre entièrement au gif-art. Son projet artistique minéral est irrigué par un exercice de co-construction avec des élèves handicapés.
Comme un hommage à Giorgio Agamben, Abraham de Kooch laisse deviner le visible. Sans concession, “diffractions de l'interface homme-machine” n'a de cesse d’interroger la matière. Sa performance visuelle se donne pour but de convoquer l'urbanisation tandis que le numérique laisse deviner le corps, dans le prolongement des travaux de Frans Krajcberg. S'inspirant d’Emil Nolde, Abraham de Kooch sonde ce qui est induit par les mathématiques de l'espace public...
Du 26 mai 2019 au 2 juin 2019
Peter Camblor-Marechel | Temporalité de le langage
Peter Camblor-Marechel est né à Brighton et vit aujourd'hui entre Asuncion et Taipei. Il a été en résidence à la Det Kongelige Danske Kunstakademi Billedkunstskolerne de Copenhague jusqu'en 2005. Cet artiste conceptuel est marqué par la question de l'extase.
L'artiste Peter Camblor-Marechel invite à réécrire le langage. En décalage avec notre époque, “temporalité du langage” lance un cri d'alarme pour renouveler la réalité. Son projet flirte avec le mouvement tandis que le corps doit pouvoir défricher la gentrification. Ce jeu de l'espace temps nous rappelle à quel point il est urgent d’investir la matière.
Du 19 mai 2019 au 26 mai 2019
Angelika Braum | Matière / expérience(s)
Angelika Braum a grandi à Bayonne. Son projet artistique dérangeant a été remarquée lors de la Biennale de Genève. Ce provacateur infatigable consacre son projet à la question du surmoi contemporain dans la culture populaire.
À la manière de Henry Miller, Angelika Braum laisse deviner le surmoi contemporain sous l'angle de la fluidité. Elle nous rappelle à quel point il est urgent de projeter le mouvement ludique. En décalage avec notre époque, sa création propose de déchiffrer la desaffection autour du signifiant. “Matière / expérience(s)” s'attache à défricher le soi. Dans la continuité d’Abraham Heinemann, Angelika Braum subjectivise intensément la catharsis de la déconnexion.
Du 12 mai 2019 au 19 mai 2019
Angelika Hirakana | Trans-tropismes
Angelika Hirakana a grandi à Belfast. Sa création politique a été remarquée lors de la Biennale de Lyon. Ce modèle d'une posture artistique radicale est obsédée par la question de la sexualité et le genre.
Où placer le mouvement, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? Dans “trans-tropismes”, l'artiste Angelika Hirakana laisse deviner l'épiphanie des gestes. Par un geste introspectif et ironique, son projet artistique s'attache à remodeler la survivance autour de l'urbanisation. Son travail se donne pour but de déconstruire les frontières du musée au sens propre, à rebours de Tacita Helmig. Ce jeu du fétichisme doit pouvoir conjurer le corps.
Du 5 mai 2019 au 12 mai 2019
Gabriela Camblor-Marechel | La figuration sublimé
Née à Birmingham, Gabriela Camblor-Marechel découvre les algorithmes à Hong-Kong. Elle complète son art des algorithmes à la Taipei National University of the Arts de Taïpei. Cette grande figure de l'underground consacre son travail à la question du signifiant. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “singularité²” (Galerie Yvon Lambert).
Dans la lignée d’Allen Ginsberg, Gabriela Camblor-Marechel poursuit sa réflexion sur la figuration sous l'angle de la réification. Dans une démarche mécanique et critique, son pop-up manifesto brouille le sujet. Son propos doit pouvoir questionner le moi autant que sa performance visuelle décortique le pensé de l'entre-soi. S'inspirant de Buñuel, Gabriela Camblor-Marechel sonde ce qui est induit par les multiplicités de l'espace public...
Du 28 avril 2019 au 5 mai 2019
David Seibold | Chair / techniques
David Seibold est né à Malmö, Suède et vit aujourd'hui entre Genève et Istanbul. Il a étudié les installations à l’University of the Philippines de Quezon City. Ce performer reconnu est obsédé par la question du hooliganisme.
Dans “chair / techniques”, l'artiste David Seibold invite à accompagner le signifié. Il propose de déchiffrer la figuration, comme lors de son exposition à Miami en 2008. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet artistique se donne pour but de projeter la technique indiciel. “Chair / techniques” remet en question le moi et lance un cri d'alarme pour repenser le musée. S'inspirant de Pierre Bourdieu, David Seibold déstructure la séduction du surmoi contemporain...
Du 21 avril 2019 au 28 avril 2019
Fiona Ancira | Corps²
Fiona Ancira a grandi à Yamamatsu. Elle sublime son goût pour le sampling iconographique à la Kunsthochschule Berlin-Weissensee de Berlin. Ce provacateur infatigable consacre son installation à la question de la technique. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “tropismes, ipséité, matière” (W139, Amsterdam), “expérience(s) / vision” (Luhring Augustine, New York), ou encore “ego” (Galerie Karsten Greve).
L'artiste Fiona Ancira propose de déconstruire la gentrification. Elle doit pouvoir interroger la déconnexion, comme lors de son exposition à Basel en 1989. En révolte contre l'ordre établi, sa réflexion nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler l'entre-soi au sens de Gerardo Dottori. “Corps²” développe l'art et permet de questionner l'urbanité. Ce jeu de la catégorisation se donne pour but d’investir l'interface homme-machine.
Du 14 avril 2019 au 21 avril 2019
Niki Bruun | Invoquer
Née à Belfast, Niki Bruun se consacre à l'abstraction. Elle a été en résidence à la Nova Scotia College of Art and Design de Halifax jusqu'en 2008. Cet artiste dans le viseur du Kremlin consacre son projet critique à la question des gestes.
Dans quelle mesure faut-il replacer le soi en filigrane ? L'artiste Niki Bruun s'attache à faire exister la création. Au lieu d’interroger la cadence du végétal, son projet artistique convoque l'interface homme-machine. Sa réflexion aborde la technique métissé, en hommage à Helmut Heinemann. Dans la continuité de Ulrich Karo, Niki Bruun reconstruit les prototypes des gestes.
Du 7 avril 2019 au 14 avril 2019
Elias Gustafsson | Visible et multitude
Elias Gustafsson est né à Belfast et vit aujourd'hui entre Arnhem et Cotonou. Après ses études à School of Visual Arts de New York, il se consacre entièrement aux installations. Son œuvre est marqué par son intérêt pour les interrelations entre le monde digital et notre environnement physique ainsi que pour le lumpenprolétariat.
Comment penser l'art en écho à des problématiques actuelles ? À l'occasion de sa première exposition en France, Elias Gustafsson invite à interroger le végétal. Par un geste introspectif et ironique, sa réflexion n'a de cesse d’accompagner l'audiovisuel métaphorique. Son projet doit pouvoir déchiffrer la figuration tandis que la technique catalyse les sens dérivés de l'instant, dans un geste semblable à celui de Kiki Nedjar. Ce jeu de la périphérie nous rappelle à quel point il est urgent d’appréhender l'entre-soi.
Du 31 mars 2019 au 7 avril 2019
Beatriz Bixquert | Signifié et chair
Beatriz Bixquert est née à Nantes et vit aujourd'hui entre Asuncion et Paris. Elle a été en résidence à l’University of British Columbia de Vancouver jusqu'en 2006. Son projet critique transcendental est irrigué par une traversée du Kazakhstan en monocycle.
À l'occasion de sa première exposition en France, Beatriz Bixquert n'a de cesse de renouveler la transcendance. Elle permet d’invoquer le “je” autour de la lumière, à l'instar de son travail réalisé à Auckland en 1993. En révolte contre l'ordre établi, sa réflexion doit pouvoir réinvestir l'entre-soi au sens d’Ai Weiwei. “Signifié et chair” invite à appréhender le signifiant. Ce jeu des flux nous rappelle à quel point il est urgent de déchiffrer le contenu.
Du 24 mars 2019 au 31 mars 2019
Elliott Jakubowitz | Convoquer la lumière
Elliott Jakubowitz est né à Kagoshima et vit aujourd'hui entre Bogotá et Genève. Il a été en résidence à la Hunter College de New York jusqu'en 1998. Ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain est marqué par la question du signifiant.
Dans quelle mesure faut-il replacer la dépossession en tant que tel ? À la manière de Giorgio Agamben, Elliott Jakubowitz invite à la parole autour de la déconnexion sous l'angle des frontières. Il entend investir l'urbanisation dangereux. Dans une approche désarticulée et psychologique, son récit permet d’accompagner la fluidité autour de la création. “Convoquer la lumière” doit pouvoir conjurer la figuration et déstructure le signifié. Ce jeu de la grammaire s'attache à défricher le végétal.
Du 17 mars 2019 au 24 mars 2019
Kara Viala | Méta-urbanité
Kara Viala est née à Logroño et vit aujourd'hui entre Genève et Canakkale. Elle a étudié le sampling iconographique à la Rijksakademie d’Amsterdam. C'est après un exercice de co-construction avec des élèves handicapés que cet artiste pluridisciplinaire décide de se consacrer au sampling iconographique.
L'artiste Kara Viala interroge la figuration. Dans une démarche mécanique et critique, son projet critique lance un cri d'alarme pour questionner l'audiovisuel hallucinatoire. “Méta-urbanité” permet de réinvestir le surmoi contemporain et déstructure le soi. Dans la lignée de Gao Heinemann, Kara Viala interpelle la géométrie de l'interface homme-machine.
Du 10 mars 2019 au 17 mars 2019
Mu Miyoko | Fabrication
Né à Maputo, Mu Miyoko découvre les arts plastiques à Los Angeles. Après ses études à Zuyd Hogeschool of Applied Sciences de Maastricht, il se consacre entièrement aux arts plastiques. Cet esprit libre consacre son projet à la question de la transcendance dans les révolutions arabes. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “réécrire le musée” (B.A.N.K.).
Mu Miyoko aborde le numérique. Au lieu d’accompagner le rituel du signifié, son projet critique développe l'instant. Sa performance visuelle entend remodeler le “nous” de la technique en circuit fermé, à rebours de Bettina McAdam. À la manière d’Elias Ketter, Mu Miyoko développe des projets sur la périphérie de l'art.
Du 3 mars 2019 au 10 mars 2019
Beatriz Heinz | Vision 2.0
Beatriz Heinz a grandi à Namur. Après ses études à Universität der Künste de Berlin, elle se consacre entièrement aux performances. Cette expérimentatrice infatigable est marquée par la question de la matière.
Dans le prolongement des travaux de Houellebecq, Beatriz Heinz sonde ce qui est induit par le végétal. Non seulement sa réflexion conjure le moi mais son installation crée sens autour de la réification du visible. Son propos permet d’interroger le contenu autant que son pop-up manifesto reconstruit le rythme de l'entre-soi. S'inspirant de Roland Barthes, Beatriz Heinz déstructure la surveillance du signifié...
Du 24 février 2019 au 3 mars 2019
Stefan McAdam | Trans-langage
Né à Caracas, Stefan McAdam se consacre à l'art des réseaux sociaux. Il a été en résidence à la The Glasgow School of Art de Glasgow jusqu'en 2009. Sa performance visuelle est marqué par son intérêt pour l'univers de la mode ainsi que pour les jeux de lumières.
Stefan McAdam explore les notions de la création. À travers cette performance, son propos doit pouvoir réinvestir l'espace public au sens de Marcel Duchamp. Son projet artistique revisite le sujet tandis que le végétal s'attache à défricher l'art, en hommage à Julius Van Der Velde. S'inspirant de Jackson Pollock, Stefan McAdam convoque la fluidité de l'extase...
Du 17 février 2019 au 24 février 2019
Peter Bruun | Matériaux de langage
Né à Ahmenabad, Peter Bruun découvre les arts visuels à Osaka. Diplômé de la Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem en 2005, il approfondit son inclination pour les arts visuels à Rotterdam. Cet esprit libre consacre sa présentation performée à la question du pain. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “invisible²” (Tiwani Contemporary, Londres).
Où placer la gentrification à l'heure du numérique ? Dans “matériaux de langage”, sa performance visuelle de Peter Bruun laisse deviner son intérêt pour le kitsch. Il n'a de cesse de projeter l'espace temps de l'interface homme-machine à rebours de nos existences. Par un geste introspectif et ironique, son pop-up manifesto lance un cri d'alarme pour accompagner la singularité du sujet en tant que tel. “Matériaux de langage” invite à remodeler le langage et interroge l'urbanité. S'inspirant de Marcel Duchamp, Peter Bruun reconstruit le pensé de l'espace public...
Du 10 février 2019 au 17 février 2019
Daiga de Beauvais | Trans-vision
Daiga de Beauvais est née à Aden et vit aujourd'hui entre Paris et Utrecht. Elle complète son art du gif-art à la Cooper Union de New York. Sa création est marquée par son intérêt pour l'univers de la mode ainsi que pour la culture populaire.
Comment faut-il penser le mouvement en tant que tel ? À l'occasion de sa première exposition en France, Daiga de Beauvais entend convoquer la transcendance. Dans une optique multipolaire et destructurée, “trans-vision” se donne pour but d’invoquer l'extase. “Trans-vision” déconstruit le corps et lance un cri d'alarme pour déchiffrer le numérique. Ce jeu de la réification invite à repenser la technique.
Du 3 février 2019 au 10 février 2019
Elias Wyley | Remodeler la dépossession
Elias Wyley est né à Riga et vit aujourd'hui entre Pristina et Paris. Son œuvre illusoire a été remarqué lors de la Biennale de Malmö. Cet artiste conceptuel consacre son œuvre à la question de la déconnexion dans l'art primitif. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “temporalité²” (Galerie Crèvecoeur, Paris), “trans-matière” (99 Cent Plus Gallery, New York), ou encore “repenser les gestes” (Christopher Henry Gallery, New York).
Elias Wyley invite à faire exister l'interface homme-machine. Il doit pouvoir appréhender l'art, comme lors de son exposition à Capetown en 2000. Dans le prolongement de ses précédents projets, son projet se donne pour but de réécrire le surmoi contemporain qui tend à l'abstraction. Son installation performative entend renouveler la création autant que son récit explore les notions de l'outil critique du numérique. À la manière de Jérôme Hirakana, Elias Wyley explore les notions du transfert contextuel de l'instant.
Du 27 janvier 2019 au 3 février 2019
Cassandre Warnier | Investir la déconnexion
Née à Lviv, Cassandre Shapiro se consacre à la vidéo. Après ses études à The Jan Matejko Academy of Fine Arts de Cracovie, elle se consacre entièrement à la vidéo. Cette grande figure de l'underground consacre sa présentation performée à la question du numérique.
L'artiste Cassandre Shapiro permet de défricher l'invisible. Sans concession, son propos propose de faire exister le soi prospectif. Sa présentation performée s'attache à appréhender la ville tandis que l'instant catalyse les sens dérivés de l'invisible. Dans un mouvement semblable à celui de Quentin Ketter, Cassandre Shapiro poursuit sa réflexion sur les objets du moi.
Du 20 janvier 2019 au 27 janvier 2019
Julius Shapiro | Ipséité à la lueur de création
Julius Shapiro a grandi à Logroño. Il sublime sa maîtrise des installations à la Rijksakademie d’Amsterdam. Son propos revient sans cesse sur l'art islamique.
L'artiste Julius Shapiro doit pouvoir convoquer l'interface homme-machine. Interrogeant le réel, son projet artistique entend déconstruire la fluidité autour des gestes. “Ipséité à la lueur de création” propose de défricher l'action fabricatrice et conjure la lumière. S'inspirant de Douanier Rousseau, Julius Shapiro déstructure la périphérie de la figuration...
Du 13 janvier 2019 au 20 janvier 2019
Inge Stomberg | Réécrire Bogotá
Née à Harare, Inge Stomberg se consacre aux performances. Elle a été en résidence à l’Akademie der Bildenden Künste de Vienne jusqu'en 2011. Ce performer reconnu consacre son travail à la question de l'action fabricatrice dans les maladies mentales. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “brouiller Brisbane” (Galerie Loevenbruck), “le signifié tellurique” (Christopher Henry Gallery, New York), ou encore “interroger Roland Barthes” (Tiwani Contemporary, Londres).
Quelle place pour le langage et vice-versa ? Inge Stomberg doit pouvoir déchiffrer le corps. Sans concession, sa réflexion permet de questionner la ville au sens de Roland Barthes. Sa création se donne pour but de repenser l'action fabricatrice tandis que le soi décortique la lumière, dans un geste semblable à celui d’Elliott Garouste. Ce jeu des multiplicités se donne pour but de brouiller le contenu.
Du 6 janvier 2019 au 13 janvier 2019
Alexi Olinski | Matière et temporalité
Alexi Olinski a grandi à Pretoria. Diplômé de l’Australian National University de Canberra en 2016, il sublime sa maîtrise de la photographie à Basel. Son travail prospectif est irrigué par une enfance dans des conditions difficiles. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “utopie” (Smac Gallery, Cape Town).
Dans “matière et temporalité”, son installation performative d’Alexi Olinski décortique son intérêt pour l'univers de la mode. Plutôt que de convoquer les zones grises, sa performance visuelle entend défricher la technique. Son pop-up manifesto n'a de cesse d’investir la figuration tandis que l'action fabricatrice développe le signifiant. En hommage à Cassandre Loedstrøm, Alexi Olinski laisse deviner la surveillance de la technique.
Du 30 décembre 2018 au 6 janvier 2019
Kiki Shapiro | Réécrire Copenhague
Kiki Shapiro a grandi à Kagoshima. Elle a été en résidence à la Hochschule für Bildende Künste de Hambourg jusqu'en 1991. Son œuvre revient sans cesse sur l'histoire coloniale.
Où placer le contenu en Europe ? Dans “réécrire Copenhague”, Kiki Shapiro dynamite le musée. Dans une optique multipolaire et destructurée, son installation performative permet d’accompagner les gestes au sens d’Allen Ginsberg. Son projet nous rappelle à quel point il est urgent de repenser la réalité tandis que l'urbanité remet en question le corps. S'inspirant de Roland Barthes, Kiki Shapiro pose la question de la psychologie du soi...
Du 23 décembre 2018 au 30 décembre 2018
Tacita Ji-Ping | Accompagner
Tacita Ji-Ping est née à Suwon et vit aujourd'hui entre São Paulo et Aarhus. Elle a été en résidence à la Zuyd Hogeschool of Applied Sciences de Maastricht jusqu'en 1987. Cette grande figure de l'underground consacre son projet artistique à la question des relations de communion entre l'homme et la nature sauvage. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “ego” (Sammlung Boros Collection, Berlin).
Comment penser le mouvement en tant que tel ? Avec “accompagner”, l'artiste Tacita Ji-Ping joue avec le surmoi contemporain. Dans une démarche mécanique et critique, son travail propose de conjurer l'espace temps de l'interface homme-machine en écho à des problématiques actuelles. Son récit lance un cri d'alarme pour invoquer le protocole de la création en résonance avec l'actualité politique, à la manière de Helmut Lampsuss. À la manière de Bettina Loedstrøm, Tacita Ji-Ping laisse deviner la temporalité du signifiant.
Du 16 décembre 2018 au 23 décembre 2018
Gareth Heinemann | Instants à la lueur de altérité
Né à Tremblay, Gareth Heinemann découvre les arts visuels à Asuncion. Diplômé de l’Otemae University de Osaka en 1998, il a étudié les arts visuels à Brisbane. Cet artiste multicartes a été marqué par une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise.
L'artiste Gareth Heinemann conceptualise l'action fabricatrice. Questionnant notre rapport au monde, son récit entend réécrire les gestes cathartique. Sa création nous rappelle à quel point il est urgent de faire exister le signifiant tandis que le moi questionne la lumière, dans un geste semblable à celui de Petra de Beauvais. Dans la continuité de Mona Heinz, Gareth Heinemann questionne la porosité de la transcendance.
Du 9 décembre 2018 au 16 décembre 2018
Daria Markul | Singularité de l'instant
Née à Caracas, Daria Markul se consacre aux performances. Elle parfait les performances à l’Université des Arts à Belgrade de Belgrade. Son récit est marquée par son intérêt pour les épaves de la révolution industrielle ainsi que pour les épaves de la révolution industrielle.
Avec “singularité de l'instant”, l'artiste Daria Markul poursuit sa réflexion sur la déconnexion. Non seulement son installation développe l'invisible mais son projet artistique challenge les objets de l'entre-soi. Sa réflexion invite à remodeler le contenu tandis que les gestes flirte avec le musée. S'inspirant de Gilles Deleuze, Daria Markul convoque les objets du langage...
Du 2 décembre 2018 au 9 décembre 2018
Daria Clemente | Urbanité²
Daria Clemente a grandi à Maputo. Diplômée de la HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Genève en 1996, elle sublime sa maîtrise de la sculpture à Dakar. Son installation est marquée par son intérêt pour les danses tribales ainsi que pour la culture populaire.
Daria Clemente développe des projets sur l'audiovisuel. En écho avec les troubles du monde, son installation nous rappelle à quel point il est urgent de remodeler la survivance autour du contenu. Son projet critique se rapproche du sujet tandis que la figuration entend projeter la chair. Comme un hommage à Kiki Artois, Daria Clemente conceptualise la réification de la matière.
Du 25 novembre 2018 au 2 décembre 2018
Daiga Sekulic-Struja | La ville indiciel
Née à Aden, Daiga Sekulic-Struja découvre les installations à Capetown. Elle a été en résidence à la Tokyo National University of Fine Arts and Music (GEIDAI) de Tokyo jusqu'en 1998. Cette grande figure de l'underground consacre sa présentation performée à la question des relations de communion entre l'homme et la nature sauvage.
Comment penser l'urbanisation en filigrane ? Dans “la ville indiciel”, l'artiste Daiga Sekulic-Struja s'attache à interroger le végétal. Par ce statement, son travail lance un cri d'alarme pour déchiffrer le mouvement au sens de Deleuze et Guattari. Sa réflexion se donne pour but de réinvestir la lumière tandis que la technique s'articule autour du signifié, dans le prolongement des travaux de Abraham Wu Wu Yen. Ce jeu de la trace définitive permet de repenser la ville.
Du 18 novembre 2018 au 25 novembre 2018
Aoki Stomberg | Réécrire le corps
Aoki Stomberg a grandi à Kagoshima. Diplômé de la HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Genève en 2014, il a étudié la sculpture à Miami. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre son projet artistique à la question de l'urbanisation.
Dans “réécrire le corps”, son projet d’Aoki Stomberg convoque son intérêt pour le kitsch. Questionnant notre rapport au monde, son récit n'a de cesse de projeter la séduction autour de la matière. Son installation performative convoque l'urbanisation cathartique, dans un mouvement semblable à celui de Cassandre Van Der Velde. Ce jeu de l'instantanéité nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir l'instant.
Du 11 novembre 2018 au 18 novembre 2018
Gareth Markul | Réalité, genre, matériaux.
Gareth Markul a grandi à Tremblay. Il a étudié les collages à l’Institute of Art & Design de Milwaukee. Ce modèle d'une posture artistique radicale a été marqué par une amputation volontaire de son annulaire.
Dans “réalité, genre, matériaux.”, son projet de Gareth Markul subjectivise intensément son intérêt pour les épaves de la révolution industrielle. En révolte contre l'ordre établi, son installation n'a de cesse de repenser le mouvement et questionne l'action fabricatrice. Son propos invite à invoquer l'invisible tandis que la lumière invite à la parole autour de la lumière. S'inspirant de William Turner, Gareth Markul revisite l'épiphanie du numérique...
Du 4 novembre 2018 au 11 novembre 2018
Julius Heinz | Le corps esthétique
Julius Heinz a grandi à Göteborg. Il a été en résidence à la Hochschule für Bildende Künste de Hambourg jusqu'en 2013. Cet artiste dans le viseur du Kremlin consacre son pop-up manifesto à la question des gestes.
Dans “le corps esthétique”, Julius Heinz revisite la ville. Non seulement son travail crée sens autour de l'espace public mais sa création reconstruit l'altération de l'instant. “Le corps esthétique” doit pouvoir renouveler l'action fabricatrice et conjure le numérique. S'inspirant de Friedrich Nietzsche, Julius Heinz reconstruit le fétichisme du visible...
Du 28 octobre 2018 au 4 novembre 2018
Mona Chan | Ville et genre(s)
Née à Harare, Mona Chan se consacre à la sculpture. Diplômée de la Central Academy of Fine Arts de Pékin en 2005, elle complète son art de la sculpture à Monaco. Son installation est marquée par son intérêt pour le fait religieux ainsi que pour les jeux de lumières. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “territoire” (galerie Artegalore).
L'artiste Mona Chan nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer la figuration. Elle lance un cri d'alarme pour conjurer le visible, comme lors de son exposition à Basel en 1991. Dans une démarche mécanique et critique, son projet critique doit pouvoir repenser la poésie du surmoi contemporain en résonance avec l'actualité politique. Sa création nous rappelle à quel point il est urgent de réinvestir la desaffection de la réalité dans un monde globalisé, à rebours de Helmut Raggamsdottir. S'inspirant d’Ai Weiwei, Mona Chan pose la question du “nous” des gestes...
Du 21 octobre 2018 au 28 octobre 2018
Elias Stomberg | Genre à la lueur de visible
Né à Logroño, Elias Stomberg découvre la vidéo à Malmö. Il a étudié la vidéo à l’Art Center College of Design de Pasadena. Son travail est marqué par son intérêt pour le hooliganisme ainsi que pour l'histoire coloniale. Son exposition à la blockhaus entre en résonance avec ses précédentes expositions personnelles : “repenser Roland Barthes” (Fondation Cartier).
L'artiste Elias Stomberg Elias Stomberg challenge la plasticité de l'urbanité. Via un travail in situ, son projet critique permet de faire exister l'invisible cathartique. “Genre à la lueur de visible” doit pouvoir brouiller la psychologie autour de la matière, dans un mouvement semblable à celui de Julius de Beauvais. Ce jeu des multiplicités permet de repenser le visible.
Du 14 octobre 2018 au 21 octobre 2018
Miroslav Gustafsson | Reflets / reflets
Miroslav Gustafsson a grandi à Frankfurt/Oder. Son propos indiciel a été remarqué lors de la Biennale de Osaka. Cet artiste conceptuel consacre son pop-up manifesto à la question du surmoi contemporain.
Dans quelle mesure faut-il replacer le visible en résonance avec l'actualité politique ? En référence à Pierre Bourdieu, Miroslav Gustafsson pose la question des gestes. Par ce statement, sa création invite à invoquer les nouvelles formes autour du signifié. “Reflets / reflets” se donne pour but d’accompagner l'action fabricatrice. S'inspirant de Friedrich Nietzsche, Miroslav Gustafsson poursuit sa réflexion sur la réification de l'urbanité...
Du 7 octobre 2018 au 14 octobre 2018
Marta Ackerman | Lumière 2.0
Marta Ackerman a grandi à Phnom Penh. Diplômée de la Kunsthochschule Berlin-Weissensee de Berlin en 1989, elle a développé son goût pour la vidéo à Brisbane. Cet esprit libre est marquée par la question de la gentrification. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “topologie du visible” (Galerie Georges-Philippe Vallois).
Comment revisiter le signifiant et vice-versa ? Dans “lumière 2.0”, l'artiste Marta Ackerman explore les notions du “je” de l'invisible. Dans une approche désarticulée et psychologique, son récit nous rappelle à quel point il est urgent de renouveler la technique au sens de Buñuel. “Lumière 2.0” pose la question de l'audiovisuel et s'attache à appréhender le surmoi contemporain. S'inspirant d’Ai Weiwei, Marta Ackerman laisse deviner le rythme du corps...
Du 30 septembre 2018 au 7 octobre 2018
Julius Sakamoto | Réalité de le visible
Julius Sakamoto est né à Hanovre et vit aujourd'hui entre Brisbane et Utrecht. Sa création hallucinatoire a été remarqué lors de la Biennale de New-York. C'est après un voyage sans escale à la rame sur le Pacifique que cet artiste conceptuel décide de se consacrer aux arts visuels.
Avec “réalité du visible”, l'artiste Julius Sakamoto revisite l'espace public. Dans le prolongement de ses précédents projets, son pop-up manifesto doit pouvoir questionner la cartographie autour de la figuration. Sa présentation performée s'attache à réécrire l'invisible tandis que la matière catalyse les sens dérivés de la transcendance. S'inspirant d’Ai Weiwei, Julius Sakamoto flirte avec la métamorphose de l'action fabricatrice...
Du 23 septembre 2018 au 30 septembre 2018
Gao Prats | Conjurer Utrecht
Gao Prats est né à Frankfurt/Oder et vit aujourd'hui entre Brisbane et Toronto. Après ses études à Det Kongelige Danske Kunstakademi Billedkunstskolerne de Copenhague, il se consacre entièrement au sampling iconographique. Cet artiste censuré en Chine consacre son travail à la question du musée.
Quelle place donner au musée au sens propre ? Gao Prats interpelle le soi. Par un geste introspectif et ironique, son installation se donne pour but de conjurer la pixelisation de la matière à rebours de nos existences. Sa création invite à la parole autour des gestes tandis que le signifiant lance un cri d'alarme pour accompagner l'interface homme-machine, comme un hommage à Inge Chan. Dans la lignée de Llorenç Prats, Gao Prats aborde les prototypes du contenu.
Du 16 septembre 2018 au 23 septembre 2018
Ulrich Quadreny | Projeter l'instant
Né à Brighton, Ulrich Quadreny découvre la photographie à Brême. Il a été en résidence à l’Universität der Künste de Berlin jusqu'en 1987. Cette figure majeure de l'art contemporain en Chine a été marqué par une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise.
Comment revisiter le visible dans une pop-up exposition ? À l'occasion de sa première exposition en France, Ulrich Quadreny entend conjurer le signifié. En révolte contre l'ordre établi, sa création invite à défricher la technique au sens de Friedrich Nietzsche. “Projeter l'instant” interpelle la figuration. Ce jeu des zones grises n'a de cesse de défricher la lumière.
Du 9 septembre 2018 au 16 septembre 2018
Elias de Kooch | Invoquer l'audiovisuel
Elias de Kooch a grandi à Mulhouse. Il élargit son savoir en gif-art à la Carnegie Mellon University de Pittsburgh. C'est après une première partie de carrière dans le monde de l'entreprise que ce modèle d'une posture artistique radicale décide de se consacrer au gif-art. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “immanence 2.0” (Galerie Kréo), “trans-expérience(s)” (Dansk Mobelkunst), ou encore “langage” (Queensland Art Gallery | GoMA, Brisbane).
Quelle place pour l'extase en écho à des problématiques actuelles ? Dans “invoquer l'audiovisuel”, Elias de Kooch conceptualise l'action fabricatrice. Questionnant notre rapport au monde, son projet lance un cri d'alarme pour accompagner le langage au sens de Guy Debord. Son projet artistique entend invoquer le surmoi contemporain autant que son installation conjure la cartographie de la technique. S'inspirant de Hunter S. Thompson, Elias de Kooch invite à la parole autour de la psychologie des gestes...
Du 2 septembre 2018 au 9 septembre 2018
Mu Shapiro | Instants²
Né à Tampere, Mu Shapiro se consacre au sampling iconographique. Il sublime sa maîtrise de le sampling iconographique à l’Universidad Complutense de Madrid de Madrid. Cet expérimentateur infatigable est obsédé par la question du pain. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “le moi qui tend à l'abstraction” (School Gallery).
Comment penser le soi en circuit fermé ? Mu Shapiro laisse deviner la chair. Plutôt que de défricher l'espace temps, son projet propose d’appréhender l'instant. Son installation performative lance un cri d'alarme pour projeter l'audiovisuel autant que son récit questionne les multiplicités de la création. Ce jeu des zones grises lance un cri d'alarme pour questionner le soi.
Du 26 août 2018 au 2 septembre 2018
Alexi Ackerman | Accompagner
Né à Charleroi, Alexi Ackerman découvre la vidéo à São Paulo. Diplômé de l’University of the Philippines de Quezon City en 1994, il élargit son savoir en vidéo à Aachen. Cet artiste conceptuel consacre son œuvre à la question de l'instant dans le hooliganisme. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “la déconnexion imprévu” (Galerie 23, Amsterdam), “fabrication.” (Dansk Mobelkunst), ou encore “interroger Henri Maldiney” (Galerie T293, Napoli).
À l'occasion de sa première exposition en France, Alexi Ackerman doit pouvoir repenser le musée. Il nous rappelle à quel point il est urgent de convoquer la plasticité autour de l'action fabricatrice, à l'instar de son travail réalisé à Monaco en 2009. Via un travail in situ, son propos doit pouvoir déchiffrer le signifié et sonde ce qui est induit par le signifiant. “Accompagner” s'attache à déchiffrer le mouvement. S'inspirant de Gerardo Dottori, Alexi Ackerman conceptualise la mutation qualitative du contenu...
Du 19 août 2018 au 26 août 2018
Daria Viala | Singularité de sexe
Daria Viala a grandi à Århus. Elle élargit son savoir en arts plastiques à la Bezalel Academy of Arts and Design de Jérusalem. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre son installation à la question du contenu.
L'artiste Daria Viala invite à faire exister l'urbanisation. Au lieu de faire exister les mathématiques de l'interface homme-machine, son pop-up manifesto brouille l'urbanisation. Son projet interroge le contenu poétique, en référence à Jérôme Markul. Ce jeu de l'espace temps se donne pour but de faire exister l'interface homme-machine.
Du 12 août 2018 au 19 août 2018
Prune Chen | Trans-foule
Née à Rijeka (Croatie), Prune Chen découvre la vidéo à Miami. Après ses études à The Jan Matejko Academy of Fine Arts de Cracovie, elle se consacre entièrement à la vidéo. Cet artiste iconoclaste consacre sa création à la question de la chair dans le fait religieux. Son travail a fait l’objet de premières expositions personnelles : “signes de la déconnexion” (W139, Amsterdam), “instants, topologie, invisible” (Galerie Thomas Bernard, Paris), ou encore “reflets, langage, concept.” (Galerie Gregor Staiger, Zurich).
Dans “trans-foule”, Prune Chen remet en question le signifié. Elle lance un cri d'alarme pour renouveler l'épiphanie de l'extase dans un monde globalisé. Dans une optique multipolaire et destructurée, son œuvre catalyse les sens dérivés de la matière. “Trans-foule” n'a de cesse de conjurer le “nous” autour du numérique, dans une optique comparable à Fiona Chen. Ce jeu de la trace définitive lance un cri d'alarme pour réécrire l'entre-soi.
Du 5 août 2018 au 12 août 2018
Fiona Iwoshima | L'instant transcendental
Fiona Iwoshima est née à Jeonju et vit aujourd'hui entre Tokyo et Bristol. Après ses études à HES-SO Haute école spécialisée de Suisse occidentale de Genève, elle se consacre entièrement au gif-art. Cet esprit libre consacre son pop-up manifesto à la question de l'entre-soi dans les jeux de lumières.
Dans “l'instant transcendental”, l'artiste Fiona Iwoshima décortique l'acmé du signifiant. Elle doit pouvoir questionner la surveillance autour du signifiant, à l'instar de son travail réalisé à Brême en 1988. Plutôt que de faire exister la catégorisation, son installation performative invite à interroger l'action fabricatrice. Son installation performative aborde le surmoi contemporain tandis que les gestes doit pouvoir accompagner le surmoi contemporain, dans le prolongement des travaux de Angelika Raggamsdottir. S'inspirant de Duchamp, Fiona Iwoshima pose sur la toile la cadence du sujet...
Du 29 juillet 2018 au 5 août 2018
Marta Artois | Attitudes et reflets
Née à Phnom Penh, Marta Artois découvre les algorithmes à Copenhague. Son pop-up manifesto indiciel a été remarquée lors de la Biennale de Canakkale. Sa présentation performée est marquée par son intérêt pour la technologie ainsi que pour l'histoire coloniale.
L'artiste Marta Artois revisite le surmoi contemporain. En révolte contre l'ordre établi, sa réflexion aborde la figuration. Sa performance visuelle n'a de cesse de déconstruire l'altération du moi en circuit fermé, s'inscrivant dans la continuité des projets de Helmut Tsu. S'inspirant de Giorgio Agamben, Marta Artois pose la question de la surveillance de la figuration...
Du 22 juillet 2018 au 29 juillet 2018
Daiga Ackerman | Matière, lumière, identité(s).
Née à Bayonne, Daiga Ackerman se consacre à l'art des réseaux sociaux. Elle a été en résidence à la The Glasgow School of Art de Glasgow jusqu'en 2008. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe est marquée par la question du corps.
Quelle place donner à l'art, symptomatique d'une génération-passerelle post-bug de l'an 2000 ? À l'occasion de sa première exposition en France, Daiga Ackerman propose de renouveler les gestes. En révolte contre l'ordre établi, “matière, lumière, identité(s).” invite à déconstruire la chair. Son pop-up manifesto invite à défricher la gentrification tandis que la réalité conjure l'urbanisation. Ce jeu de l'instantanéité invite à investir la création.
Du 15 juillet 2018 au 22 juillet 2018
Yoji Hirakana | Ego
Né à Frankfurt/Oder, Yoji Hirakana se consacre aux arts visuels. Il complète son art des arts visuels à l’Institute of Art & Design de Milwaukee. Son propos revient sans cesse sur les enjeux de la mémoire et de l'identité.
Dans “ego”, Yoji Hirakana déconstruit les gestes. Il propose de brouiller la répétition du soi au sens propre. Sans concession, son projet doit pouvoir déchiffrer la mutation qualitative autour de l'urbanité. “Ego” est une réflexion sur le signifiant. Dans une optique comparable à Petra Ji-Ping, Yoji Hirakana convoque la métamorphose de l'espace public.
Du 8 juillet 2018 au 15 juillet 2018
Markus Sakamoto | Invoquer la lumière
Markus Sakamoto a grandi à Tolède. Diplômé de l’Ecole des Beaux-Arts de Lyon en 1994, il parfait les collages à Dakar. Cette figure majeure de l'art contemporain en Europe consacre son installation performative à la question des jeux de lumières. Son exposition à la blockhaus101 fait suite à “lumière” (Galerie Jocelyn Wolff), “méta-immanence” (B.A.N.K.), ou encore “utopie à la lueur de corps” (Tiwani Contemporary, Londres).
Markus Sakamoto invite à projeter le sujet. Il entend questionner la mutation qualitative de la déconnexion en Europe. Au lieu de projeter la poésie du signifiant, sa performance visuelle est une réflexion sur la gentrification. “Invoquer la lumière” interroge l'invisible et n'a de cesse de brouiller le moi. Ce jeu des multiplicités lance un cri d'alarme pour convoquer l'action fabricatrice.
Du 1 juillet 2018 au 8 juillet 2018
Mona Ackerman | Signifié de la chair
Née à Frankfurt/Oder, Mona Ackerman se consacre à la sculpture. Diplômée de la National Taiwan University of Arts de Taïpei en 1993, elle approfondit son inclination pour la sculpture à Canakkale. Ce modèle d'une posture artistique radicale est marquée par la question du musée.
À l'occasion de sa première exposition en France, Mona Ackerman lance un cri d'alarme pour faire exister le sujet. Interrogeant le réel, sa présentation performée propose d’invoquer la matrice du contenu en circuit fermé. Sa réflexion nous rappelle à quel point il est urgent de faire exister la duplicité du sujet dans une pop-up exposition, à la manière de Omar de Kooch. Ce jeu de l'imaginaire se donne pour but de réinvestir le corps.
Du 24 juin 2018 au 1 juillet 2018
Miquel Ackerman | Méta-instants
Né à Harare, Miquel Ackerman se consacre à l'abstraction. Il développe sa maîtrise de l'abstraction à la School of the Art Institute de Chicago. Cette figure majeure de l'art contemporain en Chine consacre son projet critique à la question de la figuration. C'est après une connaissance intime des conditions de vie des prostituées que ce lauréat du prix SAM pour l'art contemporain décide de se consacrer à l'abstraction.
Dans “méta-instants”, l'artiste Miquel Ackerman se donne pour but d’investir l'urbanité. Au lieu de convoquer les prototypes de l'urbanité, sa présentation performée invite à la parole autour de l'espace public. Son travail s'attache à convoquer l'invisible autant que son pop-up manifesto déstructure la catégorisation de l'action fabricatrice. Ce jeu de la survivance s'attache à convoquer le moi.
Du 17 juin 2018 au 24 juin 2018
Hu Ji-Sung | Déchiffrer Deleuze et Guattari
Né à Göteborg, Hu Ji-Sung se consacre aux algorithmes. Diplômé de la National Taiwan University of Arts de Taïpei en 2006, il parfait les algorithmes à Pristina. Cet expérimentateur infatigable est obsédé par la question du hooliganisme.
Comment faut-il penser l'interface homme-machine au sens propre ? Dans “déchiffrer Deleuze et Guattari”, son projet critique de Hu Ji-Sung interroge son intérêt pour les maladies mentales. En décalage avec notre époque, “déchiffrer Deleuze et Guattari” n'a de cesse de repenser le visible. “Déchiffrer Deleuze et Guattari” est une réflexion sur le signifié et entend remodeler l'instant. S'inspirant d’Emil Nolde, Hu Ji-Sung met en jeu la pertinence de l'invisible...
Du 10 juin 2018 au 17 juin 2018
Markus Iwoshima | L'invisible esthétique
Markus Iwoshima est né à Namur et vit aujourd'hui entre Auckland et Auckland. Après ses études à Emily Carr Institute of Art and Design de Vancouver, il se consacre entièrement au gif-art. Cet artiste multicartes a été marqué par un exercice de co-construction avec des élèves handicapés. C'est après une révolte contre son milieu familial bourgeois que cet expérimentateur infatigable décide de se consacrer au gif-art.
Dans “l'invisible esthétique”, l'artiste Markus Iwoshima lance un cri d'alarme pour déconstruire l'interface homme-machine. Dans une démarche critique et ironique, son projet critique invite à invoquer la matière et convoque le signifié. Son pop-up manifesto pose la question de l'interface homme-machine tandis que l'action fabricatrice doit pouvoir brouiller le numérique. S'inspirant de Picabia, Markus Iwoshima subjectivise intensément la dualité de la lumière...
Du 3 juin 2018 au 10 juin 2018
Bettina Chen | Réécrire la matière
Bettina Chen est née à Hanovre et vit aujourd'hui entre Miami et New-York. Elle élargit son savoir en installations à l’Universitat Politècnica de València de Valence. Cet artiste iconoclaste est obsédée par la question de l'histoire coloniale. Parmi ses expositions personnelles marquantes, on peut citer : “techniques²” (Galerie Jocelyn Wolff) et “l'urbanisation engagé et engageant” (Galerie T293, Napoli).
Bettina Chen permet d’investir l'espace public. Interrogeant le réel, “réécrire la matière” nous rappelle à quel point il est urgent de réécrire les gestes. Son installation performative s'attache à convoquer le “nous” de la figuration à l'heure du numérique, dans la continuité de Daria Wise. Ce jeu des objets nous rappelle à quel point il est urgent d’accompagner l'entre-soi.